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islamisme - Page 344

  • Jacques Baud : « Terrorisme. Mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident »

    Bernard Plouvier, auteur, essayiste

    Ex: http://metamag.fr

    On a envie de débuter ce compte-rendu par la conclusion pratique qui s’impose, après lecture : Halte ! Grand livre ! car on ne saurait dévorer un tel ouvrage sans en recommander la diffusion la plus large, et pour plusieurs raisons.

    Officier des SR (Services de Renseignements), l’auteur a une très solide culture historique, non pas celle des manuels à usage scolaire et universitaire, tous bourrés d’erreurs factuelles et de jolies légendes issues de la Deception (désinformation, en langue anglaise), ingrédient de base de toute propagande en période de guerre ou d’exploitation des bénéfices d’une victoire. Pour tout dire, le colonel Baud a dévoré quantité de livres et de sites du Net « révisionnistes »… faut-il rappeler que le révisionnisme est une démarche intellectuelle, de type scientifique, visant à démystifier l’écriture historique et qu’elle n’a rien à voir avec les sottises des « négationnistes » de la Shoah ou des génocides vendéen, arménien ou ukrainien.

    En outre, l’auteur semble maîtriser l’arabe écrit, ce qui est appréciable pour un tel sujet. Ce n’est pas un fanatique de la lutte anti-musulmane ni du soutien inconditionnel aux USA ou à l’État d’Israël. Enfin, il ne semble pas nourrir un excès d’estime pour les politiciens professionnels, ce qui témoigne tant de son intelligence que d’un solide sens critique… on pourrait lui reprocher de ne pas associer dans son mépris les clowns des médias aux ordres de ces multinationales, dont il ose à peine médire, mais ce qu’il laisse supposer est bien suffisant pour qu’on le comprenne à demi-mot.

    Sa thèse principale est simple, remarquablement étayée par une accumulation de faits (et quelques suppositions sur ce qui est encore secret d’État : la commandite d’un certain nombre d’attentats meurtriers durant ces 40 dernières années, dont ceux de Beyrouth, en 1983. Le terrorisme islamo-arabe qui frappe l’Occident depuis les débuts de l’ère nouvelle (que l’on peut faire remonter aux alentours de 1990) a non pas une origine religieuse unique, mais au moins trois facteurs étiologiques.

    D’abord et avant tout, l’ingérence en apparence grotesque, scandaleuse pour les nationalistes africains, proches et moyen-orientaux, des Occidentaux dans la vie politique des États du Maghreb, dans celle de quelques pays d’Afrique noire (peu étudiés par l’auteur) et surtout dans les poudrières du Proche-Orient (Liban, Syrie, Irak, il est dommage que le Yémen ne soit pas étudié) et du Moyen-Orient (Afghanistan, mais l’on regrette que l’auteur n’ait pas évoqué le Pakistan ni l’impérialisme US en Républiques touraniennes : Ouzbékistan, Kirghizistan, Tadjikistan ou Turkménistan, qui promettent de nouvelles émotions lorsque les USA viseront par la bande la Russie et la Chine).

    Il est évident que les ravages directs et les « dommages collatéraux » infligés aux populations par les armées US et associées (France, Grande-Bretagne, Italie pour le cas libyen, divers contingents européens symboliques pour l’exemple afghan) n’ont pu qu’indigner les frères de race et les coreligionnaires. Le terrorisme « nouvelle vague » est d’abord réactionnel à la meurtrière occupation étrangère, par l’effet de ce « droit d’ingérence », qui plait beaucoup aux requins d’affaires de New York et aux « néo-cons » de Washington, mais qui est jugé, par les autochtones des zones de combat, pour ce qu’il est réellement : une atteinte intolérable au droit des peuples. Ces gens sont moins naïfs qu’on ne le pense généralement : ils ont parfaitement compris que c’est la force qui crée le droit. Le terrorisme est l’arme des faibles, opprimés par un gros État mal organisé et présentant une multitude de zones sensibles.

    La seconde cause – celle qui vient en seconde position en matière de motivation, contrairement à ce que serinent les médias aux ordres – est le Djihâd. Le colonel Baud nous précise que, pour certains musulmans, le Djihâd est une affaire intime : un effort personnel de perfectionnement. Ce n’est exact que dans la tradition des soufis, soit le gratin non-violent de la spiritualité sunnite. Les sourates coraniques qui renvoient au Djihâd désignent bien la « guerre sainte » que tout muslim en bonne santé doit faire aux « infidèles » (les non-musulmans) qui agressent le Dâr al-Islam (les zones de Charî’a), voire qu’il doit exporter dans le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre, soit les terres qui ne sont pas encore soumises à la loi coranique).

