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islamisme - Page 346

  • Allemagne. Attaqué 4 fois en 8 jours, le pays plonge dans la terreur

    L’Allemagne a connu une quatrième attaque, hier soir en Bavière, où un kamikaze s’est fait exploser près d’un festival de musique. Après les viols très massifs de la Saint Sylvestre dans lesquelsplus de 2.000 migrantssont impliqués, le pays connaît donc les joies du multiculturalisme. Car si les motivations des terroristes sont divergentes, il y a un point commun entre toutes ces attaques : Comme en France, elles sont le fait d’immigrés ou de fils d’immigrés.

    1- Lundi 18 juillet, à Würzburg. À 21h15, un jeune réfugié afghan âgé de 17 ans attaque les passagers d’un train régional avec un couteau et une hache en criant « Allah Akbar ». Quatre personnes sont grièvement blessées. L’assaillant prend ensuite la fuite avant d’être abattu par la police. Le jeune homme était arrivé en Allemagne depuis plus d’un an et vivait depuis deux semaines en Bavière dans une famille d’accueil.
    Motivation: son acte a été rapidement revendiqué par l’organisation État Islamique (EI) à laquelle il avait prêté allégeance dans une vidéo de revendication de 2 minutes 20. Dans sa chambre, les enquêteurs ont également retrouvé le drapeau de l’EI.

    2- Vendredi 22 juillet, à Munich. Un jeune germano-iranien (sic) de 18 ans, David Ali Sonboly, ouvre le feu dans un centre commercial, faisant neuf morts et 35 blessés, dont 11 graves, avant de se suicider. Ses parents étaient arrivés en Allemagne en tant que demandeurs d’asile peu avant sa naissance et lui-même était né à Munich. Mais, pas plus qu’un ânon né dans une écurie de chevaux de course ne deviendra cheval de course, Sonboly ne se sentait pas comme un véritable Allemand, et il semblait en avoir un ressentiment vis à vis de son pays natal, comme l’atteste les propos qu’il a tenus juste avant de commettre son acte : « Sale métèque » lui lance un Allemand et une voix qui semble celle de l’assaillant lui répond: « Je suis Allemand, je suis né ici. » Le problème est que le dire ne suffit pas à le croire et encore moins à l’être.
    Motivation : la police a assez rapidement privilégié la piste du « forcené » sans lien avec le djihadisme. Afin de brouiller les pistes, il avait dans un premier temps été présenté comme néo-nazi, et aujourd’hui encore on le compare souvent au Franc-Maçon Anders Breivik car des coupures de journaux concernant ce dernier ont été retrouvées chez lui, et parce que les deux terroristes ont commis leurs faits à la même date (22 juillet). Ça fait peu pour faire un lien entre les deux hommes, surtout de la part de gens, qui, dès qu’une explication des faits ne leur sied pas, accusent les auteurs de complotistes.

    3- Dimanche 24 juillet, 16h30, à Reutlingen. Un homme armé d’une machette agresse plusieurs passants en pleine rue. Une femme est tuée et deux autres personnes blessées. L’assaillant serait un demandeur d’asile syrien de 21 ans qui aurait eu une « dispute » avec la victime avant de la tuer « avec une machette ».
    Motivation : le « crime passionnel » serait la piste privilégiée par les enquêteurs. Outre la façon très violente de gérer un différend, on se demande pourquoi il a agressé d’autres personnes.

    4- Dimanche 24 juillet, 22h12, à Ansbach. Deuxième attaque dans la même journée. Un réfugié syrien de 27 ans se fait exploser près d’un festival de musique où se trouvaient 2.500 personnes. L’explosion ne fait pas de victime, mis à part l’assaillant qui décède, mais 12 personnes sont blessées dont trois grièvement. L’homme avait voulu pénétrer sur le lieu du festival mais s’était fait refouler à l’entrée. Sa demande d’asile, il y a un an, avait été refusée mais il avait pu rester en Allemagne au vu de la situation en Syrie.
    Motivation : « Il s’agit malheureusement d’un nouvel attentat », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Joachim Herrmann, qui n’a « pas exclu » une piste islamiste. Il a également précisé que l’homme, qui avait déjà fait deux séjours en hôpital psychiatrique, avait tenté par deux fois dans le passé de se suicider.

