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islamisme - Page 343

  • Le cerveau de l’attentat d’Istanbul était protégé par son statut de « réfugié » de l’UE… Parcours

    Le cerveau de l’attentat d’Istanbul, Ahmed Tchataïev, avait le statut de « réfugié » en Autriche. Les terroristes islamistes tchétchènes ont été soutenus par les pays partenaires de l’OTAN contre la Russie, toujours désignée comme l’ennemie à abattre quelles que soient les alliances que cela implique. Les Tchétchènes ont ainsi obtenu en grand nombre le statut de réfugiés en UE même lorsque Moscou demandait leur extradition, comme c’était le cas depuis dix ans, de l’auteur présumé de l’attentat d’Istanbul. La fusillade et les explosions perpétrées le 28 juin dernier à l’aéroport d’Istanbul ont fait 43 morts, dont 13 étrangers, ainsi que près de 150 blessés.

    La piste Tchétchène dans la mouvance islamiste

    « Les médias turcs affirment que l’attaque terroriste contre l’aéroport Atatürk d’Istanbul a été orchestrée par Ahmed Tchataïev, originaire de la Tchétchénie (Caucase russe). Selon le journal Yeni Safak, un des kamikazes qui s’est fait exploser à l’aéroport s’appelait Osman Vadinov et provenait également de Tchétchénie ou du Daghestan. Les deux hommes sont considérés comme étant liés à l’Etat islamique, tandis que le Comité national antiterroriste russe (NAK) qualifie Ahmed Tchataïev de principal recruteur et instructeur des terroristes envoyés par l’Etat islamique en Europe. » (Source)

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  • Grandes manœuvres pour grande mosquée

    Depuis la fin de l’année 2015, si riche en assassinats perpétrés, sur le sol français, par des musulmans à l’encontre de citoyens français, le gouvernement algérien, par son ministre des Affaires religieuses, réclame la pleine souveraineté sur la grande mosquée de Paris qu’il subventionne puissamment.
    À ce titre, on peut imaginer que les Saoudiens, Qataris, turcs et autres évergètes exotiques, vont prochainement réclamer leur « livre de chair », en l’occurrence la souveraineté sur les mosquées dont ils financent l’érection et le fonctionnement. Ce qui fait un plaisant contraste avec la propriété des églises et cathédrales françaises, que l’État français a nationalisées par la Loi de juillet-décembre 1905, faisant du même coup de la France un pays « neutre » au plan des religions et des cultes.
    Il est peu probable que nos dévoués politiciens, encore maîtres de l’État durant quelques mois, fassent voter une loi sur un sujet aussi explosif, avant d’importantes échéances électorales, même si le parti qui a (encore) les apparences du Pouvoir semble très désireux de recevoir des dons d’émirs et de roitelets généreux en pétrodollars… encore qu’avec ces gens-là, il ne faille pas toujours se fier au simple bon sens.
    Il peut donc paraître utile de rappeler au Peuple souverain l’article 53 du Titre VI de la Constitution de la Ve République, en date du 4 octobre 1958, un article ni révoqué ni amendé depuis lors. Le Titre VI est intitulé : Des traités et accords internationaux. L’art. 53 stipule : « Les accords relatifs à l’organisation internationale… qui comportent cession… de territoire ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi… Nulle cession n’est valable sans le consentement des populations intéressées ».
    En clair, le gouvernement est obligé de demander 1 : l’avis du Parlement, pour l’établissement d’une loi 2 : le consentement de la population… et l’on se moque absolument de celui des musulmans en tant que tels, étant donné que l’État est NEUTRE en matière de culte. C’est donc l’avis du PEUPLE SOUVERAIN en sa totalité que nos brillants maîtres doivent solliciter et seul le peuple souverain peut accorder ou refuser cette cession d’une partie du territoire national.
    En outre, quel est l’individu assez niais pour ne pas comprendre qu’une fois devenues aussi inviolables qu’une ambassade, les mosquées de souveraineté algérienne, tunisienne, marocaine, saoudienne, qatari, turque etc… deviendront non seulement des asiles pour terroristes et criminels de la Oumma, mais aussi des centres d’endoctrinement et de formation à la guerre civile… déjà, des mosquées corses servent de salles de sports de combat.
    Une grave question se pose : jusqu’où allons-nous descendre dans l’abjection et le reniement de nos valeurs et de notre histoire ?