    On pourrait développer une troisième cause, effleurée par l’auteur : le désespoir existentiel de tous les paumés de l’immigration exotique en Europe (et à un moindre degré aux USA). Ils avaient cru que leurs immenses qualités physiques, intellectuelles, morales et religieuses feraient d’eux des maîtres, dominant des continents de dégénérés infidèles et il s’avère que leur suffisante insuffisance fait d’eux des traine-savates et des indésirables. Le Djihâd est un moyen de s’évader d’une vie nulle. D’abord en faisant éclater la joie de nuire à l’Occident, riche de valeurs que certains immigrés ne peuvent comprendre. Ensuite, en gagnant la certitude de se retrouver en un paradis fort terre-à-terre (mais admirablement adapté à un certain psychisme), fait de banquets et de houris, si l’on meurt au combat pour l’islam.

    Ceci explique qu’environ 30 000 volontaires islamiques, venus d’une centaine de pays et répartis en approximativement 1200 groupes sunnites armés, agrémentent le quotidien des Syriens.

    On peut regretter que l’auteur n’ait pas insisté sur le califat nouveau, Abou Bakr II ayant modifié la pratique du terrorisme djihadiste en autorisant des femmes et des enfants pré-pubères à y participer et en frappant de façon aveugle d’autres musulmans jugés trop tièdes, tout ceci contrevenant aux stipulations du Coran et des Hadiths sur la guerre sainte.

    Même s’il fait mine de ne pas croire aux thèses complotistes, le colonel Baud accuse les pantins politiques des USA, de France (Sarkozy et Hollande sont fort justement cités), de Grande-Bretagne (Tony Blair), d’avoir fait le jeu du « complexe militaro-industriel » et surtout des compagnies pétrolières… en n’oubliant pas que les chefs d’État qui se sont investis dans la perturbation des États islamiques depuis 1990-91 – la première guerre d’Irak – l’ont également fait pour stimuler leur cote de popularité.

    On peut regretter l’étonnante discrétion de l’auteur sur le rôle personnel de Barak Hussein Obama, qui s’est comporté, de 2010 à nos jours, soit comme le dernier des crétins, soit comme un très habile crypto-islamiste, déstabilisant tous les régimes calmes d’Afrique et du Proche-Orient, y introduisant la chienlit islamiste la plus fanatique.

    L’auteur analyse fort bien le pragmatisme des dirigeants chiites iraniens depuis la mort du  délirant Khomeiny. Les chiites sont fort peu appâtés par la cause palestinienne (qui ne semble plus guère intéresser que les fossiles des mouvements gauchistes et trotskistes de la planète). Le colonel Baud est, hélas, beaucoup plus léger sur le régime islamique turc qui paraît infiniment plus redoutable pour l’Occident que l’État islamique.

    On ne peut qu’approuver sa judicieuse analyse de l’implication des humanistes de Wall Street dans toutes ces affaires : sauver le règne du pétrodollar, contesté par les défunts gouvernements libyen et irakien, par ceux toujours en place de Syrie, de Russie et de Chine… et il aurait été judicieux de rapprocher l’activisme US en terres musulmanes de l’activisme de même origine en Amérique latine, dans des pays qui contestent la suprématie du dieu–dollar.

    En résumé, si l’année 2014 (les statistiques planétaires de l’An 2015 ne semblent pas encore disponibles, mais ce fut un grand cru) a vu se dérouler 13 463 attentats islamiques, faisant 32 700 morts, il faut en accuser, certes, le fanatisme des fous d’Allah, mais aussi et surtout la politique de gribouille ou de cyniques Machiavels des Occidentaux… une politique qui, depuis 1990, a probablement occasionné directement la mort d’un million de civils en terres d’islam.

    Chemin faisant, le colonel Baud met à nu les supercheries médiatiques à propos de la première guerre d’Irak ou du mythe Ben Laden-al Qu’Aïda (alors que les groupuscules terroristes défendent jalousement leur individualité et refusent de coordonner leurs actions). Il démonte les mensonges français sur les motivations de l’intervention en Libye et ceux des gouvernants US et français à propos de la Syrie. L’on est toutefois moins persuadé que l’auteur du côté « gentil toutou » des roitelets islamo-pétroliers d’Arabie saoudite et du Qatar… il serait bon de s’attendre à une fourberie anti-occidentale de ce côté-là.

    Les conclusions de cet excellent livre s’imposent d’elles-mêmes

    Il est nécessaire d’abolir le grotesque « droit d’ingérence » qui ne revêt d’intérêt que pour les multinationales exploitant les richesses naturelles des pays du Tiers-Monde.

