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  • Bardot à Ségo : « Comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ? »

    Victime de la maltraitance des hommes, cette biche sait se comporter en véritable tigresse lorsque les chasseurs/prédateurs de la bonne société se conduisent comme des hyènes.

    Dans les années 50-60, les puritains de droite clouaient au pilori Brigitte Bardot parce qu’elle représentait la beauté, la féminité et la liberté. De nos jours, elle est considérée comme « réac » et « facho » par les néo-puritains de la gauche bobo parce qu’elle vilipende la décadence morale, le relâchement généralisé et la branchitude cosmopolite. Libre, toujours libre, BB ! Toujours en porte-à-faux avec son temps et ses modes dominantes. Entière, droite et de la droite la plus décomplexée ! Toute une vie marquée par la fierté solaire, le courage et l’indépendance d’esprit en honorant la France, au service des animaux et de la nature.

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  • Il sort de prison et commet une tentative de viol dans une église

    Mais que fait Christiane Taubira ?

    "La scène s’est déroulée le matin du 14 juillet. Vers 11 h, l’église Saint-Paul de Poitiers, […], est quasiment déserte. Seule une jeune femme de 31 ans se recueille en silence. Alors qu’elle est en train de prier, elle est violemment agressée par un homme qui l’attrape par le cou, la plaque contre le sol et tente de l’agresser sexuellement. Mais la jeune croyante se débat tellement qu’elle réussit à s’échapper et à appeler au secours. Quelques minutes plus tard, les policiers retrouvent le suspect, caché tout près de l’église, sa ceinture de pantalon encore défaite. Formellement reconnu par la victime, l’agresseur présumé a reconnu les faits lors de sa garde à vue. Au commissariat, les policiers découvrent le lourd passé judiciaire de cet homme de 48 ans. Déjà condamné douze fois pour vols ou agressions, il vient tout juste de sortir de prison mi-juin après avoir purgé une longue peine. En 2002, il avait été lourdement condamné par la cour d’assises du Lot à 17 ans de réclusion pour avoir infligé d’horribles sévices à une vieille femme de 85 ans, comme le relatait La Dépêche du Midi lors de son procès. Depuis sa libération, il respectait bien le strict suivi socio-judiciaire qui lui est imposé."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Allemagne : diffusion sur la TV publique du prêche d’un imam à l’occasion de l’Aïd el-Fitr

    Quoi de plus normal dans une démocratie contemporaine que de faire l’apologie de la religion dominante ? Comme l’a dit Merkel « l’Islam est devenu une partie de ce pays et le restera ». Elle le restera si les patriotes continuent à ne rien faire et que l’Eglise ne substitue pas l’œcuménisme à l’apostolat. La mollesse des uns fait la force des autres.

    Trouvé sur Le Figaro : C’est une première pour la télévision allemande. La chaîne publique Bayerischer Rundfunk (BR) a fait le choix de retransmettre en direct l’intégralité de la prière et du prêche de l’Aïd el-Fitr, la fête qui clôture le mois sacré (NDCI : sacré pour les musulmans) du ramadan.

    Caméras installées dans la salle de prière de la mosquée de Penzberg, à quelques kilomètres au sud de Munich, la diffusion sur la chaîne et sa radio a duré deux heures. Une décision que Benjamin Idriz, imam du lieu de culte, a salué. Il a qualifié cet évènement d’«historique» à la télévision Al Jazeera et avait prévu un discours qui puisse parler au plus grand nombre de téléspectateurs (et de fidèles): « Dans le sermon, je vais livrer des messages à la fois pour les musulmans mais aussi pour les non-musulmans allemands. Je parlerai des valeurs communes, et j’appellerai la société allemande a s’ouvrir aux musulmans, à visiter leurs mosquées, et j’encouragerai les musulmans à s’ouvrir à la société » a-t-il déclaré ce matin, avant la prière de l’Aïd. Des prêtres catholiques et protestants sont également intervenus en direct pour prôner la paix et la tolérance.

     

    Et cette diffusion n’arrive pas par hasard. La chaîne programme en effet depuis le début du mois de jeûne des émissions en rapport avec l’Islam dans le but de donner une meilleure image des musulmans aux téléspectateurs. Une initiative qui se veut être dans le même esprit que la chancelière Angela Merkel qui a déclaré lors de son invitation à un iftar (nom du repas au coucher du soleil pendant le ramadan) que «l’Islam est devenu une partie de ce pays et le restera».

    http://www.contre-info.com/allemagne-diffusion-sur-la-tv-publique-du-preche-dun-imam-a-loccasion-de-laid-el-fitr#more-38777

  • Encore trop off pour être honnête

    « Bien entendu… c’est off » ; ce que les journalistes politiques ne racontent jamais, par Daniel Carton.

    Le titre est alléchant, la 4e de couv’ l’est tout autant. Publié dans la foulée des différentes introspections des journalistes et intellectuels français, ce livre éveille la curiosité. On l’aurait pu penser surfant sur les concepts de transparence de la nouvelle gouvernance raffarinienne.
    Las, les espoirs seront déçus. Au prix d’à peine quelques coups de griffe aux dépens des valeurs déjà mortes de la politique française (Rocard, Tapie, Noir ou Giscard), l’auteur nous administre une touchante introspection sur les splendeurs et misères de ces courtisans que sont trop souvent les journalistes politiques.

    Bien que bousculé dans sa conscience au soir de sa carrière, Daniel Carton se garde bien de montrer que le roi est nu. Tout au plus a-t-il l’honnêteté ou la naïveté de commenter les choix de ses confrères à vouloir briser ou pas « cette muraille habituellement dressée entre ceux qui savent et ceux qui voudraient savoir mais ne sauront jamais »

    Le cas de Le Pen est le plus flagrant : « Cette muraille, n’a-t-on pas su la fracasser pour aller livrer bataille à Le Pen ? On a eu le courage de dire, d’enquêter, de disséquer, de prévenir. Tout y est passé. Personne ne peut dire qu’il n’a pas su. Le Monde était en première ligne et nous en étions fiers. Avec Le Pen, pas de off. Jamais de off. Si le zèle mis à débusquer les ennemis de la République ne se retrouve jamais pour confondre ses charlatans et ses profiteurs, la presse ne pourra plus continuer longtemps, comme elle l’a fait entre les deux tours de la présidentielle, à battre sa coulpe sur la poitrine des autres. Le Pen est devenu une exception journalistique. Il serait bon d’étendre cette exception à d’autres » (pages 112-113).

    Un constat certes intéressant, mais très feutré et bien tardif. Ce ne sont pas avec ces coups de carton que la muraille va s’effondrer !

    Philippe Christele, 24/02/2003

    Bien entendu… c’est off, Daniel Carton, Albin Michel, 200 pages, 15 Euros

    http://www.polemia.com/encore-trop-off-pour-etre-honnete/