    Docteur Bernard Plouvier Synthese Nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyZVFpkylzDPrsdrZ.shtml

  • Lundi 4 juillet, contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris : RASSEMBLEMENT A 19 H AU TROCADERO

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Turquie : les marches de l’islam de combat bientôt dans l’Union européenne ?

    L’Union européenne meurt d’elle-même, refusant de défendre l’Europe réelle.

    Depuis l’Antiquité, l’espace géographique qui correspond à l’actuelle Turquie est un endroit stratégique, zone tampon entre l’Occident et l’Orient. Aujourd’hui, je vais certainement être un peu provocateur en l’écrivant, mais la Turquie ne serait-elle pas devenue une marche occidentale de l’islam de combat ?

    Les derniers attentats, qui ont fait au moins 42 morts dans l’aéroport Atatürk d’Istanbul, n’ont toujours pas été revendiqués par l’État islamique, alors même que Binali Yıldırım, Premier ministre turc, estimait que tout laissait à penser que l’organisation terroriste en était coupable. Une attitude pour le moins étrange de la part d’un groupe prompt à assumer les pires exactions, notamment lorsqu’elles sont commises en Europe. Il faut comprendre que l’organisation n’emploie pas la même stratégie en Turquie que dans le monde occidental.

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  • Immigration : 10 principes de bon sens – par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le débat sur l’islam, la laïcité, l’intégration, l’assimilation, le ”communautarisme”, la ”déradicalisation” anti islamiste, etc. est déconnecté du réel et du bon sens, intellectualisé, donc hors sol, donc inutile. C’est une salade de postulats idéologiques et de vœux pieux. Alors que le cœur du problème est pratique, matériel, quantitatif : démographique mais aussi ethnique. Voici dix principes qui devraient être des évidences.

    1) Ne pas combattre seulement les effets de l’immigration, mais surtout les causes

    Vouloir interdire les voiles dans les lieux publics, contrôler le financement et la hauteur du minaret des mosquées–champignons, refuser à l’école, à l’hôpital –et partout– les pratiques islamiques conquérantes, etc. – et tout cela par des lois et des règlements– c’est tout à fait nécessaire. Mais on a perdu d’avance si l’on ne comprend pas que c’est aussi tout à fait insuffisant. Ils combattent (mollement) les effets et jamais les causes. Ils échoueront s’ils ne traitent pas la source du problème. Cette dernière est à la fois purement quantitative et démographique, mais aussi ethnique : l’immigration extra–européenne à majorité musulmane en progression exponentielle et la fécondité nettement supérieure des immigrés. C’est à cette double cause qu’il faut s’en prendre.

    2) Penser au long terme avant le court terme

    Mathématiquement, si rien n’est fait pour bloquer le déversement de l’immigration, si aucune ”remigration” (retour au pays) n’est accomplie, dans la seconde moitié du XXIe siècle la France ne sera plus un pays ethniquement ”européen” et l’islam y sera nettement majoritaire. La France sera un pays afro–arabe musulman (ainsi que plusieurs de ses voisins) en proie à des violences ethno-religieuses incessantes et à la paupérisation, avec exode massif des derniers Européens de souche. Guerre civile ethnique endémique probable. C’est la loi d’airain de la démographie (immigration et natalité). Dans ce cas, la France disparaîtrait purement et simplement, et même peut-être son nom. Mais cette perspective de moyen et de long terme est totalement ignorée par les oligarchies (les dirigeants actuels seront morts ou nonagénaires quand l’effondrement final surviendra) qui ne pensent et n’agissent qu’à très court terme. C’est le reflet d’une société de l’immédiateté, qui ne se projette pas dans l’avenir, qui oublie son passé et qui prend du Prozac ou fume des joints pour ne pas penser au présent.

    3) Comprendre que des forces qui cherchent la destruction ethnique de l’Europe sont à l’œuvre.

    Elles infiltrent et noyautent l’État français et les autres, la technocratie européenne, les oligarchies médiatiques, partitocratiques (y compris au FN) et syndicales. Elles imposent l’idéologie immigrationniste et collaborent à l’islamisation. Fondamentalement antidémocratiques (”anti populistes” dans le jargon), animées par un sentiment nihiliste de haine de la culture, de l’histoire et de l’enracinement des nations européennes, alliées objectives de l’islam invasif, elles poussent les autorités politiques, de gauche ou de droite, à un ethnocide des Européens (voir autre article de ce blog). Tout est fait pour laisser entrer la marée migratoire et pour détruire les racines culturelles des identités européennes, notamment dans l’éducation publique et les médias.

