culture et histoire - Page 1295
-
I-Media S2e20 - Hommage à Emmanuel Ratier
-
L’école des déracinés, une atteinte à notre culture
« La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de l’enfer. L’hypothèse d’une félicité parfaite est plus désespérante que celle d’un tourment sans relâche, puisque nous sommes destinés à n’y jamais atteindre. », écrivit un jour Gustave Flaubert à Louise Collet. Ainsi en est-il du rêve de Najat Vallaud-Belkacem, son utopie sera le cimetière de ses ambitions. En souhaitant créer un paradis éducatif d’obédience sociétaliste, tout à fait inatteignable, en plus que d’être dangereux ; elle a parachevé le travail de ses prédécesseurs, et acté la destruction de l’école de la république.
Au nom du dieu Egalité, Najat Vallaud-Belkacem, et ses sbires, pratiquent la politique de la tabula rasa. Tout doit être sacrifié sur l’autel de l’égalitarisme, tant la vérité historique, que ce qui fait le sentiment d’appartenir à un peuple enraciné. Elle ne hait pas la France, elle la nie. Elle ne hait pas notre histoire, elle pense qu’elle est finie. Jamais, depuis qu’elle est ministre, Najat Vallaud-Belkacem n’a parlé de l’apprentissage, de la transmission des savoirs, et même des savoirs. L’essentiel, pour ces gens, n’est pas d’instruire, mais de rééduquer les élèves pour en faire des êtres jetés-là, des enfants de personne. Il faut égaliser les jeunes pousses de force, toutes les têtes qui dépassent seront raccourcies par la guillotine Terra Nova. Le but recherché n’est donc pas de donner l’égalité des chances, et de réinstaurer la primauté du mérite individuel, mais bien de créer des êtres indifférenciés, sans qualités ni mérites particuliers.
On pourra au moins reconnaître deux mérites à Najat Vallaud-Belkacem : elle a dévoilé sans artifices le projet du sociétal-libéralisme, et, elle a, par ses outrances, permis l’émergence d’une force contestataire. En effet, nous avons appris, ces derniers jours, que quatre membres du « Conseil supérieur des programmes » ont donné leurs démissions ; en raison de désaccords politiques (et humains) profonds avec les équipes du ministre.
Il faut dire que le ministère est prêt à tout pour bâtir son paradis artificiel. Annie Genévard, membre démissionnaire, indiquait au journal Le Point que : « Nous avons appris (les membres du CSP) que le cabinet de la ministre intervenait dans nos travaux en amont et sans que la plupart des membres le sachent. Quand, lors d’un déjeuner au ministère, je me suis étonnée de cet interventionnisme, le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem m’a répondu en citant Edgar Faure sur « l’indépendance dans l’interdépendance. » » Le cabinet du ministère ne veut pas d’opposition. Les instances indépendantes dont il se prévaut, tel le « Conseil supérieur des programmes », n’ont en réalité aucun pouvoir, et ne servent qu’à donner un cachet « scientifique » aux nouvelles mesures.
Parmi les mesures envisagées, deux d’entre elles témoignent de la psychose qui s’est emparée du ministère. Le premier projet du programme de Français recommandait la parité entre les auteurs femmes et les auteurs hommes ! On peut sans peine imaginer les difficultés qu’aurait pu entraîner un tel délire. Mais ne vous y trompez pas, sans changement radical de direction, une telle absurdité reviendra sur le tapis. L’autre mesure envisagée préconisait de convier les familles d’enfants de « migrants » dans les salles de classe, pour qu’ils parlent leurs langues d’origine devant les élèves, sommés de les écouter les yeux fermés ! Un véritable cauchemar multiculturel antirépublicain, et anti-France. Nous ne pouvons plus les laisser faire, autrement ils détruiront la France à jamais.
Gabriel Robin – Secrétaire Général
-
C’était un 27 août 1793 : l’insurrection contre-révolutionnaire de Toulon
Les Fédéralistes, qui avaient pris le pouvoir local aux Jacobins lors d’une insurrection, sont supplantés par les royalistes, bénéficiant du soutien de la flotte toulonnaise (restée majoritairement fidèle au roi).
Les insurgés se sont rebellés à l’annonce de la reprise de Marseille par les Républicains et de la répression sanglante qui s’en est suivie, et seront soutenus par les Britanniques et d’autres.
Ils feront proclamer Louis XVII (le très jeune fils de Louis XVI) roi de France et hisser le drapeau blanc à fleur de lys.
