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culture et histoire - Page 114

  • Alain de Benoist : « Les runes exercent depuis toujours une grande fascination sur les esprits curieux » [Interview]

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    02/07/2017 – 07h10 Quimper (Breizh-Info.com) – Alain de Benoist – que nous avons interrogé à propos de l’actualité cette semaine – vient par ailleurs d’écrire un ouvrage scientifique fascinant intitulé L’écriture Runique et les origines de l’écriture. Un ouvrage paru – et c’est une première avec Alain de Benoist – aux éditions Yoran Embanner dont nous chroniquons fréquemment les ouvrages à Breizh-info.

    Utilisée par les Germains à partir du Ier siècle de notre ère pour transcrire diverses langues germaniques antérieurement à l’alphabet latin, puis concurremment avec lui, l’écriture runique, attestée par plusieurs milliers d’inscriptions, reste à certains égards une énigme. Du fait de son apparition relativement tardive, les spécialistes se divisent entre ceux qui la font dériver du latin, ceux qui la rattachent à l’alphabet grec et ceux qui font appel aux alphabets nord-italiques (ou « nord-étrusques »). Mais aucune de ces solutions n’est de nature à expliquer les particularités spécifiques de l’écriture runique : l’ordre des lettres, qui diffère totalement de celui des alphabets méditerranéens, leur regroupement en trois séries immuables de huit runes (les ættir), le fait que chaque rune porte un nom qui lui est propre (le phonème initial de ce nom déterminant la valeur phonétique de la rune), etc.

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  • La crèche de Noël née des persécutions religieuses de 1789

    La crèche née des persécutions religieuses de 1789
    Crèche napolitaine de la maison Scarabattola

    Alors que depuis deux ans, les libres penseurs essayent de faire interdire les crèches dans l’espace public, il convient de rappeler que ce sont les mêmes, par leur intolérance, qui ont permis la naissance de la tradition d’installer un crèche dans le foyer de chaque provençal durant la période de Noël.

    L’origine de la crèche provençale nous vient d'Italie, du village de Greccio, située dans la province de Rieti. En effet, dès le XIIème siècle, dans les églises italiennes, on représentait la scène de la Nativité avec des sculptures mobiles, non fixées au sol. Cette tradition du culte catholique ne tarda pas à franchir les Alpes et à venir en Provence. La crèche était alors collective et installée dans une des chapelles de l’église paroissiale. La tradition voulait que chaque année, la crèche soit mise en place peu avant Noël pour n’être défaite qu’au début février, à la Chandeleur. Cet art populaire fera naître les Pastorales, représentations théâtrales de la Nativité.

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  • Le Mythe du sauveur américain – Essai sur une imposture historique (1917-1918)

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     Dominique Lormier est un écrivain passionné d’histoire aux goûts éclectiques. De la Résistance dans le sud-ouest aux corridas de Bayonne en passant par la biographie d’un Grand Lama tibétain, peu de sujets échappent à sa curiosité.

    Son nouvel opus – Le Mythe du sauveur américain – Essai sur une imposture historique – publié aux éditions Pierre de Tailhac, est un vibrant plaidoyer en faveur de l’Armée française en 1918, victime d’une opération de propagande, en partie auto-infligée, pour mettre en valeur l’Armée américaine et son rôle dans la défaite de l’Allemagne.

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  • Non-violence : quand Gandhi envoyait 1 million d’indiens servir de chair à canons dans les guerres européennes !

    En Afrique du Sud, alors que la guerre fait rage entre les troupes des Boers (les colons hollandais) et celle des colons arrivés par la suite (les britanniques), Mohandas Karamchand Gandhi prend la direction du Natal Indian CongressGandhi pense que les indiens gagneront l’indépendance de l’Inde en aidant l’Empire britannique et il les appelle à s’engager volontairement dans l’armée anglaise.

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  • Salazar, le Consul impavide de Jean-Paul Besse

    Auteur des premières biographies d’Elisabeth Feodorovna, d’Ileana de Roumanie, de sainte Catherine de Lesna, du grand-duc Nicolas Romanov, et de Ménélik II l’unificateur, soleil de l’Éthiopie (2021), Jean-Paul Besse est docteur d’État en histoire. Spécialiste de l’Europe centrale et orientale, il a été professeur invité des universités serbes et de Nijni Novgorod. Chevalier de la Légion d’honneur, primé par l’Académie française, il enseigne à l’Institut Saint-Pie X. Jean-Paul Besse nous offre une nouvelle biographie dans un style relevé et accrochant .

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  • 2 décembre 1805, Austerlitz : la victoire est totale !

    Le 2 décembre est une date importante pour tout amoureux de Napoléon. En effet, nous commémorons en ce jour l’anniversaire du sacre de l’Empereur en 1804 mais aussi sa victoire d’Austerlitz en 1805 qui permit à l’Empire français de devenir un temps le maître de l’Europe. Mais que s'est-il passé, ce 2 décembre 1805, sur les plaines gelées de l’ancien Empire autrichien ?

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  • Retour à l'esprit traditionnel 1/3

    Ce monde se dirige vers sa fin : inexorablement, depuis des siècles il se dirige vers sa fin. Les représentants officiels des grandes traditions ont fini par pactiser avec la décadence des profanes, tout ce qui était sacré est devenu domaine des laïcs, qui ont démantelé tous les temples pour y faire périr l'écho des paroles de vérité. La décadence de l'Europe, à partir du XIVe siècle, est le fruit de cette laïcisation de l'esprit, des mœurs et de la vie. Celui qui saisi les raisons profondes de cette désagrégation séculaire, peut opposer à l'écroulement du temple l'audace de sa force, force de vérité qui veut retourner aux saintes origines.

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  • Quand une mère de soldats nazis sauvait des officiers soviétiques

    “Cachons les prisonniers russes. Peut-être que Dieu épargnera alors nos fils”, disait Maria Langthaler. Un reportage spécial d’Argumenti i Fakti sur cet exploit inconnu d’une paysanne allemande.

     “Les gamins de quinze ans de la Hitlerjugend se vantaient de qui avait tué plus d’innocents. L’un a même sorti de sa poche une liasse d’oreilles coupées pour les montrer à son copain - tous les deux ont ri. Un fermier a trouvé un Russe qui se cachait dans une étable avec des moutons, et l’a poignardé avec un couteau - l’homme s’est débattu dans des convulsions, et la femme du tueur a égratigné le visage du mourant.

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