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  • Rien dans le pantalon?

    La grande famille du cinéma découvre paraît-il aujourd’hui que le producteur de génie, le multimillionnaire Harvey Wenstein, apparemment sûr de lui et dominateur, profitait de sa toute-puissance pour harceler, agresser sexuellement et violer des actrices depuis des décennies. Les témoignages ne cessent de s’accumuler ces derniers jours: Rosanna Arquette, Asia Argento, Emma de Caunes, Judith Godrèche, Angelina Jolie ,Gwyneth Paltrow, Léa Seydoux… Comme les hypocrites du PS faisant mine de découvrir après l’affaire du Sofitel les obsessions d’un DSK, les professionnels du 7e Art semblent tomber des nues… « C’est avec consternation que nous avons découvert les accusations de harcèlement et de violence sexuelle récemment portées contre Harvey Weinstein, professionnel du cinéma dont l’activité et la réussite sont connues de tous, qui lui valent de séjourner à Cannes depuis de nombreuses années et d’avoir de nombreux films sélectionnés au Festival International du Film dont il est une figure familière », ont expliqué la main sur le cœur Pierre Lescure et Thierry Frémaux, respectivement  président et délégué général du festival de Cannes. La comédienne Florence Darel ne croit pas trop à la stupeur indignée manifestée par certains : « Tout le monde, ne serait-ce que les organisateurs de festivals, est aux premières loges pour savoir ce qui se passe dans les hôtels. Pourquoi est-ce que les agents envoient des actrices à des prédateurs ? Pourquoi est-on censées aller rencontrer des producteurs dans des chambres d’hôtel ? Il n’y a pas de garde-fous parce qu’il y a cette espèce de non-dit qui sous-entend :  Si tu veux faire ce métier, tu dois coucher de temps en temps. » Le sort réservé à de nombreuses starlettes  de la télé-réalité -parfois consentantes si l’on en croit certain(e)s - ne serait donc pas une exception… quelle surprise!

    Un épisode qui ne manque pas de questionner sur le long silence des féministes des deux côtés de l’Atlantique – dont certaines sous nos latitudes n’ont pas hésité il y a quelques années  à accabler nommément avec une mauvaise foi proprement délirante Bruno Gollnisch en déformant ses propos .  A commencer par celui de politiciennes comme Hillary Clinton dont les liens anciens et profonds avec le tout-Hollywood sont notoires et étalés au grand jour. La gauchiste Jane Fonda a eu au moins le courage d’avouer qu’elle était au courant des agissements de M. Wenstein : « Grâce à Dieu on en parle ! ».

    L’acteur Omar Sy, lui, poursuit sa petite croisade médiatique contre Eric Zemmour, à l’heure ou ces deniers films n’ont pas rencontré le succès espéré…par les producteurs. Hier, sur Europe 1,  il a enfoncé le clou avec ce courage citoyen, ce sens du vivre-ensemble si répandu dans sa corporation :«  Zemmour (…)  fait de la provoc  pour de la provoc. Il ne faut plus qu’il soit invité parce que c’est un criminel. Il a été condamné pour incitation à la haine raciale. Personne ne le dit mais il a été condamné ce mec-là. » Michel Janva, toujours espiègle, évoquant sur le salon beige cette saillie du shérif  Omar, qui habite à Los Angeles, illustre  les propos de M. Sy avec des photos le montrant  prenant « complaisamment (la pose)  avec le détraqué Weinstein. »

    Certes, tout le monde n’a pas la classe, l’intelligence, la sensibilité, le grand  talent et la hauteur de vue du regretté Jean Rochefort, qui à rebours du politiquement correct,  rappelait il y a quelques années  un épisode douloureux et honteux de notre Histoire récente, non pas  sur le canapé rouge d’Alain Soral, mais sur celui de Michel Drucker… La défense et le respect des femmes ne se divisent pas. Et son témoignage illustrait cette belle sentence de Charles Péguy que devrait méditer  les comédiens (au sens large du terme)  cités plus haut :  « il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. »

