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insécurité - Page 417

  • IMPOSER LES CARICATURES, EST UNE FAUTE POLITIQUE ET PSYCHOLOGIQUE !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Pour le président de la République, il semble que l’horizon indépassable de la lutte contre l’islamisme, soit la publication ad vitam aeternamdes caricatures de « Charlie Hebdo » sur le Prophète. Pense-t-il guérir ainsi la fièvre musulmane qui s’est emparée du monde arabe, mais pas que ?

    Est-il opportun d’agiter le chiffon rouge devant une communauté prompte à s’embraser, dès que l’on touche aux « poils de la barbe du Prophète » ? (Barbe supposée, car dans le monde musulman, il n’y a pas de représentation graphique des visages…). Surtout, alors que l’on est incapable, par manque de volonté politique, de faire régner l’ordre dans les zones de non droit et autres quartiers difficiles, il est inutile d’exciter la haine des fidèles. Des prédicateurs sournois et autres imams autoproclamés n’attendent que cela.

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  • Appels à la décapitation, demande de rançons : résister aux menaces islamistes

    Jérémie Bréaud est le maire nouvellement élu de Bron, ville de 38 000 habitants de la banlieue de Lyon. Cette ville a basculé à droite le 28 juin, après une très longue mainmise du PS et du PC. Jeudi matin, les habitants de Bron ont découvert des appels au meurtre peints sur les murs de la ville : « Jérémy Breaud on va te décapité » et aussi « Nik la mumu ». La mumu en question, c’est la police municipale. Ces menaces sont prises au sérieux, et le maire est désormais sous protection policière.

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  • Les mesures pour lutter contre la délinquance sexuelle et les violences faites aux femmes.

  • Gollnisch : “Au risque de choquer, je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, il y a du souci à se faire !…”

    Dans la foulée de la décapitation de l’enseignant Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, le Président Emmanuel Macron (de même que Robert Ménard) est devenu un promoteur du droit au blasphème et un représentant commercial de Charlie Hebdo et de ses caricatures. Ce qui vaut à la France de nouvelles menaces islamiques provenant de différents pays musulmans et de grosses angoisses parmi les services de police, de gendarmerie et de renseignements appelés à redoubler de vigilance sur tout le territoire.

    Un tweet de Bruno Gollnisch fait preuve d’un bon sens qui manque tant à ceux qui nous gouvernent mais aussi, hélas, à beaucoup de représentants du camp national.

    Au risque de choquer (Mais il paraît que l’on a droit au blasphème…), je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, qui n’ont rien à faire dans les classes de collège, il y a du souci à se faire !…“, écrit avec sagesse Bruno Gollnisch.

  • La fièvre monte à Ankara

    6a00d8341c715453ef026bde9ec61f200c-320wi.jpgPar deux fois, le 24 et le 25 octobre, Erdogan a explicitement insulté le tenant du pouvoir parisien, l'accusant de troubles mentaux, à la suite de son discours de la Sorbonne. Difficile dans ces conditions de ne pas donner raison à un Clément Beaune, secrétaire d'État aux affaires européennes, quand il dénonce "une volonté de déstabilisation" de la France de la part gouvernement turc. Dans un tel contexte on peut légitimement conclure que "ce n'est pas un hasard s'il n'y a pas eu de condamnation officielle", par la Turquie, de l'immonde attentat du 16 octobre.

    Les officieux atlantistes affirmaient, 48 heures plus tôt, le 22 octobre, que "l’incident du Courbet est dépassé. L’OTAN essaie d’oublier", tout se passant bien au mieux la meilleure des alliances euro-turques… Ils se trompaient : ce ne sont plus les militaires kémalistes d'hier, ni les vieux cercles diplomatiques, qui mènent la danse à l'est du Bosphore, mais un pouvoir politique s, au contraire, a parfaitement compris désormais que le mégalomane d'Ankara "se présente en protecteur des musulmans de façon complètement instrumentalisée".