    Source, avec des compléments vidéo

    http://www.contre-info.com/allemagne-attaque-4-fois-en-8-jours-le-pays-plonge-dans-la-terreur

  • Six prédicateurs salafistes se font virer de Corse

    Six prédicateurs salafistes se sont fait virer de Corse où ils étaient venus porter la parole du prophète. Mercredi dernier, l’heure de la prière étant venue et ne trouvant pas de lieu de culte musulman à proximité, ils ont entrepris de prier sur la plage de Corbara, un village de Balagne à proximité de L’Ile Rousse. Hélas pour eux, qui dit sable ne dit pas forcément désert : en l’espèce, la plage était peuplée, et les personnes présentes leur ont gentiment – ou pas – demandé d’aller faire leurs clowneries ailleurs.

    Exit les six salafistes, qui sont partis se faire voir ailleurs, où ça s’est encore plus mal passé puisque, au terme d’un fâcheux concours de circonstances, monsieur le président, les pneus de leur camionnette se sont retrouvés crevés allez savoir comment… Jugeant sans doute que ça commençait à prendre une mauvaise tournure, ils ont fini par filer sans même déposer plainte, et regagner le continent…

    Même le Conseil régional du culte musulman n’est pas venu à leur rescousse puisque un de ses représentants a déclaré à France 3 Corse-Via Stella : « Cela fait bien longtemps que nous leur avons fermé la porte de nos mosquées. Nous discutons avec eux mais nous ne les laissons pas prêcher dans nos lieux de culte. Le responsable d’Ile Rousse qui a la même vision que nous a dû faire pareil. »

    Quant à Gilles Simeoni, le président du Conseil exécutif de l’Assemblée de Corse, et à Jean-Guy Talamoni, le président de l’Assemblée de Corse, ils ont juste commenté l’affaire par des tweets qui parlent d’eux-mêmes :

    La Corse est, depuis Paoli, une terre de liberté de culte. Mais elle n'acceptera ni communautarisme, ni intégrisme.https://twitter.com/FTViaStella/status/756784764678447104 

    Même quand il n'appelle pas à la violence, le salafisme porte des idées inconciliables avec nos valeurs.https://twitter.com/ftviastella/status/756784764678447104 

    http://fr.novopress.info/
     
  • L'AFP efface les huées contre Valls à Nice

    Lu sur l'OJIM :

    "Alors que de nombreuses vidéos ont montré très clairement les sifflets et huées à l’encontre de Manuel Valls lors de sa visite à Nice, le 18 juillet, pour rendre hommage aux victimes de l’attentat, l’AFP s’est fendue d’un montage soviétique pour ne pas en faire état.

    Dans sa vidéo, l’Agence France Presse ne montre que la minute de silence, respectée, lors du recueillement devant le monument aux morts, puis les applaudissements de la foule. Des applaudissements qui étaient destinés aux forces de l’ordre, et pas à Manuel Valls et Christian Estrosi.

    Pourtant, comme les internautes ont pu le constater sur de nombreuses autres vidéos, la cérémonie a surtout été marquée par d’importantes huées à l’attention du Premier ministre et des officiels. Il s’agit d’une donnée ô combien importante à prendre en compte dans un travail journalistique sérieux : la population en a assez des hommages et des mots, elle désire aujourd’hui des actes et reproche au gouvernement son laxisme.

    Pourquoi l’Agence France Presse a-t-elle choisi de faire l’impasse de ces sifflets, à la fois symboliques et qui marquent un tournant dans la série d’attentats qui frappe la France depuis 2015 ?"

    Michel Janva

  • Attentat de Nice : Estrosi et Cazeneuve dans la tourmente

    De lourdes accusations pèsent sur le premier flic de France, accusé de mensonges par la mairie de Nice.