    L’Europe doit se dégager – et d’urgence – des fous de guerre US, de leur pétrodollar et de leur complexe militaro-industriel (dont l’importance remonte au règne de Franklin Delano Roosevelt).

    L’Europe n’a pas vocation pour intervenir dans les bourbiers africains ni proche-orientaux. C’est aux autochtones et à eux seuls qu’il incombe de régler leurs problèmes tribaux, religieux, raciaux, politico-économiques. Il existe suffisamment de sites de matières premières, singulièrement de gisements pétroliers, pour se désengager des pays musulmans.

    Il faut plus que jamais inverser les flux migratoires et renvoyer dans le Dâr al-Islam la totalité des musulmans entrés en Europe ces quarante dernières années (en France depuis l’absurde décret Giscard-Chirac sur le regroupement national).

    Enfin et surtout, il est nécessaire (et urgent) de ne plus confier la direction des États à des pantins incultes et irréfléchis, dont les deux préoccupations majeures sont leur enrichissement personnel et la poursuite de leur carrière.

    Au total, c’est un livre qui non seulement apporte quantité de renseignements, avérés et probables, mais surtout réussit son approche étiologique d’un problème majeur de notre époque… qui risque de dégénérer en une série de conflits indirects opposant le trublion US à l’Europe (Russie incluse) et à la Chine, en plus de l’Amérique latine, où la guerre politico-médiatique fait rage depuis quelques années.

    Jacques Braud : « Terrorisme. Mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident« ,  2016 , Éditions du Rocher, 424 pages, 21€.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • France droitisée ou France radicalisée ?

    Avec le Brexit anglais, une autre digue vient encore de sauter. Grande jacquerie à venir ?

    La France se droitise, lit-on dans les gazettes. Ça reste à démontrer. Une fois n’est pas coutume, le sémillant Frédéric Lefebvre, naguère première gâchette de Nicolas Sarkozy, trouve les mots justes : « La France ne se droitise pas, elle se radicalise. » Ça, voilà qui est démontré depuis belle lurette ; enfin, depuis au moins le début du quinquennat hollandesque.

    Et, ce coup-ci, c’est plutôt la droite qui s’y colle en premier avec la Manif pour tous. Et pas n’importe quelle droite, s’agissant de cette France bien élevée qu’on n’avait pas vue arpenter le trottoir depuis 1984, grande époque des manifestations en faveur de l’école privée. Si les gros bataillons de cette dernière sont gentiment rentrés chez eux, ou dans la défunte UMP pour s’y faire plumer une fois encore, une frange d’irréductibles s’est radicalisée davantage : le mouvement des Veilleurs et leurs épigones partis fonder la remarquable revue Limite, prônant décroissance économique, écologie à la fois humaine et… radicale.

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  • Najat Vallaud-Belkacem : agent de l’arabisation et de la défrancisation, par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    La ministre de l’Éducation nationale travaille cyniquement – et logiquement– à la démolition de l’identité ethno-culturelle française. Elle programme l’enseignement de l’arabe…dès le début de l’école primaire ! Sans vergogne, on va toujours plus loin. En même temps, toute sa politique vise à saper, à dégrader l’enseignement des fondamentaux de l’identité française, linguistiques et historiques. Sur ordre de ses maîtres étrangers et avec l’accord de ses patrons français collaborateurs ou idiots utiles.

    NVB prise la main dans le sac
    Ce n’est pas innocent. C’est une subversion qui ne relève pas seulement de l’idéologie de gauche (Mme Belkacem n’est ni de gauche ni féministe sincère mais d’abord militante arabo–musulmane dissimulée) mais qui, utilisant les idiots utiles de l’islamo-gauchisme (1) et de la gauche bobo angélique, entreprend le volet ”école et éducation” de la stratégie de destruction de l’européanité de la France et de colonisation ethnique. Valls laisse faire, à moitié complice ; quant à Hollande, il s’en moque parfaitement, complètement absorbé par ses petites cuisines politiciennes pour se faire réélire. Le destin de la France n’est pas son sujet.

    Annie Genevard, députée du Doubs et déléguée à l’Education des Républicains est montée au créneau contre ce projet (2). Elle écrit : « Cette question intéresse et concerne les Français quoi qu’en dise la ministre, qui a accueilli avec une rage blême, dont la violence interroge, la question que j’ai adressée il y a quelques jours au gouvernement. Elle qui reçoit habituellement toutes nos questions avec un sourire permanent a perdu son sang-froid et tombé le masque, ce qui démontre tout à la fois à quel point l’hémicycle peut être révélateur et le caractère très sensible du sujet pour la ministre. » Si NVB a perdu son sang-froid, c’est parce qu’elle été prise la main dans le sac de sa principale mission : arabiser et islamiser la France.