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  • Haute-Saône : un lycéen converti à l’islam et radicalisé appelle, sur Internet, à répéter l’attentat de Conflans

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    Depuis la mort de , la vigilance des autorités s’est accrue pour traquer, sur les réseaux sociaux, les messages soutenant le terrorisme islamiste. Un lycéen de 16 ans a été interpellé, dimanche, à Lure, en Haute-Saône, et placé en garde à vue après avoir posté, le 20 octobre, sur Internet, ce message menaçant : « Quelconque mécréant souhaitant salir l’islam mérite de subir le même sort que M. Paty Allahou Akbar », a annoncé, lundi, le parquet de Vesoul.

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  • La justice n’est pas qu’affaire de budget, par Jacques Trémolet de Villers.

    Les éclats médiatiques ne sont qu'écume. Le véritable problème de la justice est double : lui donner des moyens, certes, mais surtout être capable d'entendre le besoin de justice, et répondre à cette demande. Là est le vrai rôle de l'État.

    «Huit pour cent d’augmentation pour le budget de la Justice », dit le Premier Ministre. C’est une annonce classique pour calmer la colère des magistrats. Mais elle peut aussi avoir l’effet inverse. Car, d’abord, la promesse sera-t-elle tenue en 2021, et, ensuite pourquoi ne pas crier plus fort pour avoir encore plus ?

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  • La marche turque, par Georges-Henri Soutou.

    Balkans, Chypre, Grèce, Syrie… La Turquie veut redevenir une puissance méditerranéenne. Faut-il la laisser faire ?

    Une crise, qui couvait depuis des années, est passée en quelques mois au centre des préoccupations internationales : celle qui oppose la Turquie à la Grèce et à Chypre, et dans laquelle la France se trouve très impliquée. Résumons le contexte. Grecs et Turcs ne sont pas d’accord sur leurs frontières maritimes respectives (eaux territoriales et zones d’exploitation économique exclusives), autour des nombreuses îles grecques qui se trouvent tout près du littoral turc.

    Ce n’est pas le seul cas, et les tribunaux internationaux règlent ces questions épineuses souvent en limitant ces zones autour d’îles qui pourraient, sinon, rendre difficile la situation du pays voisin. Mais la Turquie n’a pas signé la Convention de l’ONU sur le droit de la mer.

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  • Dernières nouvelles d’Allemagne (et de Finlande) : « la terreur islamiste est une menace permanente »

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    Il semblerait qu’un frémissement de courant d’air idéologique se fasse jour dans l’entre-soi médiatico-politico-journalistique parisien. Après les crimes de guerre (puisque « nous sommes en guerre » et que nous parlons de crimes) du Bataclan, et Nice il y aura cinq ans bientôt, je ne suis pas vraiment étonné que les colossales forces inertielles idéologiques à l’œuvre en France et en Europe aient permis une nouvelle et énième boucherie islamiste dont la victime est un enseignant cette fois. L’on nous épargna, du moins, les précédents océans de « bisounourseries » à base d’allumettes et de cire, de sucreries émotionnelles ou autres actes de résistance héroïque devant une bonne bière en terrasse.

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  • Rétablissement de la peine de mort : le débat interdit (texte de 2011)

    Pour ou contre la peine de mort ? Dissuasive ou pas ? Utile ou non ? Ces questions ne se posent pas, car elles sont interdites. Le débat est clos avant même d'être ouvert. Tel est le verdict du tribunal médiatique.

    Le dimanche 25 novembre 2007 dans un compartiment du RER D sur la ligne Paris-Orry-la-Ville, une jeune fille de 23 ans est assassinée. Massacrée de 34 coups de couteau par un prédateur récidiviste qui voulait la violer. Seule face à lui, elle s'est défendue et a résisté. Courageusement. Héroïquement. Jusqu'au bout. Elle s appelait Anne-Lorraine Schmitt. Trois ans plus tard, son meurtrier, Thierry Devé-Oglou, a été condamné par la Cour d'assises de Pontoise à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le 15 décembre dernier, le journaliste Julian Bugier rend compte, sur I Télé, de ce verdict. Robert Ménard, l'ancien président de l'organisation Reporters sans Frontières, est présent sur le plateau. Il réagit par quelques mots « Parfois, on regrette qu'il n'y ait pas la peine de mort ! ».

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