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culture et histoire - Page 1554

  • Hommage à Dominique Venner, par Carlomanno Adinolfi (Casapound)

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    Jusqu'au 21 mai dernier, Dominique Venner n'était pas très connu des jeunes militants italiens. Ses deux seuls livres publiés en Italie, Baltikum et Le Soleil Blanc des vaincus, sont très rares, voire impossible à trouver depuis plusieurs années. Ce sont en tout cas les deux livres qui ont fait connaître Venner à la génération des "anciens", ceux des années 70. Baltikum, tout particulièrement, était très aimé par eux. Ils étaient touchés par cette tragédie épique mêlant différentes générations, jeunes et vétérans joints à un peuple en armes pour défendre ce qui semblait déjà perdu, pour continuer une guerre que tout le monde pensait perdue. Et, dans son ouvrage, Venner racontait cette histoire sous l'angle de l'épopée historique, oui, mais avec la fougue et la sensibilité de la guerre et du sang qui seuls peuvent avoir ceux qui les ont vraiment connus. Ce livre ne pouvait donc que créer un lien spirituel immédiat avec ceux qui, dans ces années 70, ont versé leur sang dans une guerre civile. 
    Mais après le 21 mai, tout a changé : les jeunes militants du Blocco Studdentesco ont commencé à se renseigner, à questionner, pour en savoir davantage sur cet homme qui venait de faire le sacrifice ultime. Ils se sont mis à la recherche de livres " inaccessibles " et il y a même ceux qui ont cherché à dépasser l'obstacle de la langue étrangère afin de tenter d'apprendre davantage sur Venner. Il aura suffit de ce geste tragique pour tout changer, pour que ces jeunes militants reconnaissent immédiatement l'historien français comme « un des leurs », mais surtout comme une figure tutélaire, un esprit qui va rejoindre les rangs de ceux qui sont tombés pour indiquer le chemin. 
    Ce qui peut sembler étrange, irrationnel même, pour ceux qui pensent et vivent dans un certain esprit bourgeois est en fait tout naturel et facile à expliquer. Le geste de Dominique Venner a été immédiatement reconnu pour ce qu'il est: un sacrifice au sens étymologique du terme, qui est de «rendre sacré», un rituel visant à rendre visible la présence du divin dans l' humain. Un geste et un rituel accomplis au nom de la volonté qui ne peut que nous faire penser à un rite semblable, celui de seppuku de Yukio Mishima – au cours duquel le guerrier japonais, qui a lutté durant toute son existence, offre sa vie devant les dieux et les ancêtres comme un acte de purification des péchés et rendre pur et solide le chemin que les autres devront suivre en suivant son exemple . 
    Mais surtout, ceux qui, en Italie, ont entendu parler du geste de Dominique Venner ont pensé à un autre rituel, celui accompli par les archaïques "samouraï d'Occident " par excellence que sont les Romains. Il s'agit de la « devotio », le sacrifice rituel durant lequel le commandant de l'armée donnait sa propre vie aux dieux pour obtenir la victoire de son armée et de ses descendants. Un sacrifice qui permettait aux dieux de venir aux côtés du peuple et signifiait que ceux qui étaient en armes, témoins de l'acte du chef, pouvaient réveiller et dominer les fureurs bellicistes pour remporter la guerre, qui comme telle est sacrée. A cette évocation de Rome répondent en écho les paroles mêmes de Venner expliquant son geste. «Je donne ma vie dans une volonté de fondation." Le sacrifice n'est donc pas mis en œuvre seulement pour être un témoignage, c'est une action qui crée des effets vivants et palpables, c'est un acte de Fondation, une base sacrée sur laquelle des choses vont inévitablement croître et se développer. Tout comme Rome, la ville éternelle, qui a été fondée par Romulus, par le sacrifice et le sang d'une partie de lui-même, Remus. Et la ville est éternelle parce que le rituel, le sacrifice, la fondation en tant que source, transcende le temps et se connecte via une communion sacrée avec les esprits des ancêtres. Le même principe que celui exprimé par Venner avant son acte quand il écrit: «J'ai choisi un lieu hautement symbolique , la cathédrale de Notre Dame de Paris que je respecte et admire, qui a été construite par le génie de mes ancêtres sur des lieux de culte plus anciens qui rejoignent nos origines immémoriales "

