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culture et histoire - Page 269

  • Les origines secrètes de la Première Guerre Mondiale

    par Eric Delcroix.

    Il existe de multiples thèses sur les causes de la Première Guerre mondiale. Pour certains, c’est l’Allemagne qui est coupable. Pour d’autres, c’est la Russie et le clan belliciste français qui ont poussé à l’affrontement. Pour d’autre, c’est le jeu mécanique de l’enchaînement des alliances qui a rendu la guerre totale inévitable. Sans oublier, bien entendu, la thèse marxiste qui considère que la Première Guerre mondiale était provoquée par le capitalisme.
    La thèse qui est présentée ci-dessous met en cause les puissances anglo-saxonnes. C’est une thèse qui vaut d’être présentée et débattue car on ne peut connaitre la vérité historique que par la confrontation des points de vue.

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  • Verdun par ceux qui l’ont vécu

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    Pour commémorer le centenaire de la terrible bataille de Verdun, les éditions Michel Lafon ont eu l’excellente idée de publier un album composé essentiellement de textes, photos, légendes, cartes, tableaux et dessins d’humour tirés des numéros du journal L’Illustration publiés durant la bataille de Verdun. Seuls quelques encadrés facilement identifiables ont été ajoutés pour éclairer ou remettre en perspective certains points historiques.

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  • Au contact de l’Orient, la philosophie grecque

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    Singulière mais aucunement renfermée sur elle-même, la philosophie des Grecs, un peuple de guerriers et de marchands, s’est nourrie d’influences orientales, tout comme elle a façonné l’Orient en retour, notamment avec les conquêtes d’Alexandre. Se battre contre les Perses n’empêchait pas d’écouter leurs chants sacrés. Des apparentements existaient entre vues du monde. Et si les Indo-européens avaient inventé, il y a trois millénaires, une philosophie de l’Eurasie ?

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  • Comment la Franc-Maçonnerie fait une révolution : les dessous de l’établissement de la république espagnole (Jean Marquès-Rivière)

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    Jean Marquès-Rivière (1903-2000), écrivain et journaliste, fut lui-même franc-maçon, avant de s’en détacher et d’en dénoncer les méfaits.

    Paru pour la première fois en 1936, ce livre est une enquête documentée sur le rôle joué par la franc-maçonnerie dans le processus révolutionnaire qui a conduit à l’établissement de la république en Espagne. La Révolution de 1931 qui a bouleversé les fondements religieux, sociaux et économiques de l’Espagne ne fut pas l’explosion spontanée d’un mouvement populaire.

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  • Parution : « La société de propagande », de Jean-Yves Le Gallou

    Parution : « La société de propagande », de Jean-Yves Le Gallou

    Dans le monde orwellien qui est désormais le nôtre, il est une réalité que les nowhere aiment à nier en ce qui les concerne, mais qu’ils n’hésitent pas à lancer pour qualifier l’attitude des hommes enracinés : la propagande. Dans ce dernier ouvrage, Jean-Yves Le Gallou revient sur ce terme et nous livre un manuel de survie pour lutter contre ce qu’il nomme un « goulag mental ».

    L’auteur nous rappelle habilement que la propagande a toujours été un levier puissant dans le but d’assurer la cohésion des sociétés humaines. Il nous montre cependant au fil des pages, comment la société occidentale a imposé une propagande massive et mondiale qui vise avant tout à fragmenter les identités traditionnelles pour faire muter chacun d’entre nous en citoyen du monde. Ainsi Jean-Yves Le Gallou évoque cette propagande mondiale qui touche tout le monde à travers les médias. Ces derniers, devenus mondialistes et réduisant les événements locaux à leur portion congrue, appliquent une propagande professionnelle et méthodique à coup de simplification, défiguration, contagion ou encore d’émotion. Allant bien au-delà des seules dépenses de publicité, Jean-Yves Le Gallou estime que les dépenses de propagande se montent à 5% du PIB des pays du monde occidental. Elles permettent à l’idéologie arc-en-ciel de se mettre en place : les minorités – ethniques, religieuses, sexuelles – et les lobbys imposent ainsi leurs lubies. Le progressisme et le wokisme gagnent du terrain et l’on obtient une société liquide, faite de MHI : une matière humaine indifférenciée.

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  • Mémoires d’un magicien (Hjalmar Schacht)

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    Hjalmar Schacht (1877-1970) est un économiste allemand. Il fut à l’origine de l’utilisation, à partir de 1923, du rentenmark, la monnaie allemande adoptée pour faire face à l’hyperinflation. Président de la Reichsbank de 1924 à 1930 puis de 1933 à 1939, il a également été ministre de l’Economie du Troisième Reich de 1934 à 1937.

    Hjalmar Schacht était soucieux de stabiliser la monnaie allemande et de freiner l’endettement public et avait obtenu d’excellents résultats, ce qui lui avait valu le surnom de magicien. Il dénonçait farouchement le Diktat de Versailles qui avait plongé l’Allemagne dans la misère.

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  • Le nouveau numéro de la revue Eléments est sorti

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    En vente chez votre marchand de journaux ou sur le site d'éléments ici

  • Théologie de la provocation : causes et enjeux du principe totalitaire (Gérard Conio)

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    Gérard Conio, professeur émérite de l’Université de Nancy, traducteur d’auteurs russes et polonais, est aussi l’auteur de nombreux ouvrages sur l’art et le cinéma.

    L’une des leçons de l’expérience totalitaire vécue sous le régime soviétique a été celle du « tiers inclus », à savoir l’espionnage des âmes exercé par un pouvoir inquisiteur qui s’installait à l’intérieur même des consciences. Mais on aurait tort de croire que cette paranoïa née d’un régime policier fut réservée à la Russie soviétique. Aujourd’hui, tout l’Occident est devenu la copie conforme de ce « cauchemar climatisé ».

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  • Portrait de Gabriele d’Annunzio 2/2

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    Dans le domaine du vers notamment, où il excella tout jeune, (son premier recueil, Primo vere, contient les poèmes écrits en 1879 et 1880, entre 16 et 17 ans), Annunzio possède le double don sans lequel il n'est pas de grand poète : l'alliance de l'image neuve et de la sonorité ; il est plastique et musical. Romancier, il a, par les illustrations qu'il a données du culte “Amour et Beauté”, imposé à toute une époque sa vue per­sonnelle du monde, la mystique sensualiste d'un paganisme nouveau. Il est à l'origine d'un certain romanesque lyrique, tout à l'opposé de l'école naturaliste, qui, elle, a bien souvent caché, cultivé comme un vice, sous le couvert de la recherche du Vrai, un amour monstrueux, assidu, acharné de la Laideur. Il a créé une atmosphère d'enchantement qui n'appartient qu'à lui, détourné le XIXe siècle finissant des spectacles amers, des étalages complaisants de la bassesse humaine et de la platitude. Il nous a induits en des rêveries fastueuses ; il nous a rendu les clés des jardins ornés, des palais au fond des parcs ; il a peuplé nos songes de fascinantes figures de femmes, restauré les loisirs heureux ou ravagés par des passions aristocratiques.

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