    Avec un culot bétonné, NVB a qualifié de « profondément xénophobes » et de « réaction identitaire » l’opposition de la députée LR Annie Genevard, qui commente (rapporté par Valeurs actuelles) : « pour la ministre, promouvoir la langue de son pays, c’est faire preuve d’étroitesse nationaliste. C’est très grave de la part du ministre de l’Éducation nationale ». Oui, sauf que NVB n’est pas là pour servir la France mais pour la desservir.
    NVB, actrice du djihad, volet ”guerre culturelle”

    Mme Belkacem a pris acte d’un fait démographique provoqué par l’immigration massive et incontrôlée (naissances intérieures avec taux de natalité supérieur et flux invasifs venus de l’extérieur) : le français n’est plus la seule langue de la France. Elle veut donc encourager ce mouvement, accélérer ce processus d’invasion, de remplacement de population et de culture. Tout se tient. L’arabisation linguistique de la France est liée à son islamisation. Mme Belkacem est parfaitement dans son rôle de cheval de Troie. À la tête de l’Éducation nationale, infiltrée, elle remplit correctement sa mission de noyautage.

    Se plaindre, comme Annie Genevard de ce que cette mesure va encore renforcer le communautarisme, affaiblir l’intégration et l’assimilation, défranciser un peu plus les enfants et élèves d’origine arabe, comme si Mme Vallaud-Belkacem commettait une bourde stupide par idéologie, c’est mal comprendre ce qui se passe. Mme Belkacem sait parfaitement que cette mesure, comme toutes les autres qu’elle prend, va communautariser et défranciser l’école dès le primaire ! C’est calculé, c’est voulu, c’est la feuille de route. Et c’est fait avec la complicité bienveillante d’intellectuels, de syndicats de l’Éducation nationale proches de l’islamo–gauchisme.

    À qui obéit Mme Belkacem ? Évidemment pas au Premier ministre, ce matamore capitulard et impuissant, qui la laisse faire ce qu’elle veut… Recevrait-elle ses instructions d’autorités arabo-musulmanes, y compris de pays étrangers ? Elle a bien dit : « nous ferons appel à des professeurs étrangers » pour enseigner l’arabe aux enfants. Ils viendront en force du Maghreb et de Turquie. Et avec l’arabe (et le turc), ils enseigneront évidemment autre chose. Pour beaucoup d’entre eux, ils islamiseront et diffuseront une idéologie de refus de notre civilisation. La ”réussite scolaire” n’est pas l’objectif de Mme Belkacem ; disons les choses clairement : elle est une actrice du djihad, dans son volet de guerre culturelle contre l’identité française et européenne. Contrairement à ce croit Mme Genevard, elle est parfaitement cohérente.
    Arabiser, islamiser, défranciser et baisser le niveau

    Ces dispositions sur la langue arabe sont parfaitement corrélées à la politique suivie par M. Peillon (islamo–collabo) puis accentuée par Mme Belkacem pour supprimer les classes d’excellence bilangues (en particulier en allemand, cette langue que Mme Belkacem a avoué ne pas aimer), réduire et dégrader l’apprentissage du français, démolir l’enseignement du latin et du grec, désarticuler celui de l’histoire de France – cette dernière étant moralement dévalorisée alors que l’histoire arabo-musulmane – comme africaine – est enjolivée à outrance. Tout se tient : arabiser et islamiser l’enseignement primaire et secondaire va de pair avec et suppose aussi d’éradiquer ses racines françaises et européennes.

    Dans le catéchisme idéologique de Terra Nova, le think tank qui inspire le PS, on prône la fin de l’intégration et de l’assimilation ; place à l’ « insertion »– ce ne sont plus aux immigrés de s’adapter au pays d’accueil mais à ce dernier de s’adapter aux nouveaux venus et à transformer ses mœurs en conséquence. De sorte que même les petits Français de souche seront encouragés (voire obligés dans certaines écoles à forte proportion immigrée) à apprendre l’arabe et à s’islamiser en douceur. Et bien sûr, ce qui est lié, ils sont incités à mépriser, à abandonner leurs racines françaises et européennes. Cette logique de l’ethnocide se met en place. Mme Belkacem, inscrit son action dans ce mouvement de destruction de la transmission culturelle française –volontaire– par l’Éducation nationale. Le nihilisme gauchiste suicidaire rejoint l’islamisme conquérant dissimulé. Mme Belkacem est au centre du jeu.

    Le double discours, la ruse (taqiya) de NVB

    Ruse : Sous prétexte de lutter contre la ”radicalisation” de certaines écoles musulmanes de l’enseignement libre, Mme Belkacem veut limiter les autorisations des établissements privés non contractuels. En réalité, sont dans le collimateur les écoles et collèges chrétiens, juifs ou non confessionnels de qualité (existants ou en projet d’ouverture) qui concurrencent un enseignement public en plein effondrement selon tous les classements internationaux.

