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  • Macron donne raison aux identitaires : le problème des clandestins existe bel et bien

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    Emmanuel Macron devant les parlementaires français réunis en Congrès à Versailles a déclaré vouloir « réformer profondément » le système du droit d’asile pour arriver, explique-t-il à un « traitement humain et juste » des demandes des futurs « réfugiés ».

    « Nous ne pouvons pas continuer à affirmer notre attachement aux principes du droit d’asile, en nous abstenant d’entreprendre une réforme en profondeur. »

    En parallèle à ses déclarations, différentes sources françaises ont dévoilé aux quotidiens italiens que lors de la réunion d’hier soir à Paris entre les ministres de l’Intérieur de France, d’Italie et d’Allemagne, le gouvernement français a clairement refusé l’hypothèse de débarquements de « migrants » dans les ports français. Si les ministres se sont accordés sur un code de bonne conduite pour les ONG, ce qui pourrait calmer pour un temps l’Italie qui menace de fermer ses ports aux débarquements de clandestins, la Marine italienne n’aura pas le droit en revanche de dérouter les bateaux des ONG vers les autres pays européens. La crise migratoire et les multiples déferlements quotidiens d’immigrés illégaux continueront donc à être supportés par le seule Italie au bord de l’explosion économique, sociale, sécuritaire.

    Une façon pour les financiers apatrides et les banksters internationaux qui détiennent entre leurs mains le futur économique des pays européens de soumettre les gouvernements de ces derniers, et pour l’instant ils ont jeté leur dévolu sur l’Italie, à leur bon vouloir et à leur étreinte asphyxiante. Et Macron n’est-il pas un des leurs et un de leur atout majeur ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/macron-donne-raison-aux-identitaires-le-probleme-des-clandestins-existe-bel-et-bien/76470/

  • Il y a une Histoire de la France dont le Système ne parle pas

    Entretien réalisé pour le Salon Beige avec François Montgisard, auteur de Ces Français qui gouvernèrent le monde :

    6a00d83451619c69e201bb09abe4f6970d-250wi.jpgFrançois Montgisard, vous ressortez pour l’été chez TerraMare une nouvelle édition augmentée de votre célèbre ouvrage Ces Français qui gouvernèrent le monde.  Pourquoi cette nouvelle édition aujourd’hui 

    Aussi curieux que cela puisse paraître, l’histoire des chefs d’État issus de familles française en ligne masculine n’avait jamais été traitée dans un livre ; ni même la recension de tous les territoires conquis par la France à un moment ou à un autre. La précédente édition avait connu un beau succès de librairie. Elle était épuisée. Je continuais les recherches sur son sujet, trouvant l’origine française de nouvelles familles de dirigeants politiques, cachée derrière des transformations patronymiques, parfois très étonnantes.  Arrive un moment où les ajouts sont suffisamment importants pour justifier une nouvelle édition contenant plus de 20 % d’informations supplémentaires et inédites sur le thème. Y compris, bien sûr, l’arrivée au pouvoir entre temps de nouveaux chefs d’État ou de gouvernement. 

    Ces Français qui gouvernèrent le monde : Est-ce un titre nostalgique sur la grandeur passée de la France ?

    La nostalgie ne nuit pas à l’amour que l’on peut porter à notre nation, à notre peuple. Bien au contraire. Le chanteur Michel Sardou rappelait que la nostalgie était même une condition pour qu’une chanson soit attachante et tout le monde a chanté avec lui « Ne m’appelez plus jamais France… ! »

    Et cette belle histoire racontée dans cet ouvrage continue : il y a aujourd’hui une dizaine de chefs d’État (de fait ou de droit) d’origine française dans le monde, même si elle est souvent lointaine, de l’immense Canada au (territorialement) minuscule Ordre souverain de Malte. 

    Vous avez reçu le soutien de SAR le Prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, pour cette nouvelle édition.  Pourquoi un si illustre préfacier ? 