    Depuis quelques jours, Bernard Cazeneuve se trouve dans l’œil du cyclone. De lourdes accusations pèsent sur le premier flic de France, accusé de mensonges par la mairie de Nice. Plusieurs failles ont été révélées dans le dispositif de sécurité mis en place pour la soirée du 14 juillet à Nice ; certaines relèvent de la responsabilité de la mairie, d’autres de l’État. La première accusation, lancée par Christian Estrosi, portait sur les effectifs de policiers nationaux mobilisés le soir du 14 juillet. Dès le lendemain des attaques, Christian Estrosi déclarait : « Le ministre de l’Intérieur a affirmé qu’ils étaient 64. Le Premier ministre a indiqué qu’ils étaient au total 185. Ces deux chiffres sont mensongers. »

    Christian Estrosi, premier adjoint à la sécurité de la mairie de Nice, prétend s’appuyer sur la vidéosurveillance pour contester les chiffres officiels. Le Canard enchaîné et Libération auraient consulté des documents du ministère confirmant la version officielle et contredisant la thèse de monsieur Estrosi. Une chose est néanmoins acquise : Christian Estrosi a été invité à toutes les réunions préparatoires au feu d’artifice du 14 juillet, et n’a assisté à aucune d’entre elles en raison de ses multiples mandats électifs. Il a prétendu y avoir envoyé ses « adjoints les plus compétents ». La journée était pourtant un enjeu majeur entre le défilé, le feu d’artifice et une soirée qui obligeaient à travailler avec des effectifs réduits.

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  • Sandra Bertin, policière municipale responsable de la vidéosurveillance de Nice, réaffirme avoir subi des pressions du Ministère de l'intérieur

    Michel Janva

  • Des ministres l’affirment : l’immigration de masse à l’origine des attentats

    Des ministres l’affirment : l’immigration de masse est à l’origine des attentats…malheureusement, comme on peut s’en douter, ce ne sont pas des ministres français, belges ou allemands qui ont reconnu cette évidence, même si tous les attentats islamiques depuis Charlie Hebdo ont été commis par des immigrés musulmans, des enfants d’immigrés musulmans ou des « réfugiés » musulmans fraîchement arrivés.

    Pour entendre des ministres énoncer ce genre de vérités politiquement incorrectes, il faut se rendre dans les anciens pays de l’Est. Ainsi, au lendemain de l’immonde attentat de Nice, le ministre de l’Intérieur polonais Mariusz Blaszczak, chargé d’assurer la sécurité pendant les Journées mondiales de la jeunesse qui se dérouleront à Cracovie à la fin du mois, a rassuré ses compatriotes en ces termes : « La France est dans une situation bien plus difficile que la Pologne.La Pologne se serait retrouvée dans une telle situation elle aussi s’il n’y avait pas eu le changement de gouvernement [après les élections d’octobre 2015, ndlr].Nous aurions désormais des milliers d’immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique, car c’est ce qu’avait décidé la coalition PO-PSL. »

    Des décennies de politique multiculturelle

    Car pour le ministre polonais – et c’est un sentiment largement partagé dans son pays – la vague d’attentats et l’existence de zones de non-droit dans l’ouest de l’Europe sont la conséquence de « décennies de politique multiculturelle, de politiquement correct ». « Il faut appeler les choses par leur nom, parce que le politiquement correct va entraîner l’Europe à sa perte », prévient Mariusz Blaszczak.

    « Le niveau de menace terroriste en Europe n’a jamais été aussi élevé. Les causes sous-jacentes doivent être gérées et nous devons faire face, tout comme nous devons aussi faire face au fait que la radicalisation n’a pas été tenue en dehors des frontières de l’Europe. » Tels sont les propos prononcés en Conseil des ministres de l’UE par Peter Szijjarto, le ministre hongrois des Affaires étrangères.« L’immigration illégale et le terrorisme vont main dans la main », a encore déclaré après l’attentat de Nice Antal Rogan, chef du cabinet du Premier ministre hongrois.

