Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 330

  • Découverte exceptionnelle d’un sarcophage de l’empire romain dans les sous-sols de la ville basse d’Elne, près de Perpignan

    Vu sur FdeSouche

    C’est sur le site d’une vaste nécropole de la fin de l’époque romaine, connue depuis les années 60, que cette découverte majeure pour l’archéologie catalane a été faite à Elne, près de Perpignan. Un sarcophage romain du Ve ou VIe siècle a été mis au jour lors de travaux d’assainissement. Son état de conservation est exceptionnel.

    A Elne, ce mercredi matin, les archéologues, techniciens, élus et même les habitants observent avec attention un chantier dans la ville basse. Tous les regards sont tournés vers un trou béant dans la chaussée où repose à trois mètres de profondeur, un sarcophage romain en parfait état.

    Lire la suite

  • Le groupe de Rock identitaire français (RIF) IDF vient de sortir un nouvel album : Contreplongée

    860559892.jpg

    Thierry DeCruzy

    Annoncé depuis plusieurs années, le dernier album du groupe de RIF, Ile-De-France, ne déçoit pas. Après celui d'In Memoriam en 2018 et celui de Fraction en 2021, voilà un autre groupe historique du Rock identitaire français qui revient. 

    Lire la suite

  • Les parias de la République (Maxime Tandonnet)

    Maxime Tandonnet est un haut fonctionnaire, auteur de nombreux ouvrages consacrés à l’histoire politique française.

    Tenter une réflexion historique sur la place et le rôle du pestiféré dans les milieux dirigeants de la République française, au sommet de la hiérarchie sociale, peut sembler paradoxal. Pourtant, la vie politique est propice à l’apparition de parias parmi les plus hauts dirigeants du pays.

    Lire la suite

  • La démocratie et les élections - conférence de Philippe Ploncard d'Assac à Paris le 09 Avril 2022

  • Parution : Tolkien, l’Europe et la tradition

    Parution : Tolkien, l’Europe et la tradition

    Loin des adaptations wokistes et volontairement déconstruites de l’œuvre fondamentale de John Ronald Reuel Tolkien, le nouvel ouvrage d’Armand Berger montre bien qu’on ne peut entrer en Terre du Milieu qu’en passant par la tradition et la longue mémoire européenne. Conscient de la nécessité vitale de transmettre aux générations qui viennent les traditions ancestrales qui ont forgé notre civilisation, l’auteur nous invite à une promenade – comme il le dit lui-même – à travers les bois et les cités de la Terre du Milieu à la rencontre de nos mythes fondateurs.

    Lire la suite

  • L’Ukraine, son identité, son histoire et sa place dans l’Europe – Entretien avec Pascal Lassalle

  • Donoso Cortés Une critique du libéralisme 2/2

    Donoso Cortés Une critique du libéralisme.jpeg

    L’une de ces deux positions nie radicalement la société, l’autre l’affirme souverainement, et c'est avec une conscience tendant à la limite de l'extrême que Donoso Cortés ne voit guère de juste milieu à cette alternative : « Ou bien... ou bien… », soit la civilisation catholique, soit la civilisation philosophique, selon les mots de l’époque, c'est-à-dire la civilisation qui enseigne que la nature de l’homme est déchue ou la civilisation qui enseigne au contraire que la nature de l’homme est une nature parfaite et saine et que la solution du problème social réside dans la rupture avec tous les liens qui compriment et assujettissent la volonté humaine. « Entre ces deux civilisations, il y a un abime insondable, un antagonisme absolu » (lettre à Montalembert du 26 mai 1849). D'ou la nécessité polémique pour Donoso et non dogmatique comme le relevait Carl Schmitt - d'affirmer la radicale malignité de l’homme dans son Essai sur le catholicisme, le libéralisme et le socialisme : « Si mon Dieu n'avait pas pris chair dans les entrailles dune femme, et s'il n'était pas mort sur une croix pour tout le genre humain, le reptile que j'écrase sous mon pied serait à mes yeux moins méprisable que l’homme. »

    Lire la suite

  • Donoso Cortés Une critique du libéralisme 1/2

    Donoso Cortés Une critique du libéralisme.jpeg

    Par Ego Non

    Si l’Éducation nationale faisait son travail, elle mettrait au programme des lycées les classiques de la pensée politique, au même titre que les grands auteurs du patrimoine littéraire. L'homme deviendrait alors un animal politique. Ego Non, qui tient la chaine YouTube du même nom, nous offre plus qu'une session de rattrapage - une introduction l’art de (se) gouverner.

    Curieuse est la postérité de Juan Donoso Cortés, marquis de Valdegamas. Son nom ne semble réapparaitre que lorsque les certitudes s'envolent, dans l'écho des catastrophes. À trois reprises, note Carl Schmitt, les racines de l’Europe ont été profondément ébranlées : lors des multiples révolutions de 1848, à l’issue de la Première Guerre mondiale et de la révolution bolchevique, et à la suite de la Deuxième grande guerre. « Chacun de ces événements de l’histoire a fait que l’on a soudain parlé de Donoso Cortés dans toute l’Europe », note le juriste allemand dans Donoso Cortés. Quatre essais. « Mais chaque fois seulement pour un instant, seulement pour les secondes de frayeur qu'inspire le danger, quand les scellés sont brisés et le sens du secret découvert. Cet instant une fois passé, son nom aussi s'évanouissait en même temps que la frayeur du moment. » Ce retour épisodique de Donoso Cortés sur le devant de la scène intellectuelle doit nous interroger. Peut-être est-il temps, enfin, de redécouvrir ce grand penseur - avant qu'il ne soit trop tard.

    Lire la suite

  • Le Diable Blanc de la Mer Noire : les aventures d’un officier russe de l’Armée blanche

    Aventures d’un officier russe ou Le Diable Blanc de la Mer Noire a été publié pour la première fois en français chez Plon en 1925. Son auteur est resté anonyme. On sait néanmoins qu’il passa ses premières années dans le vaste domaine princier de ses parents et entra en 1900, à onze ans, dans le Corps des Pages de Sa Majesté Nicolas II. Des cavaliers cosaques lui apprirent à monter à cheval. En 1907, il s’engagea dans le régiment des Chevaliers-gardes de Sa Majesté l’Impératrice douairière. Il s’illustra bravement dès le début de la Première guerre mondiale, recevant la croix de Saint-Georges pour avoir fait sauter une station de chemin de fer à l’arrière des lignes ennemies.

    Lire la suite