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  • Syrie : entretien avec un combattant islamiste français

    Maxime, Français de 22 ans est parti faire le djihad en Syrie aux cotés de l’Etat Islamique. Lorsqu’il parle de partir en opération il est difficile de ne pas penser aux milliers d’irakiens massacrés par cette bande de barbus.

    Sans doute que ce jeune con approuve l’exécution de ces gamins syriens par ses « frères » :

    http://www.contre-info.com/

  • Beljanski : on a tout fait pour que vous ayez peur :

    Beljanski : ce nom restera gravé dans l’histoire de la lutte contre le cancer. Il y a vingt ans, le succès des produits mis au point par ce grand scientifique s’est répandu sous le manteau comme une traînée de poudre chez les malades du cancer. Et la poudre a pris feu… Beaucoup d'entre vous connaissent la suite : la fin dramatique d’un homme poursuivi à mort par les autorités judiciaires françaises. Son nom, sa réputation scientifique, ses produits, frappés d’anathème. Un acharnement sournois et dissuasif est, depuis, à l’œuvre, qui nous laisse croire en 2014 que les produits Beljanski sont interdits tout en faisant passer pour un danger sanitaire le seul fait d’en parler. Et pourtant : des centaines, des milliers de patients suivent les traitements originaux et en sont satisfaits, en France comme ailleurs et plus souvent qu’on ne le croit avec la coopération de leur médecin.

    Cet article vous paraîtra peut-être un peu long, mais si vous avez le cancer, lisez-le jusqu'au bout, c'est important, et en plus... passionnant.

    Tant de contre-publicité et de contrefaçons pour rien ?

    Que n’a-t-on dit, vu, entendu… Des livres entiers ont été écrits sur le sujet et des kilomètres d’informations, contradictoires, se déroulent sur le Net. Des hommages, certes, mais de méchantes accusations souvent, de pseudo « démystifications ».

    Les autorités de santé et les labos pharmaceutiques peuvent se frotter les mains. Leur incroyable travail de sape a porté ses fruits. Dans les grands médias, c’est le black-out, avec juste ce qu’il faut de désinformation de temps à autre… Pour encore dissuader les récalcitrants, sait-on jamais… Mais pas un mot qui pourrait laisser penser qu’il n’y a rien d’illégal à utiliser un produit Beljanski !

    En 20 ans, au fond, rien n’a changé

    Un pseudo reportage du Magazine de la Santé de France 5, diffusé le 14 février 2013, résume à lui seul la situation. Avec un titre-question dont on devine la réponse : « Mirko Beljanski, héros ou escroc ? ». Un monument d’ignorance (feinte ?) et de mensonges dans lequel le « journaliste » va jusqu’à affirmer que ce scientifique a refusé de publier ses résultats (objets de 133 publications...) et se trompe sur la date de décès de celui qu’il prétend cerner…

    Les calomnies en tout genre continuent de se répandre, les mauvaises langues se concentrant désormais sur l’« affairisme » présumé de la famille Beljanski, exilée aux Etats-Unis. Ces produits mènent leur vie, attisant des jalousies. Et pour nous embrouiller définitivement, une grosse quinzaine de sites Internet étrangers proposent des imitations ou des contrefaçons que le système médical en place met dans le même sac. En vrac.

    Des produits sans intérêt méritent-ils tant de mauvaise publicité et copie-t-on copie massivement ce qui ne marche pas ?

    Comment ne pas se tromper quand le cancer vous presse ?

    Si nous ne sommes pas tous dupes, cette situation met quand même sur la touche, par méconnaissance ou ignorance, nombre de patients qui pourraient ainsi augmenter leurs chances de guérir d’un cancer. Et elle ne peut que favoriser la triche ou les abus que d’autres malades subissent pour les mêmes raisons. Devant tant de mensonges, comment ne pas se tromper, ou être trompé quand apparaît le cancer, que le temps presse et que l’on n’est pas épaulé par des thérapeutes avertis ?

    Comment ne pas méjuger de l’intérêt de tel ou tel produit ? Ma réponse est nette : mieux vaut s’adresser à Dieu qu’à ses saints, à la maison-mère (fille à vrai dire), Natural Source, qui garde le bénéfice de l’antériorité, avec la garantie de produits fabriqués selon les formulations d’origine de Mirko Beljanski.

    Primo, et même si on ne les a pas déjà expérimentés directement ou à travers un proche, le large usage qui en a été fait toutes ces années les valide en partie.

    Secundo, ces garanties sont aussi d’ordre scientifique, ce que beaucoup ignorent encore. Il est donc temps de clarifier la situation. De rétablir quelques vérités pour comprendre le fin mot de l’histoire. Et de donner à ces traitements naturels (articulés autour de cinq compléments) la juste place qu’ils méritent.