    Talent et hauteur de vue ne sont pas des mots qui viennent  spontanément à l’esprit quand on parle du républicain Christian EstrosiIl est rapporté que le maire de Nice a demandé le 10 octobre au secrétaire général de LR, Bernard Accoyer, l’exclusion du parti de tous ceux qui y professent (par conviction ou  tactique) des convictions droitières et/ou proches de celles du Front National.  Ceux dit-il qui  « affichent au grand jour une proximité assumée avec des mouvements proches des idées de l’extrême droite, si éloignés des valeurs fondatrices de notre famille » (sic). « Je veux à mon tour vous demander d’inscrire à l’ordre du jour de notre prochain bureau politique l’exclusion de ceux, en particulier les cadres dirigeants, qui ont entretenu le doute sur leur positionnement vis-à-vis du Front national lors des dernières élections présidentielle et législatives, et qui continuent d’afficher une collusion malsaine avec ces idées écœurantes et ceux qui les défendent.» C’est ce même Estrosi, bis repetita placent, qui militait en mars 1998  pour une alliance entre le RPR et le FN en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    Sont dans la ligne de mire de Christian Estrosi, précise Nice-Matin, « Laurent Wauquiez et Eric Ciottiqui  avaient appelé à ne pas voter pour Marine Le Pen (au second tour de la présidentielle), mais pas explicitement pour Emmanuel Macron, une faute morale aux yeux de Christian Estrosi.» Christophe Billan, président de Sens commun, est également dans le collimateur du commissaire politique Estrosi. Rendez-vous compte ma bonne dame,  dans un tout récent  entretien accordé  au magazine L’incorrect,  M. Billan avait déclaré, pourtant avec la plus grande prudence dans la forme : « Si Marion Maréchal-Le Pen vient demain avec ses idées rejoindre une plateforme, cela ne me posera aucun problème. Mais si elle est plus Le Pen que Marion, j’aurai un souci » (sic).

    Cela a suffit à déclencher un tempête :  Sens  Commun a été contraint d’annuler sa « journée de la France silencieuse », prévue  ce dimanche après que  Laurent Wauquiez, Daniel Fasquelle et  Bruno Retailleau, pris d’une frousse intense du quand-dira-t-on médiatique, se soient précipitamment décommandés. Mercredi M. Wauquiez, qui scande sur toutes les estrades  qu’il entend  « parler aux électeurs que nous avons déçus,  il n’y a pas 30 ou 35 % de fascistes et d’extrémistes au FN » (monsieur est trop bon!) a répété qu’une alliance avec le FN état « inenvisageable.» « S’il y a le moindre passage à l’acte, ils (les républicains qui franchiraient le Rubicon, NDLR) n’auront plus leur place chez les républicains.  »

    Homme de dialogue autoproclamé avec les électeurs pestiférés du FN, notons pour conclure que Laurent Wauquiez s’est aussi déballonné en refusant l’invitation qui lui avait été faite par la direction de France 2 de porter la contradiction à Marine, invitée jeudi prochain de L’Émission politique diffusée sur cette même chaîne.  Le risque était certes évident pour ce dernier qui brigue la présidence de LR :  qu’il s’oppose frontalement ou non à la présidente du FN, laisser apparaître au grand jour les contradictions, les dissimulations, le double-langage, l’absence de ligne politique claire et cohérente de son parti politique sur des  questions structurantes pour les électeurs de droite et de l’opposition nationale.  Le processus de  recomposition de notre  vie politique  n’en est à l’évidence qu’à ses débuts…

    https://gollnisch.com/2017/10/13/rien-dans-le-pantalon/

  • Bistro libertés avec Roland Hélie / Le concept “ d’ islamosphère ”: du lard ou du cochon ?

  • FISCALITÉ : CES ÉLECTEURS DE MACRON QUI VONT VITE DÉCHANTER

    Cette partie de la population est trop riche pour bénéficier de la suppression de la taxe d’habitation.

    On croyait révolue l’ère Hollande et ses riches gagnant plus de 4.000 euros par mois. Il va falloir réviser cela, puisque le gouvernement s’apprête à alourdir la fiscalité des ménages les plus aisés. On apprend ainsi que le 9e décile de la population, c’est-à-dire celui situé juste en dessous de la catégorie la plus riche, connaîtra une baisse sensible de son niveau de vie dès 2018 si les mesures envisagées par Emmanuel Macron et son gouvernement sont votées. Et nul ne doute qu’elles le seront, compte tenu de l’incroyable nullité des députés élus en juin, dont la plupart n’entendent rien au b.a.-ba des finances publiques.

    Cela concerne 2,8 millions de ménages qui gagnent entre 27.000 et 34.000 euros par an pour un célibataire, ou entre 67.000 et 86.000 euros par an pour la famille d’un couple avec deux enfants. Des ménages aisés, donc, mais pas à proprement parler richissimes. C’est la tranche supérieure des classes moyennes supérieures. Elle comporte des cadres de direction, des entrepreneurs, des professions indépendantes. En bref, des gens qui font tourner l’économie. Contrairement au 10e décile, elle investit beaucoup, travaille encore plus, et ne vit pas de rentes spéculatives. Elle n’a ni yachts, ni propriétés somptueuses. Plutôt libérale et européiste, elle a massivement voté pour Emmanuel Macron. Qui pourrait bien le lui faire regretter.