    Autre ruse, sous forme d’une lourde contradiction : Mme Belkacem qui promeut l’arabisation–et donc, par répercussion, l’islamisation– a introduit à l’école l’enseignement de la théorie du genre (confusion des sexes), qui se veut anti–sexiste, féministe, pro–homosexuels, amie des lobbies LGBT. Or l’islam et les coreligionnaires arabo-musulmans de la ministre détestent cette idéologie, puisqu’ils sont sexistes, homophobes et gynophobes. Les militants musulmans (attentat d’Orlando) vont jusqu’à massacrer les homos, ce qui est conforme au Coran.

    La contradiction est résolue si l’on admet que Mme Belkacem tient un double discours de dissimulation : la théorie du genre est une torpille, destinée aux petits Français de souche, de manière à les déstabiliser et à affaiblir leurs repères. Mme Belkacem ne croit pas un mot des vulgates homosexuelles et féministes ou des âneries de la gender theory. En revanche, elle veut que les enfants et élèves issus de l’immigration arabo-musulmane échappent à cette propagande émasculante : les cours d’arabe (ou de turc) et d’idéologie islamisatrice qui iront avec, dispensés par des étrangers non contrôlés, sont là pour ça.

    Le sultan turc Erdogan raisonne d’ailleurs de la même manière. Non seulement, a-t-il péroré avec impudence, les Turcs ont le droit de s’installer en Allemagne, mais il scandaleux que les Allemands cherchent à les intégrer, les assimiler, les germaniser. C’est ce droit à l’invasion, à la non–assimilation que défend aussi – plus subtilement – Mme Belkacem. Mais elle va encore plus loin puisqu’elle s’en prend à la formation des enfants autochtones, en dégradant la transmission culturelle française.

    Au moins, les choses deviennent claires

    Le dogmatisme idéologique –gauchiste– de NVB n’est qu’un faux nez. Afin de masquer sa véritable double mission : islamiser/arabiser et défranciser l’école, dès le primaire, à l’âge où les individus se construisent. Le désastre du système scolaire public français, fabrique d’illettrés, relevé par tous les classements internationaux, n’est pas le problème de la ministre.

    Dans un premier temps, l’enseignement de l’arabe aux jeunes enfants concernerait 60.000 individus, en grande majorité d’origine immigrée, mais pas forcément. Alors que beaucoup d’entre eux maîtrisent déjà très mal le français, cette mesure est cyniquement destinée par NVB à ”communautariser” encore plus les jeunes d’origine arabo-musulmane et à commencer d’imposer l’arabe au détriment du français dans les zones à forte proportion maghrébine et africaine.

    Mais, ce que ne comprend pas, comme tant d’autres, Mme Genevard qui veut lutter contre le ”communautarisme” et franciser les immigrés, c’est que c’est trop tard. Ils sont trop nombreux et de plus en plus nombreux. Et non seulement ils ne veulent pas s’intégrer ni s’assimiler, mais ils s’imprègnent d’un discours anti-français à la fois victimaire (”nous sommes stigmatisés”) et conquérant (3). Le prochain article de ce blog développera ce thème

    Cela dit, il y a un côté positif dans tout cela, dans la politique dissimulée d’arabisation et d’islamisation de Mme Belkacem, selon une dialectique qu’Hegel ou Marx n’auraient pas reniée. En effet, la communautarisation croissante des populations issues de l’immigration extra-européenne, leur refus de s’intégrer, de s’assimiler, de se franciser, leur islamisation agressive en pleine progression surtout chez les jeunes, la métamorphose de vastes zones urbaines, le racisme et les violences anti-Blancs, voilà qui clarifie les choses. Parce que cela contribue à la désignation de l’ennemi, qui s’identifie lui-même. C’est paradoxalement bénéfique car cela peut ouvrir les yeux des Français et des Européens et leur faire comprendre qu’une guerre ethnique, dont le terrorisme islamique n’est qu’un aspect parmi d’autres, est en gestation ou plutôt a déjà commencée et qu’ils sont les agressés.

    1. Vincent Peillon, prédécesseur de NVB au ministère de l’Éducation nationale, idéologue islamo-gauchiste, avait déjà préconisé l’enseignement de l’arabe à l’école primaire.