    Avec mon éditeur, nous avons eu l’intuition qu’il fallait une grande figure pour incarner ce principe de continuité dynastique et d’« histoire longue », comme le dit si bien le professeur Bernard Lugan. Et qui incarne mieux cette histoire longue et cette continuité que le successeur légitime de Saint-Louis et de Louis XIV ? L’acceptation du duc d’Anjou  m’a particulièrement touché lorsque j’ai appris plus tard qu’il était souvent sollicité en ce sens, mais qu’il n’acceptait que très rarement. Ce livre n’évoque pas uniquement le passé. Loin de là. Il parle aussi du présent dans lequel va s’enraciner notre avenir. 

    A qui s’adresse votre ouvrage ? 

    A tous ceux qui aiment la France. A tous ceux qui veulent se souvenir de ce que furent les Français au cours des siècles et en assumer l’héritage. Et ce qu’ils peuvent redevenir lorsqu’ils auront renoué avec leurs valeurs fondatrices.

    Ce livre s’adresse aussi à tous ceux qui ne savent pas encore ce que fut notre pays. Un livre permet de convaincre « à distance ». Il est parfois pénible de se déjuger publiquement face à des arguments, même percutants. Un ouvrage peut faire évoluer des positions intellectuelles de départ, peu à peu, par la réflexion individuelle face à une chose, c'est-à-dire face à soi-même. En conséquence, ce livre peut révéler à des générations victimes de la propagande anti-française ininterrompue qu’il y a une Histoire de la France dont le Système ne leur parle pas. Et ce n’est bien sûr pas un hasard. En réalité, cet ouvrage s’adresse à tous Ces Français qui gouverneront lemonde et qui lisent sans aucun doute le Salon Beige !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après les supercheries électorales, ni soumission ni abandon, plus que jamais la Droite nationale et identitaire est l’alternative au Système

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    Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

    Chers Amis et lecteurs de Syn­thèse nationale,

    2524040466.2.jpgNous venons d’assister à un véri­table tour de passe-passe poli­tico-médiatique.

    Souvenez-vous… Il y a quelques mois, fin 2016, les tenants du Sys­tème prenaient conscience de la fragilité de celui-ci et leur petit domestique élyséen, François Hol­lande, renon­çait piteusement à un second man­dat (prouvant ainsi, à la surprise générale, qu’il était ca­pable d’avoir un éclair de lucidité).

    Hollande hors jeu, l’oligarchie se rabattait alors derrière le sinistre Juppé voyant en lui le garant de ses intérêts. Mais la vanité de ce der­nier lui fut fatale et il se retrouva éliminé des calamiteuses pri­maires de la droite. Les électeurs « républicains » lui préférant le controversé François Fillon ré­puté plus conservateur et donc loin de satisfaire les thuriféraires de la pensée dominante.

    Emmanuel Macron, le joker du Système

    Mais, pour palier à cette erreur de casting, le Système avait prévu son joker : le sémillant Emmanuel Ma­cron, à la fois coqueluche de la bo­bocratie et bouée de sauvetage de tous les ratés de la politique. On connaît la suite…

    Face à une Marine Le Pen reniant ses fondamentaux et emberlificotée dans ses rêves de respectabilité, Macron n’eut pas de mal à se faire élire Président. Et, derrière lui, tout ce que la gauche et la droite comp­taient de has beenen mal de re­con­version à envahir le Palais Bour­bon. Le tout, pour mieux ser­vir les intérêts de la haute-finance apa­tride. Il faut en effet savoir qu’avec Macron et son parti fait de bric et de broc, ce sera encore plus de soumission aux dik­tats de la fi­nance, ce sera encore plus de bras­sages des populations, ce sera tou­jours plus de fiscalité as­sommante et de lois antisociales, ce sera en­core plus de complai­sance avec l’écolo business qui nous impose, entre autres, les inutiles éo­liennes…

    La Droite nationale et identitaire est l’alternative

    Dans ce nouveau contexte, la Droite nationale et identitaire a plus que jamais le devoir de s’imposer comme la seule alternative authen­tique et crédible capable, le plus vite possible, de relever la France.

