entretiens et videos - Page 407
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POURQUOI VONT-ILS NOUS RECONFINER ? La vraie raison...
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MONSIEUR PATY, LES ISLAMISTES ET LA RÉPUBLIQUE
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Actualité et politique du 23 octobre 2020
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Batailles en montagne, de l'Antiquité à nos jours.
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Pierre Le Vigan : Métamorphoses de la ville (conférence en ligne)
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Un réanimateur viré en pleine crise COVID pour désaccord avec la politique sanitaire ! #WTF
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#68 - Patrice GUENIFFEY pour le livre sous sa direction "Révolutions françaises"
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En attendant le 3 Novembre #11 - les missiles sont lancés !
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Daniel Estulin et le virus des Bilderbergs
Ce qui nous arrive est prévu et monté depuis longtemps. Une grande partie fut révélée par l’écrivain d’origine soviétique Daniel Estulin en 2005.
Voici une interview de Daniel Estulin (auteur de nombreux ouvrages sur le globalisme, sur le Club Bilderberg, l’institut Tavistock etc) par Goyo G. Maestro pour le site espagnol larazon.es
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S’il y a un sujet favorable pour les complots, c’est bien le coronavirus, et s’il y a quelqu’un de compétent en la matière, c’est Daniel Estulin, auteur de plusieurs livres sur le club Bilderberg et analyste du renseignement russe. Estulin ne sait pas quelle est l’origine de la « pandémie » , mais il n’exclut pas la version suggérée par les responsables chinois selon laquelle l’armée américaine aurait introduit le virus en Chine . Ce qui est clair, c’est que cette crise sanitaire – « qui est secondaire » – va accélérer la fin du cycle que, ajoute-t-il, nous vivons, avec l’effondrement des marchés et la fin de l’ère entamée avec les accords de Bretton Woods en 1944. « L’Espagne ne peut pas sortir vivante de cette crise », prédit-il dans cet entretien avec LA RAZÓN.
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Charles Robin : « L'impasse idéologique de l'extrême gauche » 1/2
En deux essais, Le libéralisme comme volonté et comme représentation et, plus récemment, Penser le libéralisme, Charles Robin s'est imposé comme le jeune chef de file de ce qu'on pourrait appeler le « courant Michéa ». Rendant compte de ses ouvrages dans un précédent numéro d'Éléments, David L'Épée avait remarqué que ce jeune philosophe montpelliérain de 26 ans, né à l'extrême gauche au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) notamment, savait également manier l'anecdote, la satire et le pamphlet. Raison de plus pour l'interroger...
Propos recueillis par Alain de Benoist
Éléments : Vous avez publié il y a peu un superbe essai sur Le libéralisme comme volonté et comme représentation. Ce titre d'inspiration schopenhauerienne est assorti d'un sous-titre : Démontage d'une mythologie politique contemporaine. En quoi le libéralisme est-il pour vous une « mythologie » ? Comment le définissez-vous ?
Charles Robin : Parler du libéralisme comme d'une « mythologie », c'est avant tout faire remarquer que son hégémonie actuelle est soumise à une série de « fictions » qui en conditionnent le déploiement dans l'ensemble de nos sociétés. La fiction centrale du libéralisme, c'est l'idée que celui-ci ne renverrait à rien d'autre qu'à une doctrine économique, dont les principaux adeptes se logeraient, pour l'essentiel, à la droite de l'échiquier politique. Il conviendrait ainsi, selon ce raisonnement (dont les ramifications sont lointaines et multiples), de voir dans la « droite » contemporaine le représentant principal, sinon exclusif, de la pensée libérale, quand la « gauche » (et, a fortiori, l’ « extrême gauche » se présenterait comme son adversaire idéologique naturel et le plus performant.