    2. Le Front national aurait dû, le premier, monter au créneau contre cet enseignement de l’arabe. Il ne l’a pas fait. Ce ne sont pas les préoccupations de M. Philippot, qui commet là une erreur majeure

    3. Une minorité d’arabo-musulmans, à la fois très intégrés et assimilés, femmes et hommes, sont les plus actifs et les plus courageux contre l’islamisation. Mais ils ne sont pas représentatifs de la grande majorité de leurs coreligionnaires qui les rejette.

    http://fr.novopress.info/202062/najat-vallaud-belkacem-agent-de-larabisation-de-defrancisation-guillaume-faye/#more-202062

  • 10 mesures pour faire face au défi lancé par le djihadiste de Magnanville

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia

    Le 17 juin 2016, le SIEL, Riposte laïque et Résistance républicaine ont organisé une manifestation d’hommage aux policiers assassinés – et de protestation contre l’islamisation de la France. Nous reproduisons ci-dessous l’intervention de Jean-Yves Le Gallou.

    Ecoutons Péguy : « Il est difficile de dire ce que l’on voit mais il est encore plus difficile de voir ce que l’on voit. »

    Eh bien, voyons ce que l’on voit : de même qu’il y des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.

    Et entre le musulman modéré (ce qui est un oxymore) et le terroriste islamique il n’y a pas de solution de continuité. Le vivier des terroristes islamiques se trouve dans les banlieues de l’immigration et les prisons de la République.

    Alors que faut-il faire ? Nommer les choses, tarir le problème à la source, permettre aux nôtres de se défendre. Voici 10 points pour notre survie en tant que peuple et en tant que civilisation.

    1. Dire les choses, nommer l’ennemi. L’ennemi ce n’est pas le terrorisme, l’ennemi c’est le terrorisme islamiste ; le danger c’est l’islam conquérant.
    2. Appliquons le principe de précaution : arrêtons toute immigration nouvelle, sous quelque prétexte que ce soit, en provenance des pays musulmans
    3. Expulsons les étrangers délinquants à l’issue de leur peine.
    4. Appliquons la déchéance de la nationalité aux binationaux délinquants et aux binationaux radicalisés manifestant leur hostilité aux règles françaises et à la civilisation européenne et expulsons-les.
    5. Et en attendant que ces mesures prennent effet, réarmons les nôtres : moralement, juridiquement et pratiquement.
    6. Réarmons-nous moralement. Retrouvons la fierté de notre héritage et abrogeons les lois liberticides, dites « antiracistes », responsables de l’arrogance conquérante des minorités.
    7. Réarmons-nous judiciairement en rendant à nouveau possible la légitime défense aujourd’hui rendue impraticable par des jurisprudences irresponsables.
    8. Réarmons-nous pratiquement en libéralisant la détention et le port d’armes pour nos compatriotes – en commençant par ceux qui exercent les professions les plus menacées : policiers et gendarmes mais aussi membres de leur famille, les agents de la pénitentiaire et demain les enseignants et les soignants.
    9. Francisons les compagnies privées de sécurité. Il y a quarante ans, il y avait 100.000 policiers et 100.000 gendarmes. L’immigration massive a débouché sur une explosion de la délinquance. Mais il y a toujours 100.000 policiers et 100.000 gendarmes mais, en plus, 200 à 300.000 agents de sécurité privée. Or dans les aéroports, les musées, les centres commerciaux des grandes métropoles, ces agents sont à 80 ou 90% issus des minorités le plus souvent musulmanes. Arrêtons cette folie ! Rétablissons un minimum d’équilibre en francisant et en européanisant leur recrutement.
    10. Adoptons ces mesures par référendum pour contourner la dictature des médias et des juges.

    L’empire romain est mort d’avoir confié la défense de ses frontières extérieures aux Barbares : reprenons le contrôle de notre sécurité et de nos frontières intérieures avant qu’il ne soit trop tard.

    http://www.polemia.com/10-mesures-pour-faire-face-au-defi-lance-par-le-djihadiste-de-magnanville/

  • Boualem Sansal : « L'ordre islamique tente progressivement de s'installer en France »

    Ce qui nous intéresse ici ce n'est pas le personnalité controversée et ambiguë de Boualem Sansal. Mais son analyse en tant que telle. Après les meurtres de policiers à Magnanville par un islamiste, il compare ici [Figarovox 17.06] la situation actuelle de la France à celle de l'Algérie au début de la guerre civile. Les perspectives qu'il trace, en effet, glacent le sang.  LFAR

    Depuis un an, sur fond de tensions culturelles, la France vit au rythme des attentats. Dernier en date, l'assassinat à coups de couteau, revendiqué par l'État islamique, d'un policier et de sa compagne dans leur maison. Que vous inspire ce nouvel acte de terreur ?

