En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Rémy Prud’homme est professeur d’économie et ancien directeur-adjoint de l’environnement à l’OCDE.
Il signe un livre qui vient tordre le cou à un mythe de plus en plus répandu et de plus en plus influent, le mythe du « changement climatique » causé par l’homme, qui rejette du CO2 dans l’atmosphère, qui augmente la température du globe, qui entraîne toutes sortes de catastrophes, ce qui appelle en retour des politiques draconiennes.
Pour se garder du nihilisme, il faut le débusquer. Et il n’est pas toujours là où on croit le trouver au premier regard. Il est des cas de figure où Dieu peut détourner de l’être. Pour surmonter le nihilisme, il faut d’abord savoir où il est. De quoi le nihilisme est-il l’oubli ? C’est ensuite à la recherche d’une voie de sortie par le haut du nihilisme que nous convie Martin Heidegger (1889-1976). Sans brûler les étapes ni prendre la mauvaise sortie.
Dans Achever le nihilisme (Pierre Le Vigan, Sigest, 2019), l’idée fondamentale qui était à l’œuvre était que, pour sortir du nihilisme, c’est-à-dire du rien, il fallait aller au bout de ce rien en épuisant tous les recours illusoires qui s’offrent à nous. Pas sûr que le sens de cette démarche ait toujours été compris. La question est pourtant d’importance. C’est pourquoi il faut faire retour sur la question du nihilisme, c’est-à-dire du rien, c’est-à-dire du néant.
La destruction du monde ne date pas d’hier. La destruction des bois et des forêts a été maintes fois commentée dans l’Antiquité, notamment par Ovide.
« Les pins abattus sur les montagnes n’étaient pas encore descendus sur l’océan pour visiter des plages inconnues. Les mortels ne connaissaient d’autres rivages que ceux qui les avaient vus naître. Les cités n’étaient défendues ni par des fossés profonds ni par des remparts. »
Le britannique John M. Roberts, vice-chancelier de l’université de Southampton, est l’auteur de nombreux ouvrages de référence dont cette Histoire du Monde reste son maître livre. Quant à l’historien norvégien Odd Arne Westad, il enseigne l’histoire des relations internationales à la London School of Economics et est un expert mondialement reconnu de l’histoire de l’Asie.
Editée initialement en anglais, cette Histoire du Monde s’est vendue à plus d’un million d’exemplaires. Les éditions Perrin viennent d’en traduire et publier le premier tome. Les deux autres tomes sont prévus en librairie avant la fin de ce trimestre.
Contrairement à ce que tentent de nous faire croire les gauchistes, qui pointent avec inquiétude les quelques voix dissidentes. Dans Le Figaro, Eugénie Bastié recense le dernier livre d’André Perrin, Postures médiatiques., André Perrin vient lui-même de la gauche, il a voté Mitterrand et Bayrou. Cet agrégé de philosophie, ami de Jean-Claude Michéa, rappelle que la gauche domine toujours le champ culturel :
Maurice Talmeyr (1850-1931), écrivain et journaliste, a collaboré à la rédaction de nombreux quotidiens français parmi lesquels Le Figaro et La Croix à une époque où ces journaux étaient bien éloignés de la ligne rédactionnelle qu’on y trouve aujourd’hui. Membre de la Ligue française anti-maçonnique, Maurice Talmeyr a beaucoup œuvré à démontrer que la Révolution française était le fruit d’une conspiration maçonnique. C’est l’objet de ce petit livre.
L'amour des « petites patries » provinciales a nourri la plume de nombreux écrivains français, parmi les meilleurs. Et joué un rôle essentiel dans la pensée de droite au siècle dernier.
« Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux/Que des palais romains le front audacieux/Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : /Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin,/Plus mon petit Lire, que le mont Palatin/Et plus que l'air marin la douceur angevine. »
Cet ouvrage essentiel est paru pour la première fois à Rome en 1962 et avait été distribué à tous les Pères conciliaires dans l’espoir que cette somme d’informations les prémunirait contre les tentatives de reniement annoncées de la Tradition et des vingt siècles de l’histoire de l’Eglise. Il n’en fut hélas rien.