    4) L’ethnopluralisme, comme le moteur à eau, n’a jamais fonctionné nulle part et ne marchera jamais.

    C’est une idée à enterrer dans le cimetière des utopies, comme le communisme. Il existe une incompatibilité de vie en commun (cohabitation territoriale) dans une même unité politique entre les populations ethniquement différentes ; surtout si certaines sont arabo-musulmanes ou africaines. Les exceptions ne concernent que des bulles artificielles composées d’élites. Même si cette évidence de l’impossibilité de l’ethnopluralisme (relevée par Aristote) est un tabou, un interdit idéologique, elle reste précisemment une évidence pour qui vit dans une zone de mixité ethnique. Elle n’est pas ressentie par les élites immigrationnistes et antiracistes tout simplement parce que ces gens–là, à l’inverse des ”petits Blancs”, ne vivent et ne sont jamais en contact avec leurs chers immigrés arabo-musulmans ou africains, qui restent pour eux des abstractions. C’est pourquoi ils déploient pour les autres – pas pour eux– le concept de ”vivre–ensemble”.

    5) Combattre le ”communautarisme” ? Trop tard.

    Le combat contre le ”communautarisme” (ce mot piégé qui sert à masquer le terme de ”colonisation ethnique”) ne sert à rien, pas plus que le combat contre l’islamisation et la radicalisation. C’est trop tard. Il était encore possible, au début des années 80 d’intégrer et d’assimiler dans la ”république” et la culture franco-européenne des immigrés extra-européens. C’est rigoureusement impossible dès lors qu’ils atteignent des pourcentages considérables, majoritaires dans certaines zones urbaines. Il est inutile d’essayer d’améliorer les choses, il faut renverser la table. C’est-à-dire bloquer les flux migratoires et les inverser.

    6) Ne pas s’acharner à vouloir qu’ils soient ”nos compatriotes” puisqu’il ne le veulent pas.

    Il est rigoureusement impossible de faire une Nation unie avec une proportion croissante de populations arabo-musulmanes et africaines, même francophones. La candeur des intégrationnistes et assimilationnistes, du FN au PS, à vouloir que ces millions d’immigrés ou d’enfants d’immigrés soient ”nos compatriotes” n’a d’égal que le refus hostile d’un nombre toujours plus grand d’entre eux –surtout chez les jeunes– de se considérer comme Français – ou Belges, Allemands, etc. –, même s’il en ont la nationalité. Ils ne veulent pas s’intégrer ou s’assimiler. Comme dit le proverbe : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ». De plus en plus de jeunes d’origine arabo-musulmane, africaine ou turque, partout en Europe, même avec des nationalités européennes de papier, se considèrent comme citoyens de leur pays d’origine et l’Europe –détestée– comme une terre de conquête. Ils ont un réflexe raciste. C’est leur problème.

    7) Vouloir créer un ”islam de France” est une ridicule utopie.

    L’islam n’est pas seulement incompatible avec la ”république”, il l’est avec tout ce qui n’est pas lui–même, religion ou culture. C’est un enracinement psychique profond, ethnique. De Gaulle l’avait vu, d’où son refus de l’Algérie française comme appendice de la France. L’idée d’un ”islam des Lumières” modéré et réformé est une impasse. Les musulmans franco–compatibles ou républicano–compatibles sont soit des minorités utopistes, soit des enjôleurs insincères. L’islam est intrinsèquement hostile à tout ce que représente la civilisation européenne. Les deux seules idéologies qui ont flirté avec l’islam sont totalitaires : jadis le nazisme et aujourd’hui le marxisme, avec l’ ”islamo–gauchisme”. Ce n’est pas un hasard.

    8) Contre le terrorisme islamique : désislamiser la France.

    Ce n’est pas seulement en espionnant et en essayant de démanteler les réseaux islamistes qu’on empêchera les attentats, ni en menant dans des prisons (écoles du crimes) de ridicules et inopérantes (voire contre–productives) opérations de ”déradicalisation”. C’est surtout en interdisant l’entrée dans le territoire (immigration zéro) de tout nouvel immigré musulman et en inversant les flux migratoires par des départs massifs. C’est malheureux à dire, mais le risque d’attentats terroristes dans un pays occidental est proportionnel à l’importance numérique de sa population musulmane.