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  • Les "excès" de la Révolution sont dans sa nature

    Interrogé dans L'Homme Nouveau du 21 juin, Philippe Pichot-Bravard, qui vient de publier un ouvrage magistral sur La Révolution française, déclare :

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    Michel Janva

  • Le BLOC-NOTES de François MARCILHAC

    Commentant le souhait récent de Marine Le Pen de voir supprimer du droit français le principe de la double nationalité, à la suite des graves incidents ayant émaillé, en France même, de la part de supporters « franco-algériens », les matchs de l’équipe d’Algérie au Mondial, Thomas Legrand, qui sévit sur la matinale de France Inter, a comparé, ce lundi 30 juin, leur statut ainsi que celui de Manuel Valls, espagnol naturalisé français, à la situation des Bretons et des Corses vivant en France en dehors de Rennes ou d’Ajaccio et auxquels il conviendrait d’ôter le droit de vote aux municipales là où ils se sont installés. Il faut que la notion de nationalité soit aujourd’hui profondément obscurcie pour qu’on puisse, sans soulever un véritable tollé, en arriver à comparer la situation de binationaux à celle de provinciaux — un mot que nous assumons car nous n’y trouvons rien de désobligeant — installés dans la capitale ou dans une autre métropole française. Faut-il rappeler que, contrairement à l’Algérie ou à l’Espagne, la Bretagne et la Corse sont des provinces françaises ?

    En comparant des Corses et des Bretons à des binationaux, ayant donc double passeport, Thomas Legrand révèle à quel point la qualité de Français n’a plus guère aujourd’hui de signification pour les chiens de garde de la mondialisation qui ne pensent plus en termes de nationalité mais de communautarisme. Alors oui, une fois la France dissoute, un Breton, un Corse ...ou un Bobo parisien pourront devenir l’équivalent d’un Algérien « bi-national »... Tel n’est pas encore le cas.

    UNE NATIONALITÉ BRADÉE

    Qu’on puisse avoir des fidélités multiples, nul mieux que Maurras ne l’a compris, qui soulignait : « Je suis de Martigues, je suis de Provence, je suis de France, je suis Romain, je suis humain ». Mais encore faut-il que ces fidélités soient complémentaires et non concurrentes, ce qui exclut la bi-nationalité, absurdité à la fois conceptuelle et juridique, qu’il conviendrait évidemment de supprimer de notre droit, à la condition toutefois que l’Etat se sente suffisamment armé pour en accepter les conséquences au plan international...

    Mais nous n’en serions pas là si la notion même de nationalité n’avait pas été bradée depuis des décennies. Comment ? Par les effets conjugués d’uneimmigration devenue folle — 200 000 arrivées par an —, et de l’invention d’une citoyenneté européenne artificielle. La notion même de nationalité se trouve ainsi attaquée à la fois de manière concrète, par la naturalisation annuelle quasi automatique de dizaine de milliers de migrants — on sait que, sur ce plan, Valls ne fait que poursuivre la politique entamée par Sarkozy —, et dans son essence même : l’invention ex nihilo, d’un patriotisme constitutionnel européen, monstre historico-juridique, vise à déposséder les jeunes générations de ce « devoir de piété » qu’est le patriotisme envers cette « société naturelle » qu’est la patrie et tout ce qui la constitue : « son histoire, ses traditions, sa langue, sa conformation naturelle elle-même » (Jean-Paul II in "Mémoire et identité"), au profit d’un simple artefact — l’Europe —, dont la seule réalité est d’être le ventre mou de la mondialisation. On comprend pourquoi l’Europe encourage l’immigration. La dissolution des peuples historiques européens réels ne peut qu’aider à faire du continent un laboratoire grandeur nature du village planétaire.

    LA RÉPUBLIQUE CONTRE LA NATIONALITÉ FRANÇAISE

    Que les défenses immunitaires du peuple français soient particulièrement affaiblies, comment s’en étonner ? Depuis plus de deux siècles, l’idéologie et la pratique républicaines ont largement anticipé la tentative idéologique européenne — être « européen », ce n’est rien d’autre que partager l’idéologie des droits de l’homme — en confondant les qualités de Français et de républicain. Le débat « sur l’identité nationale et républicaine », lancé par Sarkozy en 2009 ...en vue d’être diabolisé par une gauche pavlovienne et d’abuser ainsi le militant moyen de l’UMP, l’a amplement prouvé, avant d’être rapidement avorté : La « France, mère des arts, des armes et des lois », coupable d’être née et de s’être épanouie avec la monarchie, en était par définition évacuée.