    Le gouvernement hongrois peut même vous l’écrire : « Le saviez-vous ? L’attentat de Paris a été commis par des immigrés. » C’est l’inscription figurant sur une des affiches de campagne en vue du référendum du 2 octobre, quand les Hongrois seront appelés à dire ce qu’ils pensent de la volonté de Bruxelles d’imposer aux nations européennes des quotas obligatoires d’immigrants arrivés illégalement en Europe.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 23 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/202657/ministres-laffirment-limmigration-de-masse-a-lorigine-attentats/

  • gestion de la barbarie

    "(...)"Utilisez un camion comme une tondeuse à gazon. Allez dans les endroits les plus densément peuplés et prenez le maximum de vitesse pour faire le plus de dégâts. Si vous avez accès à une arme à feu, utilisez-la pour finir le travail.

    Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen – en particulier les méchants et sales Français – ou un Australien ou un Canadien, ou tout [...] citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière"

    "(...) Tuez le mécréant qu'il soit civil ou militaire, frappez sa tête avec une pierre, égorgez-le avec un couteau, écrasez-le avec votre voiture, jetez-le d'un lieu en hauteur, étranglez-le ou empoisonnez-le.

    "Si vous ne pouvez pas faire sauter une bombe ou tirer une balle, débrouillez vous pour vous retrouver seul avec un infidèle français ou américain et fracassez-lui le crâne avec une pierre, tuez-le à coups de couteau, renversez-le avec votre voiture”.

    Abu Bakr Naji/ EI, source+ source

    « Ce qui nous menace, c’est la montée des populismes, mais je ne me laisserai pas intimider par les menaces », a-t-il conclu, promettant de faire « en sorte que le pays puisse avoir confiance en lui. »

    Hollande
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    Gauchet en parle dans un de ses derniers livres: l'incapacité pour les bureaucraties managériales politiques occidentales noyées dans la com, de s'émanciper de l'économisme libéral et de simplement concevoir que les Européens puissent avoir des ennemis objectifs, des hommes qui veuillent simplement les égorger et leur rouler dessus en leur causant une souffrance maximale.

    Parce qu'ils sont incultes, qu'ils n'ont plus aucune dimension tragique de l'histoire (pensez une sec à la figure de cul d'Hollande dont le boulot pendant des années fut de servir un café à Pascal Lamy), et parce qu'ils n'ont pas lu Freund et Schmitt, ils se condamnent à ignorer que c'est l'ennemi qui nous désigne, aussi.

    Sans parler de la vassalisation des nations européennes dans des guerres impériales anglo-saxonnes ineptes contre des nations orientales et des vagues migratoires massives en provenance de ces mêmes régions ravagées par l'hubris occidentale.

    On se rappelle de la salope Allbright, funeste secrétaire d'Etat du pauvre Clinton affirmant que la mort de 500 000 enfants Irakiens, ben ça valait le coup; sans doute qu'aujourdhui, les soldats de l'EI et leurs théoriciens et soutiens bien oecuméniques à mon avis, se réjouissent de la même façon de la mort d'enfants hier soir en France.

    Comme disait Montaigne rencontrant des Indiens Brésiliens cannibales à Rouen au mitan du XVIeme siècle,  "A barbare, barbare et demi".