    Ca me glace le sang. Voici venu le temps du couteau et de l'égorgement. Il est à craindre que cette méthode fasse florès, car un hadith célèbre prête au prophète Mahomet cette terrible sentence adressée aux mécréants: «Je suis venu à vous avec l'égorgement». On a vu combien Daech a pris ce hadith à la lettre et combien de milliers de personnes ont été égorgées comme des moutons, avec tous les raffinements que des esprits malades peuvent inventer pour exalter leur soif de cruauté. C'est le deuxième cas en France: en juin 2015, en Isère, un islamiste avait égorgé et décapité son patron puis accroché sa tête au grillage d'une usine. La méthode va certainement inspirer beaucoup de jeunes islamistes. Au couteau, eux ajouteront la caméra qui démultiplient l'horreur. Ils filmeront leur crime et balanceront le film sur les réseaux sociaux. Le terrorisme islamiste en Europe n'en est qu'à ses débuts, nous verrons avec le temps combien il sait être inventif: l'égorgement, le viol, l'empalement, l'éventrement seront au menu, comme ils le sont au Daech et comme ils l'ont été en Algérie à grande échelle, pendant la guerre civile. Au Daech comme en Algérie, les terroristes sont très fortement endoctrinés et encadrés: ce sont des soldats de la terreur, ils exécutent des ordres. En Europe, une telle organisation n'est pas possible, pas encore. C'est pourquoi les commanditaires et les stratèges du terrorisme islamiste mondialisé poussent à l'ubérisation du terrorisme, les instructions sont dans la toile à la disposition de qui veut devenir djihadiste et martyr.

    Peut-on vraiment comparer la France et l'Algérie?

    L'islamisme sait s'adapter, il se fiche de la culture du pays, il veut la détruire et imposer la sienne, et comme il a trouvé des recrues en Algérie il trouvera des recrues en France. Aujourd'hui, il les sollicite, les prie, demain il les forcera à assumer leurs devoirs de soldats du califat, et le premier de ces devoirs est de libérer l'islam de la tutelle de l'Etat mécréant qu'est la France. En Algérie, les maquis islamistes étaient pleins de jeunes qui ont été forcés de faire allégeance à l'émir de leur village, de leur quartier: c'était rejoindre le maquis ou se faire égorger ainsi que toute sa famille. S'il s'évade c'est la famille, voire tout le village, qui paie.

    Derrière le terrorisme, existe-t-il un problème plus large d'islamisation de la France ?

    C'est le but même de l'islam conquérant, gagner la planète, convertir toute l'humanité. Le terrorisme n'est qu'une méthode pour conquérir des territoires, soumettre leurs populations et les convertir par force, comme il l'a fait au Daech avec les communautés chrétiennes. C'est la méthode des islamistes radicaux, les djihadistes. Les islamistes modérés et les musulmans pacifiques récusent cette méthode, ils préfèrent la voie douce, la da'wa, l'invitation à écouter le message d'Allah, ou la prédication publique. Entre les deux méthodes, la conquête militaire et la da'wa, il y a tout ce que l'intelligence humaine a pu inventer pour convertir et enrôler. La France est un terrain très favorable à l'islamisation par la voie douce et par le moyen de la violence: elle est inquiète, divisée, épuisée, dégoutée. Les retours à la pratique religieuse se multiplient chez les musulmans et les conversions explosent.

    Une serveuse musulmane a été giflée à Nice parce qu'elle servait de l'alcool durant le ramadan…

    L'ordre islamique tente de s'installer en France, c'est un fait patent. En maints endroits, il est déjà installé. Dans un pays musulman, cette serveuse aurait été arrêtée et jetée en prison par la police. Durant le ramadan, la folie s'empare du monde musulman et fait commettre d'horribles choses. La faim et la soif ne sont pas seuls responsables, il y a que ce mois est sacré (c'est pendant le ramadan que Mahomet a reçu le coran, apporté à lui par l'archange Gabriel), les gens sont pris dans la ferveur et la bigoterie. Durant ce mois, certains imams sont littéralement enragés.

    Comment les islamistes s'y prennent-ils pour accroître leur influence ?

    La force des islamistes et des prédicateurs est la patience. Ils inscrivent leur action dans la durée. Une autre qualité est l'inventivité et leur capacité maîtriser les instruments à leur portée: les chaines satellitaires, Internet, les réseaux sociaux, les outils marketing, les techniques de communication, la finance islamique, le cinéma, la littérature, tout est mobilisé pour atteindre la plus grande efficacité. Dans les pays du sud, les islamistes n'ont que les moyens traditionnels pour avance, ils convoquent les vieilles recettes de charlatanisme, la sorcellerie, la magie, le maraboutisme, ils investissent les mosquées, les souks, les stades, les fêtes religieuses, les hôpitaux. L'action sociale n'a pas de secrets pour eux. Dans tous les cas, ils n'ont aucun souci d'argent, les donateurs généreux et intéressés ne manquent pas.