    Cette partie de la population est trop riche pour bénéficier de la suppression de la taxe d’habitation. Elle subira donc de plein fouet l’augmentation de cette taxe que les collectivités locales ne manqueront pas d’appliquer pour compenser sa suppression annoncée au profit de 80 % des ménages. Elle ne paye pas l’ISF, impôt assis sur le patrimoine, et ne tirera aucun profit de sa transformation en impôt sur la fortune immobilière. Elle économise, et sera de ce fait pénalisée par l’augmentation des taxes sur les revenus du capital, entamée sous les mandats précédents. Et elle n’est pas suffisamment fortunée pour s’offrir le luxe d’une optimisation fiscale réservée aux vrais riches.

    Les Français ont la manie de l’égalité. « Faire payer les riches » est une formule qui fait florès depuis des décennies. Ce trait de caractère, dissimulé derrière une apparente volonté de solidarité envers les plus défavorisés, révèle surtout une forme de jalousie perverse. Et, compte tenu du revenu médian français, soit 1.772 euros par mois ou 21.264 euros par an, la moitié de la population peut se dire pauvre en comparaison avec ces « riches » toujours soupçonnés de noirs desseins. Sauf que l’impôt se concentre désormais sur ces catégories supérieures, et qu’en 2016, seuls 42,8 % de la population ont payé l’impôt sur le revenu – un record depuis les années 1980.

    Demander aux riches une contribution plus importante qu’aux pauvres peut se concevoir, encore que le principe doive être nuancé. Taxer sans raison la partie de la population qui contribue le plus à l’activité économique, et qui consomme le plus, relève de l’absurdité économique. D’autant plus qu’en raison de l’absence d’une politique familiale digne de ce nom, ce sont ces gens-là qui ont le plus d’enfants par ménage. Parce qu’eux seuls ont les moyens de les élever, si l’on ne compte pas les familles très pauvres ou immigrées qui bénéficient, pour ce faire, d’allocations compensant leur absence d’activité salariée. Une famille bourgeoise de quatre enfants vit moins bien avec 80.000 euros par an qu’un couple d’employés avec deux enfants qui gagne 40.000 euros. Mais elle est beaucoup plus taxée, alors qu’elle contribue, par l’éducation de sa progéniture, au renouvellement des générations, à la formation de nos successeurs et au soutien de la consommation. Doit-elle être plus imposée ? Elle ne touche plus, ou presque, d’allocations familiales, ne bénéficie presque plus du quotient familial et n’a rien d’un clan d’émirs arabes ou d’un petit couple de bobos homosexuels à tendance vegan.

    La manœuvre est politiquement risquée. Nombreux sont les électeurs de Macron qui ont vu en lui un libéral aisé et qui ont pensé qu’après le désastreux quinquennat Hollande, l’homme reviendrait à la raison fiscale. Ils vont vite déchanter…

    http://www.bvoltaire.fr/fiscalite-electeurs-de-macron-vite-dechanter/

  • Dans un contexte tendu, l'Espagne a célébré hier la Fête de l'Hispanité

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    L'Espagne fêtait hier la "Journée de l'Hispanité". Ce fut à nouveau l'occasion pour des dizaines de milliers d'Espagnols, à Madrid et dans toutes les villes du pays, de marquer leur attachement à l'unité nationale. L'immense mobilisation populaire à laquelle nous assistons depuis quelques jours semble mettre à mal les projets séparatistes et immigrationistes de Barcelone.

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  • Le 17 octobre, les gauchistes vont commémorer un massacre qui n'a pas eu lieu

    De Bernard Lugan dans l'Afrique Réelle :

    "Comme chaque année à la date anniversaire de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris, communistes et socialistes, amis du FLN et militants « anticolonialistes » (sic), vont commémorer un « massacre » qui aurait été perpétré par la police française. Ils se réuniront ensuite sur le Pont Saint-Michel d’où, toujours selon  eux, des dizaines, voire des centaines d’Algériens auraient été précipités dans la Seine.

    Le seul problème, mais il est de taille, est que ce « massacre » n’a pas eu lieu… Quant aux noyades, à l’exception de celles pratiquées par le FLN sur les membres du MNA ou sur les Harkis, elles n’ont pas davantage existé…car nous sommes en réalité en présence d’un montage.

    Démonstration :

    1) Le 18 octobre 1961 au matin, le bilan de la manifestation de la veille parvient à Maurice Legay, directeur général de la police parisienne. Il est de 3 morts. Nous voilà donc loin des dizaines, voire des centaines de morts et de noyés avancés par certains.

