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culture et histoire - Page 331

  • Non, les dolmens ne sont pas que bretons

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    Bien qu’attaché traditionnellement au patrimoine culturel  de la Bretagne, et tirant leur nom du bas-breton dolmin tel qu’il leur fut attribué par Pierre Jean-Baptiste Legrand d’Aussy dans sa lecture devant l’Académie des Sciences du 25 février 1799, ce n’est pas dans les départements bretons que l’on trouve le plus de ces mégalithes.

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  • Livre-Libre : Les officiers perdus… pour avoir gardé l’honneur

    Marqué dans son enfance par l’histoire de son père, l’un de ces officiers qui refusèrent la perte de l’Empire et surtout la trahison de la parole donnée aux populations locales, Gilles Hustaix nous livre un roman où l’on reconnaîtra sans peine plusieurs des personnages de cette époque, entraînés dans un drame dont la France n’a pas fini de subir les conséquences…


     
  • Les massacres de 1794 à Orange

    Qui furent les bourreaux ?

    – Étienne Christophe Maignet, avocat et député du Puy-de-Dôme, représentant de la Convention nationale, né à Ambert le 9 juillet 1758, a participé à la terrible répression de l’insurrection de Lyon et à la« punition » de Bédoin (village décimé pour cause « d’arbre de la liberté » arraché). Il installe « son » tribunal, selon les derniers décrets de la Convention sans jurés et sans défenseurs, dans l’ex chapelle Saint Louis assez grande pour accueillir spectateurs, « juges » et inculpés-condamnés des départements du Vaucluse et des Bouches du Rhône. Pour remplir les geôles de ce « Tribunal » il suffisait de la dénonciation de deux citoyens.

    Son tribunal était composé à partir du 19 juin 1794 des membres suivants :

    – Jean Fauvety, Président, né en 1763 à Uzès, Protestant « au cœur d’acier ».

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  • Identité nationale et droits de l’homme : droit, individu et identité (partie 3)

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    Par Henri Temple

    OPINION. Comment le droit a- t‑il historiquement cimenté l’identité individuelle et le sentiment d’appartenance nationale ? Dans cette réflexion en quatre parties, Henri Temple s’interroge sur la place de l’identité nationale dans notre monde globalisé.

    Le Droit a pour finalité d’empêcher le désordre social et la souffrance individuelle. Cela concerne donc aussi la souffrance identitaire et nationale. Le Droit tient compte du réel et donc, à ce titre, du besoin, collectif ou individuel, de nation : c’est l’équilibre intime de la personne, autant que l’édifice national, et même l’architecture de l’humanité qui sont en cause. Le Droit intervient donc pour protéger l’homme, son identité et l’identité de son peuple : ce sont les Droits de l’Homme et des Peuples. Même si les droits des hommes sont connus depuis longtemps, sans pour autant être bien analysés, les  »droits de l’homme » n’ont été systématisés juridiquement que récemment, de la fin du XVIIIe au XXe siècle.

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  • Le Nationalisme français et le Nationalisme allemand, par Charles Maurras

    Devant l'Histoire....

    Le 8 mai 2011, le site Maurras.net - sous le titre Comment Maurras dénonçait Hitler en 1937 - a envoyé ce texte de Maurras (alors en prison) en l'accompagnant du commentaire suivant (extrait) :

    "...En avril 1937, la librairie d’Action française publie une brochure de propagande destinée à montrer au public, et à rappeler en bons arguments aux militants, en quoi le nationalisme français se distingue en tout du fascisme mussolinien et du national-socialisme hitlérien. C’est Marie de Roux qui en rédige l’essentiel ; Maurras y ajoute une postface, Le Nationalisme français et le Nationalisme allemand, que nous publions aujourd’hui, en lui adjoignant en note l’essentiel d’un billet écrit par Jacques Bainville en 1933, peu après l’accession d’Hitler au pouvoir.

    L’argumentation est solide et carrée.

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  • Nouvelle histoire des guerres de Vendée

    Jean-Joël Brégeon est historien. Gérard Guicheteau est journaliste et écrivain.

    La « Vendée militaire » s’étendait sur quatre départements : le Maine-et-Loire, la Loire-Inférieure, les Deux-Sèvres et la Vendée. Dès les premiers rassemblements de Vendéens au printemps 1793, le signe de ralliement fut le Sacré-Cœur. « Tous les paysans avaient par dévotion, et sans que personne en eût donné l’ordre, un Sacré-Cœur à leur habit et un chapelet passé dans la boutonnière », rapporte la marquise de La Rochejaquelein dans ses Mémoires.

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