    Synthèse nationale, depuis 11 ans maintenant, est au cœur du combat pour la France française dans une Europe européenne. Avec ses re­lais médiatiques (revues, sites, édi­tions, réseaux sociaux performants, émissions radio en partenariat avec Radio Libertés…) et militants (journées annuelles à Rungis et en province, campagnes d’agitation, associations théma­tiques…) notre organisation est à l’avant-garde du combat contre le Système.

    Les su­percheries électo­rales aux­quelles nous venons d’assister doi­vent nous amener à accentuer notre action si nous ne voulons pas que le processus de soumission et d’abandon continue à anéantir définitivement ce qu’il nous reste de liberté.

    Pour cela, nous avons besoin de votre aide à tous. Que ce soit :

    - en vous abonnant à nos diffé­rentes revues (Syn­thèse nationale, les Ca­hiers d’Histoire du nationa­lismeCon­fron­tation…),

    - en achetant et en diffu­sant les livres que nous édi­tons,

    - en adhérant à l’Association des Amis de Synthèse nationale, prési­dée par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta,

    - en participant à notre sous­crip­tion pa­triotique

    - et en venant, le dimanche 1er oc­tobre à notre 11e Journée nationale et identitaire à Rungis (Val de Marne), vous nous permettrez d’amplifier notre tra­vail salu­taire pour notre nation et pour notre ci­vilisation. Par avance, nous vous remercions pour votre fidé­lité.

    Dans les jours qui viennent tous les contacts de Synthèse nationale, soit plus de 20 000 personnes, vont recevoir chez eux une plaquette, dont vous venez de lire l'éditorial, les invitant à nous aider. Nous avons besoin de votre aide pour amplifier notre combat et nous savons que nous pouvons compter sur vous tous. Par avance, nous vous remercions pour votre générosité.

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  • Ne vous métissez pas !

  • Suède : 92 % des viols graves sont le fait d’extra-Européens

    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie
    En Suède, 92 % de tous les viols « graves », c’est à dire faits avec violence, sont commis par des clandestins et des réfugiés.

    La liste des 10 premiers pays de provenance des responsables des viols a été publiée. Elle ne comporte qu’un seul pays non islamique : le Chili.

    La plupart des violeurs sont issus d’Irak, d’Afghanistan, de Somalie, d’Erythrée, de Syrie, de Gambie, d’Iran, de Palestine, du Chili et du Kosovo. En tenant compte du nombre de personnes des différentes nationalités en Suède, les Afghans sont 79 fois plus susceptibles de commettre un crime sexuel que les personnes nées en tant que citoyens suédois. 

  • Sortie d'un magnifique album racontant l'histoire du Kosovo, signé Luc Luret

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    Remarquable album de 80 planches, riches en illustrations, relatant, étape après étape, l'histoire de ce petit pays tant convoité par ceux qui veulent la destruction de la Serbie.

    Luc Luret, bon connaisseur de l'histoire des Balkans, à qui nous devons le livre Kosovska (La Cocarde 2016), nous raconte le passé du Kosovo, coeur de la Serbie, et nous aide à mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui. 

    Histoire illustrée du Kosovo et Métochie, Luc Luret, 80 planches illustrées, 2017, 15 € (+ 4 € de port)

    Pour le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • UNE DEFINITION POLITIQUE, PHILOSOPHIQUE ET IDEOLOGIQUE DE LA GAUCHE

  • Bruxelles : la solidarité obligatoire

    Bruxelles mène une véritable guerre aux états membres de l’Union européenne dans l’affaire dite des quotas de migrants et notamment à l’Est où ce système dictatorial est d’autant mal vécu que les pays concernés sont encore très attachés à leur culture propre.

