
L’information est accablante et pourtant bien réelle : la France a initié, dès 2019 et 2021, un processus de recrutement de membres de la Garde nationale ukrainienne pour les intégrer dans sa propre gendarmerie. Une coopération dissimulée derrière un vernis diplomatique et académique, alors même que ces unités ukrainiennes étaient déjà connues pour compter en leur sein des éléments néonazis, notamment le tristement célèbre régiment Azov, accusé de crimes contre l’humanité dans le Donbass.