    « [Les Cannibales] font des guerres contre les nations qui sont au-delà de leurs montagnes, plus loin sur la terre ferme, guerres où ils vont tous nus, n’ayant d’autres armes que des arcs ou des épées de bois, aiguisées par un bout, à la façon des fers de nos épieux[1]. C’est une chose étonnante que la dureté de leurs combats, car, pour ce qui est des déroutes et de l’effroi, ils ne savent pas ce que c’est. Chacun rapporte, en trophée personnel, la tête de l’ennemi qu’il a tuée et il l’attache à l’entrée de son logis. Après avoir longtemps bien traité leurs prisonniers et avec touts les agréments auxquels ils se peuvent penser, celui qui en est le maître fait une grande assemblée des gens de sa connaissance : il attache une corde à l’un des bras du prisonnier par le bout de laquelle il le tient, éloigné de quelques pas, de peur d’être blessé par lui, et il donne au plus cher de ses amis l’autre bras à tenir de même [façon] ; puis eux deux, en présence de toute l’assemblée, l’assomment à coups d’épée. Cela fait, ils le rôtissent et en mangent en commun ; ils en envoient aussi des morceaux à ceux de leurs amis qui sont absents. Ce n’est pas, comme on pense, pour s’en nourrir, ainsi que faisaient anciennement les Scythes[2] : c’est pour manifester une très grande vengeance. Et pour preuve qu’il en est bien ainsi, [voici un fait] : s’étant aperçu que les Portugais, qui s’étaient alliés à leurs adversaires, usaient contre eux, quand ils les prenaient, d’une autre sorte de mort qui consistait à les enterrer jusqu’à la ceinture et à leur tirer sur le reste du corps force coups de traits[3], puis à les pendre, ils pensèrent que ces gens-ci de l’ancien monde, en hommes qui avaient semé la connaissance de beaucoup de vices dans leur voisinage et qui étaient beaucoup plus grands maîtres qu’eux en toute sorte de méchanceté, n’adoptaient pas sans cause cette sorte de vengeance et qu’elle devait être plus pénible que la leur ; [alors] ils[4] commencèrent à abandonner leur manière ancienne pour suivre celle-ci. Je ne suis pas fâché que nous soulignions l’horreur barbare qu’il y a dans une telle action, mais plutôt du fait que, jugeant bien de leurs fautes, nous soyons si aveugles à l’égard des nôtres. Je pense qu’il y a plus de barbarie à manger un homme vivant qu’à le manger mort[5], à déchirer par des tortures et des supplices[6] un corps ayant encore toute sa sensibilité, à le faire rôtir petit à petit, à le faire mordre et tuer par les chiens et les pourceaux (comme nous l’avons non seulement lu, mais vu de fraîche date, non entre des ennemis anciens, mais entre des voisins et concitoyens et, qui pis est, sous prétexte de piété et de religion) que de le rôtir et manger après qu’il est trépassé. (...)

    Nous pouvons donc bien appeler ces hommes barbares eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous, qui les surpassons en toute sorte de barbarie. »

    Montaigne, Essais, chap. 31   « Des cannibales », 1595

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    Rochedy se demande si les peuples européens auront les couilles de mener cette guerre -protéiforme- contre les égorgeurs de Daesh, cette "légion arabe de la CIA"*, ou pas.

    Je pense que oui. Je pense que les enflures qui trustent le pouvoir depuis la fin des années 60 sont en passe d'être balayées par la vague de chaos ethnique, politique, social, financier, etc, qui ravage ce continent actuellement et que leur vision du monde n'est simplement plus défendable, c'est cuit. Ca sent l'effondrement rapide du village Potemkine; en Grèce, en Italie, en Allemagne, en Suisse, en Scandinavie, c'est le même constat de faillite élitaire et de chaos social. Ca peut pas durer bien longtemps. Rien n'est plus difficile que d'imaginer l'effondrement de son monde et l'avènement d'un autre monde.
    podcast

    *http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2015/11/la-grande-moquerie.html:

    "Erdogan a fait part de sa compassion, c'est gentil à lui... Il n'est cependant un secret pour personne que le sultan soutient à bout de bras Al Qaeda, à qui il a été jusqu'à fournir du sarin, et surtout l'Etat Islamique, ce qu'a reconnu le vice-président US Biden l'année dernière. Pour continuer à alimenter Daech en armes, Ankara est même prêt à faire la guerre aux Kurdes, ce qui ne semble absolument pas gêner l'Occident prêt à toutes les compromissions. Mais après tout, n'est-ce pas Fabius qui déclarait qu'Al Nosra (= Al Qaeda en Syrie) faisait "du bon boulot" ?

