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culture et histoire - Page 334

  • 2 octobre 741 : Charles Martel

    Carlus Magnus, « Charles le Grand » : ce surnom a donné Charlemagne. Pourtant, le qualificatif de «Grand» fut au moins aussi largement mérité par un autre Charles - le grand-père de Charlemagne, Charles Martel.

    À l'abbaye d'Echternach, le moine chargé de noter dans un Calendrier les grands événements écrit  : « Octobre 741, mort du roi Charles. » lapsus révélateur : le grand chef franc qui vient de mourir à Quierzy, dans la vallée de l'Oise, n'a jamais porté le titre de roi. Pourtant, sa dépouille est ensevelie à Saint-Denis, la nécropole des rois mérovingiens. C'est la meilleure preuve du fait que, sans porter la couronne, Charles Martel a bel et bien été un souverain, un chef du peuple.

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  • La République amnésique (Thierry Bouclier)

    Thierry Bouclier est avocat et écrivain.

    En fouillant dans les proclamations politiques, les discours parlementaires, les circulaires ministérielles, et autres traces de la vie politique française, Thierry Bouclier a rassemblé quantité de déclarations de personnages installés au panthéon républicain et de médias référents du politiquement correct qui vaudraient aujourd’hui à leurs auteurs d’être condamnés par la bien-pensance et les tribunaux.

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  • Histoire : la Russie, l’Angleterre et l’Afghanistan

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    À la suite de la progression de la Russie en Asie Centrale dans les années 1860 à 1870 (1), l’Afghanistan est devenu le théâtre d’affrontements entre la Russie et l’Empire britannique ! La deuxième guerre anglo-afghane a commencé en 1878, lorsque l’émir afghan, Cher-Ali, a reçu l’ambassade russe après avoir refusé d’accueillir l’ambassade britannique. L’armée anglaise, bien supérieure à l’armée afghane, lui a infligé une série de défaites.

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  • Que sont les héros d’autrefois devenus ?

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    Face à l’omniprésence des personnages de fiction importés des États-Unis, il est urgent de revenir à nos traditions et renouer avec les héros européens.

    Si vous demandez à un enfant quel est son héros préféré, il y a de très fortes chances pour qu’il vous réponde par le nom d’un « super-héros ». Les jours de Carnaval dans les écoles, vous croiserez Spiderman, Batman ou l’un de leurs acolytes, un Robin des Bois si vous avez de la chance, mais probablement pas d’Hercule ni de Siegfried. Les héros européens sont en voie d’effacement, plus précisément de “super-remplacement” dans l’imaginaire collectif.

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  • En relisant René de La Tour du Pin (Abel Rivener)

    Abel Rivener est aussi l’auteur d’un ouvrage consacré à Charles Péguy.

    Quiconque parmi les catholiques veut s’engager en politique devrait lire René de La Tour du Pin. Mais qui est René de La Tour du Pin, s’interrogeront déjà certains ? René de La Tour du Pin (1834-1924), issu d’une famille qui comptait une quinzaine de généraux, entre à Saint-Cyr en 1852. A vingt ans, il en sort officier et s’illustre rapidement en Crimée, puis en Italie en 1859.

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  • Politique naturelle et politique sacrée, par Charles Maurras 3/3

    Démos sera sauvé, du moins dans notre France, quand il saura cela. Il n'en saura rien tant qu'on lui laissera ignorer comment toute volonté démocratique multiplie indéfiniment les fonctionnaires, dont l'usage électoral et l'office centralisateur sont l'un et l'autre réunis au bénéfice d'un Etat totalisateur. Qui veut les libertés civiques doit renoncer au gouvernement électif. Qui préfère l'Election-Reine adopte et sauve par là-même toutes les ficelles dirigistes et étatistes qui paralysent et anémient le Gulliver français.

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