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culture et histoire - Page 113

  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XVII-1) – Grande-Bretagne – l’amant maudit d’Adolf Hitler

    Par Nikolay STARIKOV

    Rien ne doit se produire entre l’Angleterre et l’Allemagne qui pourrait de quelque manière que ce soit nuire au prestige de la Grande-Bretagne.

    Adolf Hitler[1]

    Lorsque Hitler réalisa que son idée de base, la création d’un puissant Reich Allemand associé à la Grande-Bretagne, ne pourrait pas se concrétiser, il tenta de construire et de sécuriser ce Reich par ses propres moyens militaires. Ainsi, le monde entier devint son ennemi.

    Joachim von Ribbentrop[2]

    …Le 22 juin 1940, la France capitula. La flotte navale française fut désarmée. Cependant, aucun document ne fut signé ordonnant que les vaisseaux de guerre français soient transférés ou cédés aux Allemands. La France promit simplement d’arrêter la guerre contre l’Allemagne. Néanmoins, peut-être Hitler avait-il prévu de s’emparer des bateaux de la France d’une manière plus sournoise ? Non, certainement pas. Après sa victoire, les demandes de l’Allemagne étaient assez modestes et ne ressemblaient en rien au vol caractérisé que leur infligèrent les Alliés à Versailles. Et pourquoi cela ? Parce que Adolf Hitler n’avait jamais prévu d’entrer en guerre avec la Grande-Bretagne et la France.

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  • Retour à l'esprit traditionnel 2/3

    Il y avait une partie saine, normale, de l'humanité, où les traditions étaient fortes, où la vie, intérieure et extérieure, demeurait inchangée dans la Contemplation, il y a encore quelques années, s'affirmait souverainement, et toute la vie extérieure était un rite, donc l'approximation plus ou moins efficace, selon les individus et les groupes, d'une vérité que la vie extérieure, en soi, ne donne pas. Mais celle-ci, lorsqu'elle est vécue de manière pure, permet de réaliser intégralement ou partiellement la vérité. Dans cette partie du monde vivaient des peuples dont la vie était entièrement orientée vers le Supra-monde : ces peuples pensaient, agissaient, aimaient, haïssaient, s'entretuaient de manière sainte, ils avaient sculpté un temps unique dans une forêt de temples, par où le torrent des eaux grondait, et ce peuple était le lit du fleuve, la vérité traditionnelle, la sainte syllabe dans le cœur du monde. Car, si l'existence est un fleuve, alors un est le lit de cette existence, lit très profond dont les traditions scrutent les profondeurs.

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  • SORTIE CETTE SEMAINE DU NOUVEAU LIVRE DE BERNARD GERMAIN : "L'UNION EUROPÉENNE : EN SORTIR... AU PLUS VITE !"

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  • Quand Poutine apprend l’histoire de France à Macron : à propos d’Anne de Kiev

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    31/05/2017 – Paris  (Breizh-Info.com) – En déplacement à Paris pour célébrer le tricentenaire des relations diplomatiques franco-russes, Vladimir Poutine a été reçu au château de Versailles par le président Macron, avec lequel il a pu s’entretenir durant de longues minutes en un “dialogue franc et direct” à l’issue duquel s’est déroulée une séance de questions-réponses avec les médias français et russes.

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  • La loi ordonnant le génocide vendéen publiée au JO du premier août 1793

    La loi ordonnant le Génocide vendéen publiée au Journal officiel du 1er août 1793

    Phénomène unique dans l'histoire, ce sont les élus d'un Peuple souverain qui, le 1er août 1793, à l'unanimité votent une loi de déportation et de destruction totale par le feu et par le fer d'un pan entier d'un territoire dont ils sont les représentants. Déçus des résultats obtenus par l’application de cette première loi génocidaire, ils votent à l'unanimité une seconde loi d'extermination de la population le 1er octobre 1793.

    Ces deux lois votées à l’unanimité par des révolutionnaires convaincus, en conscience, de leur bon droit et de leur devoir de salut public, sont publiées au Journal officiel de l'époque.

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  • Plaquette – Ecole Thomas More

    You are currently viewing Plaquette – Ecole Thomas More

    Une école de l’Institut Thomas More
    L’école est fondée sous l’égide de l’Institut Thomas More, laboratoire d’idées libre et indépendant, qui a près de vingt ans d’existence. Convaincus de la nécessité de libérer le débat en formant les générations de demain et en favorisant leur engagement dans tous les champs de la vie civique (institutionnel mais aussi local, associatif, etc.), ses animateurs aident à créer l’École Thomas More pour favoriser la transmission et le rayonnement des idées et des valeurs qui sont au cœur de son action.

  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XVI-2) – Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940 ?

    Partie I

    Par 

    Ce qu’il y a d’insupportable dans la défaite de 1940, c’est le fait de savoir que la France, poussée dans la guerre par les manœuvres de l’Angleterre, trahie au dernier moment par cette même Angleterre, continue à fêter son faux allié comme son sauveur. Peut-on être plus masochiste ?  Avic

    ***

    Lorsqu’on analyse les causes de la chute incroyablement rapide de la France en 1940, il serait anormal de ne pas mentionner le merveilleux plan mis au point par le général allemand Erich Von Manstein. Mais les Britanniques ont tout aussi largement contribué à la défaite de la France.

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  • L’héritage de Sándor Petőfi (1823-1849), l’éveilleur hongrois

    L’héritage de Sándor Petőfi (1823-1849), l’éveilleur hongrois

    Sándor Petőfi naît le 1er janvier 1823 et meurt au combat face aux cosaques du Tsar le 31 juillet 1849. Dans l’intervalle, une œuvre originale et fondatrice de la poésie hongroise s’élabore et accompagne l’un des principaux bouleversements politiques du XIXe siècle européen : le Printemps des peuples. Deux siècles après sa naissance, Petőfi occupe une place de choix dans le panthéon national hongrois. Il fut le héraut du romantisme, du nationalisme et des aspirations libérales de son temps. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Le romantisme a passé ; une fois les monarchies abattues ou avilies, le système parlementaire a souvent dissimulé une nouvelle servitude des peuples, privés d’une élite véritable ; l’État-nation s’est imposé partout en Europe et sert généralement de marchepied au mondialisme. En un mot, le zèle révolutionnaire n’a apporté qu’ébauche et désillusion. Ce constat sombre nous invite à relire le destin d’un insurgé lyrique pour comprendre la portée et les limites de l’enthousiasme révolutionnaire.

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XVI-1) – Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940 ?

    Par Nikolay STARIKOV (Russie)

    C’est quelque chose que vous devriez savoir : chaque fois que nous aurons à choisir entre l’Europe et le Grand Large, Nous choisirons toujours le Grand Large.

    Winston Churchill [1]

    Il avait suffi d’un revers sur le continent pour que la Grande-Bretagne voulût s’absorber dans sa propre défense ».

    Charles de Gaulle [2]

    Le 6 octobre 1939, deux semaines après la chute de Varsovie et la fin de la campagne de Pologne, Hitler a parlé au Reichstag :

    Mon effort principal a été de débarrasser nos relations avec la France de toute trace de mauvaise volonté et les rendre supportables pour les deux nations… L’Allemagne ne demande rien d’autre à la France… J’ai même refusé d’évoquer le problème de l’Alsace-Lorraine… En France, j’ai toujours exprimé mon désir d’enterrer pour toujours notre ancienne inimitié et de rassembler ces deux nations, qui ont toutes deux un passé si glorieux…

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