    Pourquoi ? Pour mieux réduire notre pays à des a priori idéologiques, républicains ou humanitaires, c’est-à-dire à la République et à la laïcité — ce que fait désormais le FN-nouveau aux côtés de l’ « UMPS » —, et donc noyer la France dans un discours à prétention universaliste qui la nie comme nation historique et charnelle. N’oublions pas que dans sa lettre de mission du 31 mars 2009 à Eric Besson, alors Ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire, Sarkozy lui demandait d’ « engager les actions permettant de valoriser les principes de la République et les valeurs fondamentales de notre communauté nationale » notamment « en renforçant la place des emblèmes et symboles de la République, de sa langue, de son drapeau, de son hymne, des valeurs contenues dans la devise “Liberté Egalité Fraternité”, et de la Marianne qui les incarne ». Et s’il lui demandait aussi de lutter contre le communautarisme, c’était pour la perspective, puisqu’il se contredisait aussitôt en affirmant : « Notre Nation est métissée. L’immigration constitue une source d’enrichissement permanent de notre identité nationale. [...] La France dont nous défendons les couleurs est une France ouverte sur les autres, sur le monde, sur l’avenir. C’est une France qui évolue avec son temps. C’est une France à laquelle chaque nouvel arrivant, chaque nouveau Français apporte son histoire, les richesses de son origine, sa contribution. ». Qu’il s’agisse de Hollande ou de Sarkozy il s’agit toujours de « faire France »,... pour mieux la défaire, comme l’a rappelé le comte de Paris, dans une tribune retentissante, lors de la publication des rapports socialistes de l’automne 2013 sur la réforme de l’intégration, rapports qui auraient pu être commandés aussi bien par l’UMP. Deux projets de loi sur l’asile et l’immigration ne feront bientôt que confirmer la fuite en avant dans ce domaine.

    Ces propos de Charette restent d’une actualité d’autant plus brûlante aujourd’hui que le patriotisme républicain a fini, en toute logique, par se diluer dans son (faux) universalisme congénital : « Notre patrie, c’est notre Foi, notre terre, notre Roi... Mais leur patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez, vous ? ... Ils l’ont dans le cerveau ; nous l’avons sous les pieds. »

    François Marcilhac - L’AF 2889

    http://www.af-provence.com/

  • Projet pédagogique autour du film Cristeros

    Les distributeurs du film Cristeros en France estiment que ce film constitue une opportunité pédagogique et pastorale très riche : plusieurs directeurs d’établissements privés ou de responsables de la pastorale collège et lycée les ont déjà contacté pour programmer ce film à la rentrée scolaire pour leurs collégiens ou lycéens. Voici par exemple le témoignage de Caroline, bénévole à la pastorale des jeunes à Saint Nazaire :

    «Nous avons contacté Cinéville et convenu de la semaine du 15 au 21 octobre. Nous ferons une grande matinée pour les lycéens (450 jeunes) et on invitera quelqu'un d'AED pour parler de la condition actuelle des chrétiens dans différents pays (une demi-heure seulement car le film est déjà long). Les professeurs étudieront aussi en classe les dossiers que "Il est vivant " propose au sujet du film. On fera aussi le 16 au soir une projection tout public avec le même animateur. Et Cinéville souhaite garder le film toute la semaine. C'est plus qu'on en rêvait ! »

    C’est un exemple parmi d’autres qui montre que c’est assez simple à organiser. Il suffit de prendre contact avec le cinéma (même mono-écran) de votre quartier pour lui demander de bien vouloir programmer, à une date qui vous convienne, une ou plusieurs séances scolaires en journée à tarif réduit pour vos collégiens et lycéens. La salle concernée s’occupera de tout le reste et se mettra notamment en contact avec les distributeurs pour les aspects techniques de la programmation (Davy Antoine - davy.antoine@orange.fr).

    Sur le fond, le film présente en effet de très nombreux intérêts pour les élèves :

    • sur le plan pastoral, c’est un film profondément chrétien qui présente des témoignages historiques bouleversants et aborde les questions de liberté religieuse, de non-violence, de conditions d’une guerre juste, etc.),
    • sur le plan philosophique, il pose à chaque spectateur la question fondamentale : "Et toi, que ferais-tu dans une telle situation ?" et montre à travers les différents personnages, un panel de réactions possibles. Il soulève également les questions de liberté de conscience.
    • sur le plan historique (histoire du 20ème siècle au Mexique et aux Etats-Unis, rapprochement avec ce qui se passe alors dans le monde : montée du fascisme en Italie, du communisme en Russie, prémices du nazisme en Allemagne, révolutions techniques comme la traversée de l’Atlantique par Lindbergh, etc.)
    • sur le plan de la culture générale : découverte de grands acteurs (Andy Garcia, Eva Longoria, Peter O'Toole bien sûr, mais aussi Oscar Isaac, Santiago Cabrera, Catalina Sandino Moreno, Ruben Bades et Edouardo Verastegui), du réalisateur Dean Wright (Seigneur des anneaux, Narnia), du compositeur James Horner (Avatar Titanic et bien d’autres), parallèle avec leurs autres œuvres, découvertes des effets visuels, les registres dramatiques, etc.
    • sur le plan linguistique : le film existe en VF mais également en anglais pour la VO sous-titrée, dans un anglais très accessible.

    Michel Janva