    Bombarder Daech peut-il régler la question ?

    Elle n'est une solution que si elle est accompagnée d'une intervention militaire au sol menée par les pays arabes. Pour compléter, il faut ensuite installer à demeure une mission onusienne pour reconstruire la région, disposant d'une force armée capable d'empêcher les représailles.  

    Boualem Sansal est un écrivain algérien censuré dans son pays d'origine à cause de sa position très critique envers le pouvoir en place. Son dernier livre 2084, la fin du monde est paru en 2015 au éditions Gallimard. 

    Alexandre Devecchio

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Magnanville : pas si « solitaire » que ça, la hyène…

    Cette fois encore, les gros médias, évoquant l’abominable tuerie de Magnanville, nous auront resservi leur scénario préféré : celui du fameux « loup solitaire » – pardon pour les loups ! – agissant seul et sans véritable consigne en provenance de l’étranger. 

    Une version qui présente l’avantage de rassurer dans les chaumières et, surtout, de cacher aux Français le péril qui les menace. Sauf que, l’enquête avançant, les interpellations se multiplient, et l’on « découvre » une fois de plus que, derrière le « déséquilibré » Abballa, se cachait évidemment un « agent dormant » de l’Etat islamique.

    Dès le lendemain du massacre, deux proches d’Abballa, Saâd Rajraji et Charaf-Din Aberouz, tous deux connus de l’antiterrorisme français, étaient ainsi placés en garde à vue. Soupçonnés d’avoir apporté une aide logistique au djihadiste, ils ont depuis été mis en examen et placés en détention provisoire. Mardi, ce sont trois autres vieilles connaissances d’Abballa, soupçonnées elles d’avoir effectué des repérages visant les victimes, qui devaient être à leur tour interpellées aux Mureaux et à Mantes-la-Jolie. Après perquisition, l’un de ces trois islamistes devait finalement être relâché au motif qu’« il n’y a pas de charges retenues à ce stade contre lui ». Lui qui, au passage, a été condamné en 2007 à huit ans de prison pour terrorisme, déchu de sa nationalité française en octobre dernier, mais bénéficie néanmoins d’un titre de séjour provisoire !

    Surtout, lors de leur perquisition chez Rajraji, les enquêteurs devaient découvrir un papier portant l’adresse courriel et le numéro d’écrou de Fabien Clain, célèbre chef djihadiste installé en Syrie, auteur de la revendication des attentats du 13 novembre,soupçonné d’avoir téléguidé Ghlam dans son projet d’attentat et qui, lors de sa détention, aurait correspondu avec Merah avant que ce dernier ne passe à l’acte. Une découverte capitale qui montre non seulement que tous ces hommes se connaissent ou se connaissaient, mais aussi que Clain est probablement leur donneur d’ordres.

    Rajraji et Clain se seraient ainsi rencontrés alors qu’ils étaient tous deux incarcérés à la prison de Fresnes. Clain purgeant alors une peine de cinq ans pour avoir mis sur pied une filière d’envoi de djihadistes vers l’Irak. Rajraji, pour avoir pris part à une filière d’acheminement en zone pakistano-afghane, notamment aux côtés d’Abballa et de Charaf-Din Aberouz.

    Reste une question en suspens : combien de djihadistes « en sommeil » notre pays abrite-t-il au juste ?

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 juin 2016

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  • Démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?

    Dr Bernard Plouvier

    Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancellière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.

    Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.

    En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève dans la quasi-totalité des cas de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.

    Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.

    Que la Chancellière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.

    Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.

    Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les Divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.

    Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globalo-mondialisation.

    À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.  

    L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globalo-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.

    Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.

    Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, media, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le djihadisme n’empêche pas les allocations familiales !

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Combien de voyages de djihadistes entre la France et la Syrie les allocations familiales ont-elles permis de financer ? La question peut paraître provocatrice mais on ne peut que se la poser en apprenant que de nombreux djihadistes touchaient ou touchent encore des allocations de la Caisse d’allocations familiales (CAF) !

    La Direction générale de sécurité intérieure (DGSI) a transmis à la CAF les noms de 674 personnes parties en Syrie pour y combattre au nom du djihad. Or, sur les noms transmis, 80 % étaient bénéficiaires d’allocations ! Si le but était de radier ces noms de la liste des bénéficiaires, dans certains cas, les droits ont été maintenus, car « si un parent de trois enfants part en Syrie avec seulement l’un d’entre eux, les prestations continuent d’être versées » aux ayants droit restés en France, « pour ne pas les pénaliser »…

    http://fr.novopress.info/201968/djihadisme-nempeche-allocations-familiales/