    9) Admettre que l’emprise musulmane et arabo–africaine touche l’ensemble du territoire national.

    La cause de tous les problèmes est démographique et mathématique. Constat de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat de police Synergie–officiers : « Aucun endroit n’est épargné, le phénomène de communautarisation et d’insularité de tout un tas de quartiers s’observe partout avec l’infiltration et l’invasion dans le tissu scolaire, associatif et sportif, c’est une lame de fond de société ». Il mentionne « le déni d’un certain nombre d’élus » qui « relève en réalité de l’acquiescement et de la connivence intellectuelle ». Il pense que « cet angélisme ou clientélisme cynique nous conduit à la catastrophe ». Rien à rajouter. Le problème est strictement démographique, rien de plus. Pour des raisons de correction idéologique et sémantique, on parle de « communautarisme », effroyable néologisme, alors qu’il s’agit tout simplement d’une invasion, de l’extérieur (immigration) et de l’intérieur (natalité).

    De son côté, l’écrivain algérien Boualem Sansal analyse : « l’ordre islamique tente de s’installer en France, c’est un fait patent ; en maints endroits, il est déjà installé ». (FigaroVox, entretien, 17/06/2016).

    10) Intégration et assimilation : mission impossible.

    L’intégration (c’est-à-dire l’adoption partielle des mœurs du pays d’accueil, dont la langue, mais en conservant une partie de ses us et coutumes d’origine) est possible si les immigrés ne dépassent pas 5% de la population d’accueil. Pour l’assimilation (c–à–d l’adoption totale de la culture d’accueil et l’abandon de la sienne) le pourcentage est encore plus bas. En dépit de tous les discours (du FN, de la droite et du centre), ni l’intégration ni l’assimilation ne sont plus possibles pour une raison mathématique : la proportion d’allochtones est trop forte.

    Les masses d’enfants africains ou arabes d’origine ne pourront jamais, sauf exceptions évidemment, être assimilés ou réellement ”francisés” par l’école. La France universelle, supraculturelle, supraethnique est une impossibilité, le fruit d’une utopie intellectuelle abstraite construite aux temps où l’immigration massive n’existait pas.

    Conclusion : résoudre le problème global supposera un énorme choc

    Les problèmes de communautarisme croissants, de ”ghettoïsation”, de frictions et d’affrontements incessants avec les mœurs musulmanes en expansion qui dégradent la vie quotidienne des autochtones européens, de criminalité multiforme en hausse constante, d’effondrement du niveau d’une école publique multiethnique, (1) de terrorisme évidemment, ces équations ne seront jamais résolus par des mesures politiques intérieures d’aménagement, aussi dures soient-elles.

    Le référendum britannique en faveur du Brexit a été en réalité un vote de protestation – un peu désespéré– des classes populaires anglaises contre l’immigration. (2) Mais une Grande-Bretagne détachée de l’UE – si le référendum est respecté – limiterait-elle l’immigration ? Pas sûr…

    La solution générale viendra d’abord d’un rétablissement des frontières nationales et d’un arrêt total de toute immigration extra-européenne, y compris légale, de travail et de regroupement familial ; deuxièmement, elle proviendra d’une politique résolue d’expulsion de tous les clandestins et immigrés en situation irrégulière (3) et de ”remigration” pour ceux qui sont en situation régulière. Quant à ceux qui sont ”Français de papier” (ou de toute autre nationalité européenne) du fait du droit du sol – qui devra être impérativement supprimé– leur situation sera la plus difficile à résoudre mais elle devra l’être.

    Certes, ces solutions supposent un immense courage. Elles provoqueraient des chocs, des drames, des conflits qu’il faudrait affronter. Mais continuer à ne rien faire aboutirait à une situation pire encore. Car l’équation est simple : à partir du moment où une immigration-déversoir est autorisée (encouragée) par l’État depuis 40 ans, avec une reproduction deux à trois fois supérieure des populations immigrées à 90% musulmanes, et une fuite des jeunes élites, la France est morte dans 20 ans.

    (1) Bien qu’officiellement, à gauche comme à droite ont nie farouchement (le politiquement correct) que cette multiethnicité soit une cause majeure de l’effondrement du niveau…. Ce qui n’empêche pas de mentionner la seconde cause, le ”pédagogisme” et le nivellement par le bas de l’égalitarisme de gauche.