    Carlomanno Adinolfi 

    Texte prononcé à l'occasion de l'hommage rendu à Dominique Venner par Casapound, le samedi 17 mai 2014 à Paris

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Marion Le Pen défend la famille biologique. Pour Jean-Jacques Bourdin, c’est « dogmatique »…

    Encore un beau numéro de manipulation médiatique !

    Ce matin, Marion Le Pen était l’invitée de Jean-Jacques Bourdin pour un direct sur RMC et BFMTV. Quand Marion Le Pen encourage la France à faire des enfants français, le journaliste oriente immédiatement la question en l’assortissant d’un sous-entendu racialiste.

    Mais le meilleur est à venir. Marion Le Pen dénonce la politique gouvernementale qui nous fait passer de la famille biologique à la famille sociale, avec des tiers auxquels on accorde des droits parentaux. Aussitôt, Jean-Jacques Bourdin bondit en présentant la famille biologique comme « dogmatique » !

    Vas-y Bourdin, dis-nous tout de suite ce que les Français doivent penser, ça ira plus vite…

  • La théorie du genre et l’influence mondialiste en Belgique : entretien avec Alain Escada.

    L’équipe belge du Cercle des Volontaires propose un entretien vidéo avec Alain Escada, président de Civitas, à l’occasion du lancement d’une antenne Civitas en Belgique. Alain Escada explique notamment comment la théorie du genre se propage en Belgique de la même façon qu’en France et comment tout cela s’organise à l’échelon international. Le président de Civitas dénonce une fois de plus le mondialisme qui s’oppose au christianisme, à la Famille et à la Patrie, et appelle à la mise en place de réseaux de résistance à travers les Nations.

  • Commissaire politique stalinien du Viêt Minh, BOUDAREL, le monstre français du camp 113

    « Dès le déclenchement de la deuxième guerre mondiale l’Indochine fut envahie par l’armée japonaise qui occupait déjà la Chine et qui avait proclamé en 1938 sa volonté d’éradiquer toute présence d’homme blanc en Extrême-Orient allant jusqu’à introniser, à son départ, le 2 septembre 1945, le gouvernement communiste Hô Chi Minh.

    Lors des hostilités avec la France, le Viêt Minh effectua de nombreuses prises d’otages, incluant des civils. Beaucoup de prisonniers militaires français passèrent dans des camps d’internement situés dans les régions sous contrôle indépendantiste et furent soumis à une tentative de « rééducation marxisante » par des commissaires politiques au nombre desquels des communistes étrangers et Français faisaient montre d’un zèle excessif… Ainsi le PCF, par la voix de ses responsables, Maurice Thorez, Jacques Duclos, le couple Joliot-Curie… joua un rôle essentiel, non seulement dans la conception, mais aussi dans l’exécution du lavage de cerveau.

    Le sort des prisonniers dans ces camps de rééducation fut longtemps méconnu du grand public. L’affaire Georges Boudarel contribua à la rappeler à l’opinion dans les années 1990.

    Militant du parti communiste français, chrétien progressiste et marxiste, Georges Boudarel naquit en 1926. En avril 1948, il s’embarqua pour l’Indochine comme professeur de philosophie et anima l’antenne indochinoise du PCF, le groupe culturel marxiste auquel Jean Chesneaux, l’historien communiste, appartient.

    Le 17 décembre 1950, refusant d’être incorporé dans l’armée française et considéré comme « insoumis » puis déserteur, il rejoignit le Việt Minh et se rendit après une longue marche au Tonkin où, en 1953, il fut nommé commissaire politique dans un camp de rééducation de prisonniers, le camp 113.