    Début mai, la Cour de Justice de l'Union européenne avait à connaître la plainte déposée par la Hongrie et la Slovaquie contre l'Union européenne à propos de l'imposition d'un quota de migrants que chacun de ces États juge illégal - et susceptible en outre de faire entrer dans leurs pays encore très attachés à leurs racines des gens qui ne les partagent en aucune façon.

    Face aux arguments de la Hongrie et de la Slovaquie sur l'engagement pris - avant la crise actuelle - par le Conseil européen de ne pas imposer un tel quota, et la non-consultation du Parlement européen sur le sujet, le représentant de l'Union européenne a essentiellement opposé l'idée de solidarité. Celle-ci est, certes, un noble sentiment, mais ne constitue en rien un argument juridique, ni un moyen politique.

    L'argument paraît d'autant plus faible que, selon les calculs mêmes de Bruxelles, il n'y a eu, sur l'immense masse de migrants à s'être pressés dans nos pays ces trois dernières années que 18 000 d'entre eux à être effectivement répartis selon cette logique du quota.

    Gageons que le jugement - qui ne devrait, être rendu qu'en fin d'année - ne s'arrêtera de toute façon pas au pur débat juridique..

    Bruxelles tient essentiellement à cette « politique » d'ouverture qu'elle impose tous azimuts. Accordant à un certain nombre de pays européens (dont l'Allemagne !) une prolongation des contrôles aux frontières, la Commission européenne a en effet déclaré, toujours au mois de mai, que ce serait la dernière fois. À quoi Lars Rasmussen, premier ministre du Danemark, également concerné par la mesure, a rétorqué « Nous continuerons les contrôles aux frontières, à moins que l'Union européenne ne trouve miraculeusement le moyen de reprendre le contrôle de ses frontières extérieures (...). Tant que les frontières de l'Union européenne ne seront pas sous contrôle, nous devons maintenir nos propres contrôles. » Peu importe ! La Commission réitérait quelques jours plus tard ses menaces de sanction vis-à-vis des pays qui, en juin, n'auraient pas accueilli de nouveaux migrants demandeurs d'asile. Un autre premier ministre, celui de Pologne, a immédiatement marqué sa volonté de s'opposer à cette menace. Beata Szydlo a en effet répondu explicitement « Nous disons très clairement il n'y a aucun accord du gouvernement polonais pour se voir imposer de force des quotas de réfugiés ».

    Troisième exemple, émanant cette fois du Parlement européen qui, mi-mai, a voté une résolution visant à déclencher contre la Hongrie la procédure prévue à l'article 7 du traité de Lisbonne, et qui vise à priver un État-membre qui ne respecterait pas les "valeurs" européennes de certains de ses droits, et notamment du droit de vote.

    Budapest ne s'est guère émue de cette décision - et d'abord parce que, devant le Conseil européen, l'infraction doit être reconnue à une unanimité devenue aujourd'hui introuvable.

    Mais surtout, le gouvernement hongrois estime que Bruxelles s'occupe de ce qui ne la regarde pas. Janos Lazar, ministre de la Chancellerie du premier ministre, ne lui a pas envoyé dire, en déclarant, le 18 mai « La résolution votée hier par le Parlement européen traite de questions qui, à notre avis, ne relèvent en rien de l'Union européenne ou du Parlement européen ».

    Avant d'ajouter, pour que ce soit bien clair « Le gouvernement hongrois ne donnera pas satisfaction à la demande du Parlement européen d'abroger les barrières juridiques et physiques à la frontière ».

    Si Bruxelles n'entend pas attendre la justice pour attaquer ses propres États-membres, ceux-ci semblent de moins en moins décidés à se laisser faire...

    Hugues Dalric monde&vie  8 juin 2017

  • La France "loi Veil"

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  • Une confiance plus mince que prévue - Journal du mercredi 5 juillet 2017