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culture et histoire - Page 84

  • Journée paysanne réussie en Vendée

    Alain Escada reçu par des paysans vendéens

    Une journée paysanne s’est tenue en Vendée. L’occasion de découvrir très concrètement les différentes facettes du métier de paysan, les difficultés vécues par eux, les contrôles qu’ils subissent (avec des contrôles par satellite !) mais aussi leur détermination à défendre un métier essentiel qui est pour eux une vocation transmise de génération en génération.

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  • Les ayatollahs écologistes démentis par les faits : le Groenland redevient ce qu’il était il y a 1 000 ans, une terre à la végétation verdoyante.

    “Groenland” signifie littéralement “terre verte”.

    Ce sont les Vikings qui l’ont nommée “Terre verte” (Groenland) lorsqu’ils ont commencé leur colonisation au début de l’an 1000.

    La  une végétation a doublé au cours des trente dernières années. À ce rythme, nous pourrions voir cette région comme les Vikings l’ont vue il y a plus de 1000 ans.

    Leur chef, Erik “le Rouge”, a colonisé les régions méridionales du Groenland vers l’an 985. En arrivant, ils ont donné à cette terre accueillante le nom de  “Terre verte” parce que, selon leurs récits, ils l’ont trouvée riche en végétation. Ils y sont restés pendant près de quatre siècles.

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  • Le Nouveau Passé-Présent avec le professeur Olivier Dard - OAS : le dernier baroud pour l'Algérie française

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    L’Organisation Armée Secrète, l’OAS, et ses slogans "L'Algérie est française et le restera", "OAS vaincra" ou "l'OAS frappe où elle veut et quand elle veut", n’est généralement traitée, présentée, que comme une organisation fascisante adepte de la violence. Cette définition, extrêmement réductrice, doit être remise en cause et l’étude de cette organisation ne peut se faire sans prendre en compte le contexte très particulier de l’époque.

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  • Apprendre à lire, écrire et compter dans les petites écoles d’Ancien Régime (XVIIe-XVIIIe)

    Lire, écrire et compter sont les trois rudiments élémentaires enseignés dans les petites écoles de l’Ancien Régime, qui ont vu naître la pédagogie moderne (utilisation des images, du jeu comme moyen d’apprentissage). Si le catéchisme, la prière et les leçons de civilité tenaient la première place dans ces petites écoles, la lecture et l’écriture n’étaient pas oubliées.

    L’école est alors à la charge de l’Église, et tenue soit par un maître – voire une maîtresse – nommé par le curé de la paroisse avec la communauté des habitants, soit par une congrégation enseignante, soit quelquefois par le curé lui-même. Dans les campagnes, les habitats destinés spécifiquement à l’éducation des enfants sont extrêmement rares, la communauté décidant de se lancer dans cette coûteuse entreprise devant obtenir l’accord de l’intendant qui menait enquête sur le besoin scolaire. De ce fait, la salle de classe est installée dans le logement du maître (dans la grande majorité des paroisses), parfois dans une grange ou sous le porche de l’église. Rappelons enfin qu’une infime minorité des élèves scolarisés dans ces petites écoles accèdent au collège : la petite école n’est pas une passerelle, et d’ailleurs bon nombre d’enfants la quittent avant la fin de l’apprentissage.

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  • La Première Guerre mondiale a pris fin le 25 novembre 1918

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    C’est en effet le 25 novembre 1918, 14 jours après la signature de l’Armistice du 11 novembre, que les derniers combattants allemands déposèrent les armes. Loin des fronts d’Europe, en Afrique, où, commandés par le général Paul-Emil von Lettow-Vorbeck, ces irréductibles invaincus avaient résisté quatre ans durant à 300 000 Britanniques, Belges, Sud-africains et Portugais.

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  • Bonaparte, la Russie, ou comment rien ne change.

    Franco-russe, je me souviens encore de ce sentiment de gêne qui me travaillait, enfant, à chaque fois que j’entendais parler de la guerre partiotique de 1812. Si j’avais eu le malheur de naître à cette époque, qu’aurais-je fait ? Comme, en certains cas, le sens des réalités n’est pas négociable, je finissais par me ranger du côté russe car, après tout, qui était l’envahisseur ? Le barbare ? Je me souviens des réflexions que m’avaient inspirée la biographie de la bonne vieille Comtesse de Ségur dont le père, Fédor Rostopchine, gouverneur de Moscou entre 1812 et 1814, ordonna la mise à feu de Moscou. Si j’avais été à sa place, me demandais-je, aurais-je pu épouser un Français ? Prenant un peu plus de recul, 25 ans plus tard, je me repose la question mais en d’autres termes : est-ce que les Russes ont bien raison de ravaler une rancune normalement indigeste alors que, si l’on inverse un certain nombre de scénarios, on se rend compte que jamais l’Occident n’aurait absous la Russie. Imaginons que les trois-quarts de Paris eussent été brûlés pour éviter que l’envahisseur russe ne s’en empare !

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  • 1945-1949 : Les États-Unis et la gauche française, le point de vue du département d’État

    par Franck Marsal

    Je poursuis l’exploration des années 1945-1951 comme matrice de la vie politique et sociale française et européenne. C’est en effet dans cette période que sont établies la RFA, dont le développement sera la ligne directrice maîtresse de la politique US, la CECA qui est l’embryon de l’actuelle UE et l’OTAN. Cette situation est en cours de changements radicaux. Pour comprendre et se situer au sein de ces changements, il importe de saisir la manière dont la vie politique actuelle a été organisée, avec perspicacité et constance par le gouvernement et les forces d’influence des États-Unis d’Amérique.

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  • 1ère Guerre Mondiale. Zemmour, Obertone, Conrad… : des personnalités nous livrent leurs conseils de lecture

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    Les commémorations du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale (Grande guerre) ont débuté.

    Si les commémorations « officielles » actuelles laissent à désirer, tant tout cela semble convenu, que ce soit en terme d’organisation que de perpétuation de notre longue mémoire, il est intéressant de se plonger dans les livres, dans les témoignages et les récits d’une guerre qui a touché presque chaque famille d’Europe de l’Ouest – les monuments aux morts en témoignent.

    Nous avons donc interrogé quelques personnalités – que nous avons déjà eu l’occasion d’interviewer – afin de leur demander quels livres ils conseilleraient à nos lecteurs, pour mieux appréhender ce drame qui s’est déroulé il y a un siècle.

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  • les idées reçues en matière historique – Jean Sévilla

    Jean Sévilla à l’occasion de la sortie de son livre Historiquement incorrect répondait le 7/11/2011 à une interview dans le journal Famille Chrétienne

    Question (Famille Chrétienne) : Comment se définit, en Histoire, le « politiquement correct » ?

    Réponse (Jean Sévilla) : Globalement, il s’agit d’une lecture du passé commandée par l’idéologie actuellement dominante. Quelle est cette idéologie ? Celle d’un monde sans frontières, où les enracinements sont condamnés par principe ; d’un monde multiculturel, où toutes les civilisations sont déclarées égales ; d’un monde voué au libre-échange humain et matériel, où toute référence morale et métaphysique est bannie dès lors qu’elle paraît faire obstacle au libre-arbitre individuel.

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