    Situé près du village de Nam Nahm, à 25 km à l’ouest du kilomètre 32 de la RC2 (60 kms au sud de la frontière de Chine et 30kms au sud-ouest de Bac.Giang), ce camp, insalubre, connut très vite une intense activité mortuaire… Son cimetière débordait de cadavres que les grosses pluies d’automne déterraient. Les rats pullulaient et s’attaquaient aux mourants à l’infirmerie. Dès lors, la situation sanitaire devint telle qu’il fallut évacuer ce camp et le reconstruire 30 kilomètres plus à l’est, au nord de VINT-THUY, non loin de la RC2, près de LANG-KIEU.

    Quelque 320 prisonniers, survivants d’un triste bétail pensant, abandonnés à leurs délires, à leurs rêves et à leur rancœur, tous d’origine européenne, officiers, sous-officiers et soldats, croupissaient dans ce camp dans des conditions infâmes d’alimentation, d’hygiène et de prophylaxie. A l’infirmerie, véritable antichambre de la mort, des squelettes vivants agonisaient, vaincus par la faim, la maladie et rongés par la vermine, sous un essaim de grosses mouches vertes. Ils étaient, en effet, vidés par la dysenterie, minés par le paludisme, l’avitaminose, les ascaris, la peau rongée par les champignons de la dartre annamite, de la bourbouille et du hong-kong-foot. Parmi ceux qui n’avaient plus aucune réaction et qui allaient mourir le soir même ou dans la nuit, certains avaient les lobes d’oreilles et la base des narines entamés par les rats. C’était un spectacle affreux. Tous ceux qui étaient admis à l’infirmerie mouraient. Les agonisants attendaient la mort, les épuisés prenaient la place des agonisants, les sans-espoirs succédaient aux épuisés, les nouveaux arrivés comblaient les vides entretenant ainsi le cycle. Dans un endroit retiré, des latrines avaient été creusées où grouillaient des millions d’asticots qui donnaient naissance à des multitudes de mouches vecteurs de toutes les maladies, véritable « pont aérien entre ce lieu et les cuisines » selon le mot même de Boudarel. Le taux de mortalité variait entre 25 et 40 décès par mois, et même plus, selon les saisons.

    C’est en ce lieu sinistre que Boudarel, surnommé « Dai Dông », mit au point ses sévices chaque jour plus raffinés et excella dans le lavage de cerveau imprégné des doctrines du marxisme-léninisme et de l’internationalisme prolétarien.
    Dans ce « mouroir », sa spécialité : « La mise à mort sans toucher » consistait :

    - à abreuver de cours de « rééducation politique » des hommes blessés, malades, éreintés, affamés
    - à obliger les moribonds à se lever pour assister à ces séances, qui contribuaient à les achever
    - à exploiter la pratique clé la « critique et de l’autocritique » pour créer un détestable climat de méfiance, de discorde et de délation
    - à remettre au Vietminh des médicaments parachutés par la Croix Rouge Française et en les refusant aux malades abandonnés sans soins
    - à réserver aux évadés repris un sort qui menait à une fin quasi certaine
    - à établir lui-même la liste des « libérables », c’est-à-dire en s’attribuant le droit de vie et de mort
    - à pousser la cruauté jusqu’à renvoyer au camp des prisonniers déjà sur le chemin de la libération : Certains en mourront de désespoir
    - à détenir un record de mortalité, avec 1 à 8 décès par jour.

    Boudarel étant devenu le « conseiller technique » pour l’action psychologique, les chefs des 130 camps Việt Minh appliquaient avec zèle, sur ses indications, les séances de tribunal populaire destinés à juger ceux qui étaient considérés comme « fautifs ». Les prisonniers subissaient des traumatismes importants dus au viol psychologique de l’endoctrinement, des séances d’autocritique et d’encouragement à la délation.