    (2) Le prochain article, à paraître bientôt, concernera précisément le ”Brexit”, qui n’aura d’ailleurs pas forcément lieu, malgré un référendum qui, comme d’autres, risque de ne pas être respecté par l’oligarchie.

    (3) L’arrêt de toute allocation, aide médicale, scolarisation etc. pour tous les étrangers non communautaires (UE) suffirait déjà à décourager les arrivées et provoquerait de très nombreux départs. Bloquer la pompe aspirante, enclencher la pompe expirante.

    http://fr.novopress.info/202242/immigration-10-principes-de-sens-guillaume-faye/#more-202242

  • Le cerveau de l’attentat de l’aéroport d’Istanbul avait reçu le statut de réfugié en Autriche

    L’attaque contre l’aéroport d’Istanbul, qui a fait 44 morts et plus de 230 blessés, aurait été organisée par Ahmed Tchataev. Ce ressortissant russe d’origine tchétchène a rejoint Daesh en 2015 et, pour l’heure, combat en Syrie.

    Ahmed Tchataev commandait en Syrie une unité composée d’émigrés du Caucase du Nord. Les autorités russes l’ont pendant longtemps recherché pour faits de terrorisme, mais il avait fui en Europe, où il avait reçu l’asile et ainsi réussi à éviter l’extradition en Russie.

    Le suspecté cerveau de l’attentat d’Istanbul figurait sur les listes russes depuis 2003 pour financement de terrorisme, recrutement d’extrémistes et adhésion à un groupe terroriste. Tout cela ne l’a pas empêché de recevoir l’asile la même année en Autriche. En 2010, Ahmed Tchataev a été arrêté en Ukraine. Dans son portable, il y avait des instructions quant à une technique de démolition et des photos des gens tués lors d’une explosion. La Russie a alors demandé son extradition pour faits de terrorisme, mais la Cour européenne des droits de l’Homme a ordonné l’Ukraine de ne pas le remettre à la Russie.

    Il a été à nouveau incarcéré un an plus tard, alors qu’il franchissait la frontière turco-bulgare, mais a de nouveau échappé à l’extradition grâce à l’intervention des organisations de droits de l’homme qui ont indiqué que Tchataev bénéficiait du statut de réfugié en Autriche. En février 2015, il s’est rendu en Syrie, où il a rejoint les combattants de Daesh, et rapidement grimpé les échellons dans la hiérarchie de l’Etat islamique. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Poutine: La Syrie est l’épicentre de la lutte contre le terrorisme

    Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la Syrie est l’épicentre de la lutte contre le terrorisme" ajoutant que " la fin du conflit en Syrie est encore loin" ont rapporté les médias russes.
    S'exprimant, lors de la réunion des ambassadeurs de Russie dans le ministère russe de la Défense, Poutine a déclaré que "les terroristes cherchaient à s'emparer d'armes chimiques et qu'il était difficile de prédire quelle cible ils allaient frapper la prochaine fois".
    Et de poursuivre : "La Syrie est l’épicentre de la lutte contre le terrorisme. Je n'exagérerais pas si je disais que l'avenir du Proche-Orient dépend du destin de ce pays. L'issue de la guerre contre Daech se décide sur le sol syrien. Les terroristes et extrémistes de toutes sortes se sont rassemblés sous la bannière de Daech, ils sont réunis par leur aspiration commune à prendre le contrôle de tout le monde islamique".
    "Bien que la fin du conflit en Syrie soit encore loin, l'expérience de ces derniers mois dans ce pays a démontré que la création d’un front antiterroriste commun, mainte fois prôné par la Russie, permettrait de faire face aux dangers, au terrorisme et aux autres défis qu'affronte l'humanité", a souligné Poutine.
    Poutine a remercié les militaires russes "qui avaient fait tout leur possible pour faire reculer les terroristes" et les avaient empêchés d'intervenir dans les affaires intérieures de la Syrie. Le président a en outre souligné que les militaires russes avaient beaucoup contribué à la préservation de l'indépendance de l'Etat syrien.
    Le potentiel de conflit dans le monde ne cesse de croître