    2) Or, deux de ces trois morts, à savoir Abdelkader Déroués et Lamara Achenoune n’ont aucun lien avec la « répression » du 17 octobre puisqu’ils ont été tués, non pas à coups de matraque, mais par balle, non pas dans le centre de Paris, mais à Puteaux, donc loin de la manifestation. De plus, le second a été préalablement étranglé….

    3) Un mort, un seul, a tout de même été relevé dans le périmètre de la manifestation et il ne s’agit pas d’un Algérien, mais d’un Français « de souche » nommé Guy Chevallier, décédé vers 21h devant le cinéma REX de fractures du crâne. Etait-il un simple passant ou bien un porteur de valises manifestant avec le FLN ? Nous l’ignorons. Fut-il tué lors d’une charge de la police ou bien par les manifestants ou bien par une toute autre cause ? Nous ne le savons pas davantage.

    La conclusion qui s’impose à tout esprit doté d’un minimum de réflexion est que la « répression » de la manifestation algérienne du 17 octobre semble n’avoir paradoxalement provoqué aucun mort algérien…

    A ces faits, les tenants de la thèse du « massacre » répondent que le vrai bilan de la « répression » policière n’a pu être établi que plusieurs jours plus tard, une fois pris en compte les blessés qui décédèrent ultérieurement, et une fois les cadavres retirés de la Seine. Mais aussi, parce que, terrorisés, les manifestants cachèrent d’abord les corps de leurs camarades.

    Trois grandes raisons font que cette argumentation n’est pas recevable :

    • Les archives des hôpitaux parisiens ne mentionnent pas une surmortalité particulière de « Nord-Africains » (selon la terminologie de l’époque), durant la période concernée. Même si de nombreux manifestants blessés à coups de matraques y furent pris en charge.
    • La police ayant totalement et hermétiquement bouclé le périmètre de la manifestation, l’on voit mal comment des porteurs de cadavres auraient pu passer à travers les barrages.
    • Et, in fine, que seraient devenus les cadavres en question ? Ils n’apparaissent en effet pas dans les archives de l’IML, l’Institut médico-légal (la Morgue), où sont transportés les morts relevés sur la voie publique ou repêchés dans la Seine et dans la Marne.

    Le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 », à l’Institut médico-légal de Paris, pour la période allant du 17 octobre au 21 octobre, nous apprend ainsi que:

    • Le 17 octobre, alors que se déroulait dans Paris un prétendu « massacre », l’Institut Médico-Légaln’a enregistré aucune entrée de corps de « NA ».
    • Le 18 octobre, deux corps de « NA » furent admis à l’IML. Il s’agissait d’Achour Belkacem, qui avait été tué ce 18 octobre à Colombes, donc le lendemain de la manifestation, par un policier invoquant la légitime défense. Le second était Abdelkader Bennahar relevé lui aussi à Colombes et portant des blessures à la tête avec possibilité, dixit le rapport de police, d’écrasement par un véhicule.
    • Les 19 et 20 octobre, l’IML n’a comptabilisé aucune entrée de corps de « NA ».
    • Le 21 octobre, soit 5 jours après la manifestation, 1 corps fut déposé à l’IML, celui de Ramdane Mehani décédé vers 22h 30 durant son transfert du commissariat du 13° arrondissement au palais des Sports de la Porte de Versailles. Le registre de l’IML parle de mort naturelle, donc, là encore, sans aucun lien avec la manifestation du 17 octobre.

    Conclusion : nous sommes donc en présence d’un « massacre » sans cadavres, ce qui s’explique parce qu’il n’y eut pas de « massacre » !!!

    C’est donc un « massacre » imaginaire qui va être commémoré le 17 octobre prochain à l’occasion d’une grande cérémonie culpabilisatrice à laquelle des médias incultes ou partisans vont une fois de plus donner une grande publicité.

    Un « massacre » imaginaire fruit d’un montage politique fait à l’époque par le FLN voulant peser psychologiquement sur les négociations en cours avec le gouvernement français. Montage qui fut ensuite orchestré par le parti communiste et  plus que complaisamment relayé par les médias…hier comme aujourd’hui.

    Pour les historiens du futur ce prétendu « massacre » restera donc comme la fabrication d’un des grands mythes du XX° siècle. A l’image de Katyn, des cadavres de Timisoara en Roumanie, des « couveuses » du Koweit et des « armes de destruction massive » en Irak. Leur principal sujet d’étonnement sera cependant l’insolite caution donnée à un tel mensonge par les plus hautes autorités de l’Etat français sous la présidence de François Hollande…"

    Michel Janva

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