    Ils furent, ainsi, victimes « d’agressions psychologiques découlant d’une doctrine monstrueuse, appliquée par un État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique et d’intolérance active ». Tous les éléments du génocide constituant le crime contre l’humanité furent réunis, tel que le définit la Convention des Nations Unies du 9 décembre 1948 : « Atteintes graves à l’intégrité physique et mentale du groupe ; soumission intentionnelle de celui-ci à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ».

    Par ailleurs, en dépit de leur extrême faiblesse, tous ceux qui pouvaient tenir debout participaient aux corvées et aux activités du camp. « Si pas travailler, pas manger ! » Telle était la devise du surveillant général.

    « Notre estomac est un chien enragé qui glapit, s’élance et se déchaîne, déchire les entrailles de ses dents »…

    Pour preuve de son implacable inhumanité et de la jouissance dont il devait probablement se repaître, Boudarel fit condamner à mort Jean CHAMINADAS qui commandait la 7ème Compagnie du 5ème Régiment Etranger d’Infanterie au motif d’avoir tenté trois évasions et tué une sentinelle lors de la dernière. Mais là ne s’arrêta pas son abjection… Il demanda au frère du condamné, Max CHAMINADAS, également prisonnier, de commander, en personne, le peloton d’exécution… ce que Max refusa, évidemment. Qu’à cela ne tienne : Jean fut exécuté, pour l’exemple, sous les yeux de ses camarades d’infortune. Aujourd’hui, sa dépouille (ou ce qu’il en reste) repose au mémorial dédié aux « Morts pour la France » implanté à Fréjus.

    Parmi les punitions – identiques à tous les camps- l’une des plus terribles était le séjour prolongé dans la sinistre « cage à buffles » sous une maison sur pilotis où le prisonnier, attaché à un poteau dans une eau putride sans pouvoir se protéger des piqûres d’insectes, était supplicié jusqu‘à la folie et la mort.

    Durant l’année de son activité au camp 113, Boudarel reconnut lui-même un taux de mortalité atteignant les 70 %. Sur les 320 prisonniers Français, 278 moururent de mauvais traitements et de torture physique et psychologique. Lorsqu’ils débarquèrent à Marseille, les survivants, squelettes ambulants ou morts-vivants portés sur civière, furent la cible des jets de boulons, de crachats et d’injures par des dockers communistes de la CGT.

    Inculpé de trahison Georges Boudarel fut condamné à mort par contumace en juin 1953. Après les accords de Genève, ce tortionnaire, bénéficiant de la loi d’amnistie gaulliste du 18 juin 1966, revint en France et fut aussitôt coopté au CNRS par ses amis communistes pour y préparer une thèse de troisième cycle d’histoire à l’université Paris VII Jussieu. Il devint maître de conférences à Jussieu et ces mêmes communistes et syndicalistes feront ensuite valider ses années « d’expérience » en Indochine pour favoriser sa carrière…

    Durant ces années, il fréquente assidument les milieux trotskistes, en particulier la ligue d’Alain Krivine et comptera parmi ses amis et « protecteurs » Gisèle Halimi, Suzan Sontag, Marianne Schaub, Laurent Schwartz, Marcel Kahn, Madeleine Rebérioux… tout le gratin de la gauche intellectuelle qui sera à l’origine de la création de la « Ligue Contre Révolutionnaire ».

    Le 13 février 1991, lors d’un colloque au Sénat sur le Vietnam auquel Boudarel participait, il fut reconnu et apostrophé par Jean-Jacques Beucler, ancien secrétaire d’État aux anciens combattants ayant lui-même participé à la guerre d’Indochine durant laquelle il avait été prisonnier pendant 4 ans dans le camp 113.

    « Vous avez du sang sur les mains. Votre présence à cette tribune est indécente ! » vitupéra Beucler.