    L'Arabie saoudite et le Qatar se sont fendus d'un communiqué pour déplorer les attaques de Paris. On aimerait qu'ils déplorent également les milliards de pétrodollars qu'ils déversent chaque année pour financerdes milliers d'écoles coraniques dans le monde promouvant leur vision fondamentaliste de l'islam, véritables usines à terroristes. On aimerait qu'ils déplorent le fait d'avoir, après Al Qaeda dans les années 80, une nouvelle fois aidé et armé un monstre - Daech - censé casser l'arc chiite que leur mentalité moyenâgeuse et sectaire craignait plus que tout. Secret de polichinelle éventé par Biden encore, ou par le général Clarke, gens peu suspects de "conspirationnisme". Cela n'empêche pourtant pas nos dirigeants d'aller se vautrer dans les ors des palais saoudiens pour signer des contrats.

    Quant à Merkel et son pathétique "nous mènerons le combat ensemble", qu'elle nous explique déjà comment a pu lui venir l'idée abracadabrante de vouloir, pour les beaux yeux du patronat allemand à la recherche de main d'oeuvre bon marché, ouvrir l'Europe à des millions de réfugiés parmi lesquels s'étaient évidemment infiltrés des terroristes, comme le répétaient les services de renseignement. L'un des tueurs de vendredi avait un passeport syrien... Combien d'autres dans des cellules dormantes ?"

    http://hoplite.hautetfort.com/

  • Jean-David Cattin, directeur des « Identitaires » : « Le vivre-ensemble n’existe pas! »

    Cattin

    Jean-David Cattin, directeur national des « Identitaires  » (ex-Bloc Identitaire)  a été interrogé par Il Fatto Quotidiano, un média italien, le 19 juillet. La vidéo est en Français.

    http://www.medias-presse.info/jean-david-cattin-directeur-des-identitaires-sexprime-le-19-juillet-sur-limmigration-le-vivre-ensemble-nexiste-pas/58428

  • De qui se moque-t-on ?

    Dr Bernard Plouvier

    Manifestement, nos gouvernants et leurs hauts-fonctionnaires ont perdu le contrôle de leur état mental ! Pour quelques graffiti antimusulmans, un préfet rhodanien convoque le gratin de la presse collaborationniste (celle qui applaudit à l’immigration-invasion) et compare ces graffiti à la Kristallnacht… rien de moins ! Au fait, le préfet sait-il que cette « Nuit de Cristal » faisait suite à un crime passionnel d’homosexuel, camouflé en pseudo-crime politique ?

    À l’évidence pourtant, en France et en Allemagne, ces sont des musulmans qui violent, assassinent, vandalisent et plutôt que de reprendre en mains les fruits pourris de cette immigration-invasion, les dirigeants de la communauté musulmane (au fait, par qui ont-ils été élus ?) viennent gémir et revendiquer dans les palais ministériels.

    OK, à Nice et pour la première fois, des promeneurs musulmans ont écopé. On veut bien compatir à la misère des familles atteintes, à condition de rappeler clairement qu’à Nice comme ailleurs (Joué-lès-Tours en 2014, Paris, Marseille, Munich, Hambourg, Cologne, Düsseldorf, Vaulx-en-Velin, etc.) les tueurs, les violeurs ou les émeutiers ne sont pas des Européens de souche, ni des bouddhistes, ni des chrétiens, ni des juifs, ni des zoroastriens, etc. mais des islamistes (et il y en a pour tous les goûts : maghrébins, noirs africains, syriens, irakiens, iraniens, afghans, etc.).

    Avant de protester, les musulmans doivent engager quelques Hercules pour nettoyer leurs écuries. Car, pour paraphraser le grand Will, ce n’est pas dans le royaume de Danemark qu’il y a quelque chose pourri, mais dans la Oumma. Que les râleurs musulmans commencent à balayer leurs cochonneries djihadistes, avant que d’autres ne s’y mettent.

    Effectivement, la mesure est comble. Pas une journée sans ses viols racistes, pas une semaine sans ses attentats djihadistes. Allez râler ailleurs, musulmans… retournez dans le Dâr al-Islam, car – en dehors du patronat et des multinationales – personne ne vous a demandé de venir enrichir l’Europe de vos précieux talents.