    Pour ce qui est de la situation en Europe, Poutine a estimé que "le potentiel de conflit dans le monde ne cesse de croître et que les risques touchent de nouvelles régions".
    "Le potentiel de conflit augmente, les risques dans le domaine de la sécurité économique et humanitaire ne faiblissent pas mais au contraire se multiplient et englobent de nouvelles régions du monde. Je suis persuadé qu'on peut éviter des perturbations dangereuses et un développement incontrôlable de la situation seulement par la voie du dialogue et la coopération", a souligné Vladimir Poutine.
    Et d'ajouter : "​L'Otan fait des pas réels de confrontation à l'égard de la Russie. L'Alliance renforce ses positions près des frontières russes ce qui vise à ébranler la parité militaire".
    "Nous sommes souvent accusés d'entreprendre des activités militaires. Où? Sur notre propre territoire? Et tout ce qui est déployé près de nos frontières est biennormal", a martelé Poutine.
    "En Pologne et dans les Pays baltes, des forces d'action rapide sont déployées, des dépôts d'armes offensives sont réapprovisionnés. Tout cela vise à ébranler la parité militaire qui se formait depuis des dizaines d'années", a-t-il ajouté.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyZkAEuVlPKYZXJwY.shtml

  • L’appel au djihad de Larossi Abballa déjà entendu !

    « Je vous appelle à privilégier les policiers », avait affirmé le djihadiste Larossi Abballa dans une vidéo que nous avions décryptée après avoir assassiné à leur domicile Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, un couple de policiers. Message reçu cinq sur cinq ! Le 22 juin, soit une semaine après le double assassinat de Magnanville, révèle l’hebdomadaire Le Point, deux hommes ont été interpellés à Mantes-la-Jolie, toujours dans les Yvelines, alors qu’ils effectuaient des repérages sur des policiers !

    « D’après les informations du Point, l’homme était en train de filmer des véhicules sérigraphiés et leurs occupants lorsqu’il a été arrêté au Val-Fourré, une cité sensible des Yvelines. Si le suspect à la caméra n’était pas connu des services de police, son frère, lui, est un islamiste radical de Mantes-la-Jolie. »

    « Dûment fiché, ajoute le journal, il était en lien avec Larossi Abballa, le tueur de Magnanville qui a tué le couple de policiers à son domicile. Gérant d’une pizzeria identifiée comme un lieu d’activisme, c’est lui qui avait conseillé Abballa, originaire comme lui de Mantes-la-Jolie, pour monter sa société de livraison à domicile de sandwichs hallal. L’enquête a montré que le conducteur de la voiture qui avait attiré l’attention était également répertorié comme salafiste par le renseignement intérieur. »

    Comme dit Hollande : « Ça va mieux. » Et même de mieux en mieux…

    http://fr.novopress.info/

  • Le drapeau irakien flotte sur toute la ville de Falloujah

    Le commandant général des forces armées irakiennes Haydar Abadi a annoncé dimanche la libération totale de la ville de Falloujah et hissé le drapeau irakien sur les bâtiments de la ville, promettant de libérer « prochainement » la ville de Mossoul.
    Dans un discours télévisé, retransmis par le site Sumaria news, Abadi a félicité devant des dizaines de combattants irakiens le grand exploit « survenu malgré les campagnes mensongères visant à freiner l’avancée de nos forces. La victoire a été enfin réalisée ».
    « Pas de place à Daech en Irak, nous allons les pourchasser partout. Nos forces héroïques ont libéré Falloujah et vont libérer prochainement Mossoul. Cette victoire réconforte tous les Irakiens. Nous appelons le peuple à descendre dans toutes les rues du pays pour fêter cette victoire », a-t-il dit.
    Et de poursuivre : « Nous n’allons pas permettre aux politiciens de même esprit que Daech de détruire l’homme, les villes et les infrastructures du pays ».
    Abadi a par ailleurs appelé les Irakiens à une réconciliation sociétale qui favorise la coexistence entre les différentes composantes du peuple irakien, rappelant que Daech n’a pas distingué dans ses attaques entre sunnites, chiites ou chrétiens.
    Libération du dernier quartier de Falloujah
    Les derniers combats à Falloujah ont commencé dès les premières heures du matin. Les forces irakiennes, soutenues par les avions irakiens, ont réussi à libérer le village al-Joulane, le dernier bastion de Daech à Falloujah.
    Des voitures appartenant aux miliciens de Daech et portant des plaques immatriculées saoudiennes et qataries ont été retrouvées.
    Selon le correspondant de la chaine de télévision iranienne arabophone alAlam, les soldats irakiens pourchassent les derniers terroristes de Daech, retranchés dans les ruelles et les quartiers. « En général, la situation est calme. Des citoyens ont fêté cette victoire des forces irakiennes alors que les corps des miliciens tués de Daech jonchaient les rues », a-t-il rapporté.
    Actuellement, les forces irakiennes sont déployées dans toutes les régions libérées alors que la région du quartier Andalous a été complètement sécurisée.
    De même source on indique que les miliciens qui ont fui via l’Euphrate ont été la cible des hélicoptères irakiens qui ont éliminé un grand nombre d’eux, dont des dirigeants.
    Les forces irakiennes ont par ailleurs saisi d’énormes quantités d’informations et de noms de dirigeants de Daech, de nationalité arabe et occidentale. De grosses quantités d’armes et de munitions ont été aussi retrouvées dans un dépôt par les soldats irakiens dans la ville.