    L’affaire fit grand bruit, d’autant plus que Boudarel adopta une attitude provocatrice, affirmant ne rien regretter et allant jusqu’à se moquer publiquement de ses anciennes victimes. D’autres témoignages furent déposés ensuite contre Boudarel qui fit l’objet en 1991 d’une plainte pour crimes contre l’humanité déposée par d’anciens prisonniers français du camp 113. Contre toute attente, articles et pétitions en faveur de Boudarel ne manquèrent pas dans le camp « progressiste » (Jean Lacouture, Pierre Vidal-Naquet…) et la justice rejeta l‘accusation de crime contre l’humanité portée par une association d’anciens combattants, au motif que les faits étaient couverts par la loi d’amnistie de 1966.

    Suprême dérision : Soutenu par l’ensemble de la gauche intellectuelle, il échappa également à toute sanction dans le cadre universitaire.

    A 65 ans, l’ancien commissaire politique du camp 113 put en toute légalité faire valoir ses droits à la retraite. Il mourra paisiblement dans son lit le 26 décembre 2003 à l’âge de 77 ans.

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine)

    José CASTANO

    http://www.contre-info.com/commissaire-politique-stalinien-du-viet-minh-boudarel-le-monstre-francais-du-camp-113#more-32722

  • L'école St Dominique au Pecq, premier établissement hors-contrat de France

    L'école St Dominique au Pecq est le premier établissement privé hors-contrat de France par la taille. Fondé par une équipe de parents en 1992 avec 35 enfants, il compte aujourd’hui 747 élèves, répartis en 28 classes, de la maternelle à la terminale. Et devra s’agrandir encore avec l’ouverture du lycée féminin, à la rentrée 2014, grâce à la construction d’un troisième bâtiment. Frédérique Borne, directrice du primaire, répond à Présent :

    "Nous accueillons actuellement 320 élèves répartis en 13 classes toutes mixtes. Pour répondre à une importante demande en cours moyen, nous ouvrirons à la rentrée une nouvelle classe de CM1/CM2 à effectif volontairement réduit. [...]

    Nous recrutons nos enseignants par le bouche à oreille et avec l’aide précieuse de la Fondation pour l’Ecole, qui nous envoie aussi des stagiaires. La formation dispensée à l’Institut libre de formation des maîtres [l’ILFM, fondé par Anne Coffinier] est d’excellente qualité, elle demande à ses étudiants un bon niveau académique doublé d’un dynamisme et d’une forte motivation, indispensables à la pratique du métier d’instituteur. [...]

    Quelle est, pour vous, la qualité première d’une institutrice ?

    La capacité de transmettre des connaissances dans la bonne humeur et la douceur, et celle de susciter l’émerveillement et l’enthousiasme.

    Question inévitable : sans aide aucune de l’Etat et avec votre succès, comment réussissez-vous à faire fonctionner le financement de l’école? J’imagine que c’est par l’engagement des parents, des familles ? Parlez-nous un peu de ce fantastique réseau d’entraide générale.

    A Saint-Dominique, toutes les dépenses sont très rigoureusement étudiées à tous les niveaux, mais 15 % sont couvertes par les dons que nous recevons grâce à nos manifestations comme la vente de Noël, le premier week-end de l’Avent, la kermesse, les 14 et 15 juin cette année, le théâtre de la Troupe Hélène et Tatiana formée de professeurs et de parents de l’école, mais aussi grâce au dynamisme des membres du conseil d’administration et de tous les amis de l’école, qui participent à la vie de Saint-Dominique, soit financièrement, soit en apportant leur aide ponctuelle ou régulière. Nous recevons aussi le soutien de la Fondation pour l’Ecole. [...]

    L’école entretient d’excellentes relations avec la mairie du Pecq et nous y avons été bien accueillis dès le début. En effet, dès notre installation dans cette commune, le sénateur maire de l’époque, Alain Gournac, a accordé sa confiance à notre directeur général, M. Michel Valadier, et à nos projets pédagogiques et éducatifs : sens du travail bien fait, courage, courtoisie, sens des autres… Nous participons aux activités scolaires, comme l’annuel et traditionnel « cross des écoles de la ville du Pecq », nous sommes conviés à toutes les cérémonies et événements organisés par la ville."

    Michel Janva