culture et histoire - Page 267
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4 HEURES SOUS TERRE : un site archéologique interdit ?
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Génération hussards : Nimier, Blondin, Laurent… Histoire d’une rébellion en littérature
« La joie de vivre, l’insolence, le savoureux mépris ». Cette phrase de Michel Déon à propos de leurs œuvres est le résumé des figures que présente Marc Dambre dans Génération Hussards.
Certains sont catégoriques, « Les Hussards » n’ont jamais existé. Le Professeur Marc Dambre est persuadé du contraire ; ils ont bien constitué une forme de mouvement littéraire dans la France de l’après-guerre. Dans un ouvrage édité chez Perrin en août 2022, il retrace donc l’épopée des auteurs que Bernard Frank a surnommés ainsi dans la revue Les Temps Modernes, en décembre 1952.
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Yann Vallerie - Les raisons d'une absence
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Le Complot inconscient (Jean-Pierre Aussant)
Jean-Pierre Aussant, ancien étudiant en théologie, dénonce « les deux pierres angulaires de la culture de mort » : la « déculpabilisation-normalisation » de l’avortement et de l’homosexualité.
Dans cet essai, l’auteur analyse en quelques pages notre société moderne mortifère qui hait Dieu, fait l’éloge de l’avortement, promeut l’homosexualité, vante une spiritualité mondialiste écolo-new âge, encourage le multiculturalisme et diabolise tous ceux qui refusent de se soumettre aux mots d’ordre imposés via un matraquage médiatique.
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Des galeries OUBLIÉES sous un château ! | Sur le Terrain #3
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Louis XV, côté cour, côté jardin, avec Hélène Delalex
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Verdun 1916 : la bataille vue du côté allemand et du côté français
C’est une démarche originale que nous propose ce livre : confronter les points de vue allemand et français au sujet de la bataille de Verdun. Ce livre a été conçu et réalisé pour « servir » le centenaire de la bataille.
L’histoire de la bataille de Verdun a été maintes fois écrite. Mais cet ouvrage permet d’entrevoir le contraste entre les significations que Français et Allemands donnent à cette bataille. Dans la mémoire collective française, Verdun est « la » grande bataille de la Grande Guerre et un lieu devenu sacré. Vu du côté allemand, cette bataille est une grande offensive comme il y en eut beaucoup d’autres, un engagement massif d’hommes et d’artillerie, un grand espoir de succès qui devait déboucher sur la paix, puis une rapide déception devant un enlisement qui se prolonge.
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Manger de la viande du paléolithique à nos jours, avec Florent Quellier
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Définir la Guerre de Cent ans, avec Amable Sablon du Corail [1/3]
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Pourquoi relire Koestler ? Entretien avec Robert Steuckers à l’occasion de ses dernières conférences sur la vie et l’œuvre d’Arthur Koestler 3/5
Ma lecture du “Zéro et l’Infini”
Toute personne qui entre en politique, entre obligatoirement au service d’un appareil, perclus de rigidités, même si ce n’est guère apparent au départ, pour le croyant, pour le militant, comme l’avoue d’ailleurs Koestler après avoir viré sa cuti. À partir d’un certain moment, le croyant se trouvera en porte-à-faux, tout à la fois face à la politique officielle du parti, face aux promesses faites aux militants de base mais non tenables, face à une réalité, sur laquelle le parti a projeté ses dogmes ou ses idées, mais qui n’en a cure. Le croyant connaîtra alors un profond malaise, il reculera et hésitera, devant les nouveaux ordres donnés, ou voudra mettre la charrue avant les bœufs en basculant dans le zèle révolutionnaire. Il sera soit exclu ou marginalisé, comme aujourd’hui dans les partis dits “démocratiques” ainsi que chez leurs challengeurs (car c’est kif-kif-bourricot !).