    Source: Alalam et Sumaria news  : al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuyZpAFklVIQnoOKir.shtml

  • PENDANT L’EURO ET LE RAMADAN A MOLENBEEK, ON PENSE KULTUR

    Pieter Kerstens

    Notre correspondant en Belgique

    Commune célèbre dans le monde entier par sa pépinière de djihadistes takfiristes et wahhabites, toujours féconde en nouvelles recrues, Molenbeek va développer l’une de ses deux bibliothèques. En effet le bâtiment de la rue des Béguines va voir sa surface agrandie de 400m2.

    Selon la bourgmestre (maire) Françoise Schepmans réformatrice-libérale : «  Ce projet me parait important et me tient à cœur en tant que fille de bibliothécaire. Les jeunes lisent de moins en moins, alors que c’est par la lecture qu’on maîtrise correctement la langue ».

    Les 100.000 Molenbeekois (à forte majorité maghrébine) disposent de deux bibliothèques francophones l’une dans le haut et l’autre -rue des Béguines- dans le bas de la commune.

    Ils ont aussi 22 mosquées et 6 centres culturels islamistes à leur disposition.

    « Dans ces nouveaux quartiers de la municipalité, l’offre culturelle est moins importante que dans le centre historique. Il y a juste cette bibliothèque et le Karreveld (centre culturel ndlr) alors qu’ailleurs, il y a par exemple la Maison des Cultures (pluriethniques ndlr) et la bibliothèque ZEP (Zone d’Education Prioritaire) qui travaillent avec les écoles en discrimination,explique la bourgmestre ayant succédé en 2012 à l’ancien maire PS, Philippe Moureaux, premier bourgmestre musulman de Belgique.

    Nous n’allons pas augmenter le nombre de livres (OUF) mais l’espace d’accueil. Les jeunes auront de la place pour lire des quotidiens (?) ou faire leurs devoirs (?) ajoute-t-elle.

    Différents ateliers ont lieu chaque mois dans les 2 bibliothèques : ciné-clubs, contes pour enfants ou conférences pour adultes. Mais combien de prêts de livres, chaque année ? Peu…

    Cet agrandissement pour un montant de 3.400.000 € vise à booster l’offre culturelle de la commune, ce qui valorise le m2 multiculturel, sans nouveaux livres, à 8.500 € d’argent public !

    Alors que cette élue « libérale » persiste dans ses chimères et ses utopies depuis plusieurs années, les Flamands, eux, investissent dans leur économie, en inaugurant le 10 juin dernier la plus grande écluse du monde à Anvers.

    Avec ses 68 mètres de large pour 500 mètres de long et une profondeur de 17,8 mètres, l’écluse Kieldrecht permettra dorénavant à des navires plus nombreux et plus grands d’accéder à la rive gauche de l’Escaut sans être affectés par les marées d’une amplitude de 6 mètres et éviter ainsi une attente pouvant atteindre 12 heures pour sortir vers la mer du Nord.

    Ce chantier colossal aura duré cinq ans et nécessité 22.000 tonnes d’acier, 795.000 m3 de béton, 9,3 millions de m3 de terre excavée et 44.000 m2 d’asphalte, le tout pour un investissement de 382 millions d’euros, ce qui revient à un coût de 632 € par m3, avec deux pont, l’électromécanique et toutes les infrastructures inclus (et avec les manuels d’entretien…).

    Cette imposante installation, qui pourra contenir 3 bateaux, va renforcer la compétitivité du port d’Anvers qui a enregistré un transit de 208 millions de tonnes en 2015, soit le deuxième port européen derrière Rotterdam, en créant aussi des centaines de nouveaux emplois.

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