Les Républicains feront le siège de la ville, et le jeune Napoléon s’y illustrera contre les royalistes…
Le 17 décembre, après des mois de siège, d’attaques et de contre-attaques, les Bleus lanceront une grande offensive. Après d’âpres et longs combats, ils l’emporteront et entreront définitivement dans Toulon le 19 décembre.
Comme d’habitude avec les « humanistes », une répression sanguinaire sera instaurée : on estime qu’au moins huit cents personnes (10% de la population restante) seront fusillées sommairement. Par la suite, la commission révolutionnaire prononcera 290 autres condamnations…Source : T. de Chassey
-
Guerre et Civilisation : Episode 2 Empires et armées
-
Enquête sur l’histoire : les premiers numéros mis en ligne par l’Institut ILIADE
L’Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne, association dirigée par l’historien bien connu Philippe Conrad, a mis en libre téléchargement depuis son site internet les 12 premiers numéros de la revue trimestrielle de haute volée Enquête sur l’histoire, publiée de 1991 à 1999 par Dominique Venner.
L’objectif ? Contrer le révisionnisme mémoriel engagé ces dernières années par l’Éducation nationale visant à faire oublier aux Français leur histoire.
Selon les termes mêmes de l’Institut ILIADE, “parents, pédagogues et étudiants trouveront dans cette collection les cartouches nécessaires à une vision renouvelée de notre histoire, affranchie de la culpabilisation systématique et de la doxa du moment. Notre vision du passé détermine l’avenir. Et sa connaissance est créatrice de liens : entre générations comme entre membres d’une même communauté souhaitant rester elle-même dans le chaos des temps présents.”
« Il est impossible de penser le présent et le futur sans éprouver derrière nous l’épaisseur de notre passé, sans le sentiment de nos origines. Il n’y a pas de futur pour qui ne sait d’où il vient, pour qui n’a pas la mémoire du passé qui l’a fait ce qu’il est. Mais sentir le passé, c’est le rendre présent. Le passé n’est pas derrière nous comme ce qui a été autrefois. Il se tient devant nous, toujours neuf et jeune ». Dominique Venner
Voici les liens directs pour télécharger ces douze premiers numéros :
- Enquête sur l’histoire n°1 – Hiver 1991-92 – Dossier : 40 siècles d’identité française
- Enquête sur l’histoire n°2 – Printemps 1992 – Dossier : L’OAS et la guerre d’Algérie
- Enquête sur l’histoire n°3 – Eté 1992 – Dossier : Les aventuriers du XXème siècle
- Enquête sur l’histoire n°4 – Automne 1992 – Dossier : Pétain devant l’histoire
- Enquête sur l’histoire n°5 – Hiver 1993 – Dossier : 1793, la Vendée et la Terreur
- Enquête sur l’histoire n°6 – Printemps 1993 – Dossier : L’âge d’Or de la droite (1870-1940)
- Enquête sur l’histoire n°7 – Eté 1993 – Les crimes politiques (1889-1989)
- Enquête sur l’histoire n°8 – Automne 1993 – Dossier : L’aventure coloniale, l’Europe et l’Afrique
- Enquête sur l’histoire n°9 – Hiver 1994 – Dossier : Russie, mille ans d’énigmes
- Enquête sur l’histoire n°10 – Printemps 1994 – Dossier : Les écrivains et la Collaboration (1940-1945)
- Enquête sur l’histoire n°11 – Eté 1994 – Dossier : L’Europe, une histoire de familles
- Enquête sur l’histoire n°12 – Automne 1994 – Dossier : 1914-1918, la Grande Guerre
- http://fr.novopress.info/
-
Cellule 23 - Guerrier de l'ombre
-
Suède : Le Mars, épave mythique de la Baltique
Construit au XVIe siècle, le bâtiment de guerre suédois «Mars» avait été conçu pour régner en maître sur la mer Baltique. Mais au cours d’une bataille décisive contre la ville de Lübeck en 1564, un incendie eut raison du navire amiral, qui coula avec la majeure partie de son équipage. Après de nombreuses tentatives de localisation, l’épave fut enfin repérée en 2011 au large de l’île suédoise d’Öland.
Le naufrage du vaisseau de guerre avait à l’époque forcé le roi Eric XIV de Suède à revoir entièrement sa stratégie politique. Ce documentaire s’attache, à l’aide de techniques scientifiques de pointe, à faire la lumière sur les derniers moments du plus grand bateau de guerre de son temps.
-
Sortie TRACE Normandie (12.09)
-
Guerre et Civilisation : Episode 1 Premier sang
-
Sparte - La bataille des Thermopyles