L'écrivain Luc-Olivier d'Algange venait présenter au Cercle Aristote son dernier ouvrage sur la figure d'Ernst Jünger en compagnie de l'association Exil H.
entretiens et videos - Page 202
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Point de vue n°24 - La Démographie
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Notre hommage à Jacques Julliard : « J’ai toujours milité pour une gauche qui croirait au péché originel » 2/2
ÉLÉMENTS : La gauche semble avoir renoncé à changer de société. Réformiste, elle s’adapte à ce qu’elle ne peut plus ou ne veut plus endiguer, en se contentant de corriger à la marge des évolutions qui la dépassent, ce qui revient à gérer la fin de sa propre histoire. Une fatalité ?
JACQUES JULLIARD. La droite ne se préoccupe guère de l’évolution de la société. Elle croit que les sociétés sont autosuffisantes, que le libéralisme est la formule d’une société automatique, conforme à chaque instant à ce qu’elle doit être. De la gauche, qui a toujours été plus volontariste, on attend qu’elle propose des formes d’évolution de la société. On attend d’elle une conciliation de l’idéal collectif qui se dégageait de la société de classes et de l’individualisme qui est le fait des courants bourgeois libertaires, ce qui permettrait de réintégrer le peuple dans le jeu culturel d’abord, et dans le jeu politique ensuite. Mais le peuple se sent aujourd’hui exclu de la culture au sens le plus large, c’est-à-dire la manière dont on peut vivre son présent. Si la gauche ne prend pas en compte ce sentiment de déréliction, elle ne sert plus à rien. Or, malheureusement, les partis politiques de gauche en sont totalement incapables. Longtemps, j’ai cru que les syndicats pourraient le faire – la CFDT s’y efforce encore un peu –, mais il est clair qu’ils ont également perdu l’inventivité intellectuelle qui était la leur dans les années 1970 et 1980.
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Notre hommage à Jacques Julliard : « J’ai toujours milité pour une gauche qui croirait au péché originel » 1/2
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Les Titans et les Dieux Entretien avec Guillaume Faye 4/6
On note aussi la persistance, dans les arts, la littérature, la philosophie, la bande dessinée d’évidents courants païens, souvent inconscients. Car le Paganisme ne ressortit pas d’une dénomination, mais d’une attitude vitale spontanée, d’une vision du monde. John Boorman, Michel Maffesoli, et tant d’autres continuent une interminable lignée de Païens qui ne se définissent pas comme tels.
À mon avis, en dépit d’une évidente parenté des conceptions du monde, la grande différence entre le Paganisme hindou et celui des Païens d’Europe, c’est que le premier, n’ayant pas connu de discontinuité ni d’acculturation, est resté très proche des religiosités populaires de l’Antiquité européenne : on croit, réellement, au premier degré, à l’existence du panthéon divin. Il est impossible d’en revenir, en Europe, à cette posture.
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