    Quant aux « chefs » des États européens, ils feraient mieux d’apprendre à être des démocrates… ce qui exige de prendre l’avis du bon peuple. Après les attentats meurtriers et les émeutes raciales de cet été (Nice et Munich, les Hautes-Alpes ; Vaulx-en-Velin et diverses communes d’Île-de-France), il serait peut–être temps d’organiser un referendum en France, en Belgique, en Allemagne et ailleurs, sur l’opportunité du grand retour en Afrique et au Proche- et Moyen-Orients des immigrés-envahisseurs-tueurs d’allah.

    Il ne s’agit plus de referendum sur l’immigration : le problème est dépassé, mais d’une consultation populaire sur le retour aux continents expéditeurs de sujets hautement indésirables. En quelque sorte un islamo-Eurexit, analogue à ce Brexit qui avait paru, avant juin 2016, impossible, terrifiant par ses conséquences apocalyptiques, à nos merveilleux politologues, politiciens et journalistes au service de la globalo-mondialisation.

    L’Europe n’a pas vocation pour entrer dans la Oumma, mais elle ne doit plus être le terrain de jeux meurtriers des musulmans fous. Autrefois, on hurlait : « US go home ! ». De nos jours, le slogan est à peine changé : « Islamiques, retournez chez vous », que nous puissions de nouveau vivre en paix CHEZ NOUS, Européens de souche.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/07/23/de-qui-se-moque-t-on-5829438.html

  • Alain de Benoist : « Les armes ou les larmes : il faut choisir »

    La rédaction de Breizh-Info a interrogé Alain de Benoist, intellectuel majeur de la Nouvelle Droite, sur l’actualité et sur les évènements qui s’enchaînent, en France, en Europe et dans le monde. Nous reprenons ici cette entretien publié le 21 juillet 2016 par Breizh-Info

    Breizh-info.com : Nice, Turquie, Brexit : est-on en train d’assister à une accélération de l’histoire ?

    Alain de Benoist : Il y a déjà eu des attentats en France (et il y en aura d’autres), comme il y a déjà eu des coups d’État en Turquie (et ce n’est sans doute pas le dernier). Le Brexit est plus important, surtout s’il s’avère qu’il aura marqué le début de la déconstruction européenne. Mais cela suffit-il à parler à d’« accélération de l’histoire », expression dont une définition précise est encore à donner ? Plus intéressante me paraît être l’accélération sociale, à laquelle Hartmut Rosa a consacré un excellent livre : « L’accroissement de la vitesse, écrit-il, constitue le véritable moteur de l’histoire moderne ».

    Mais cette accélération-là n’a pas grand-chose à voir avec les événements qui font la une des médias. C’est une accélération silencieuse, d’autant plus efficace qu’elle ne fait pas de bruit. Si l’on recherche le décisif, plus que vers Ankara, c’est vers la Silicon Valley qu’il faut se tourner.

    Les responsables européens sont-ils à la hauteur des événements ?

    Alain de Benoist : Vous connaissez très bien la réponse. Ces gnomes ne sont même pas à la hauteur d’eux-mêmes.

    Que vous inspire la tentative de coup d’État en Turquie ?

    Alain de Benoist : Ses auteurs s’y sont véritablement pris comme des manches, ce qui confirme une fois de plus que les militaires putschistes sont rarement intelligents. Erdogan, comme de Gaulle en avril 1961, a au contraire réagi avec une rapidité et un sens du moment historique qui méritent l’admiration. C’est une belle illustration du propos de Carl Schmitt : « Est souverain celui qui décide dans le cas d’exception ».

    Le président turc est évidemment le grand vainqueur de ce coup d’État avorté : ses adversaires lui ont offert sur un plateau d’argent les circonstances qui vont lui permettre de museler son opposition. Reste à savoir si l’événement ne va pas également dégrader les relations de la Turquie avec les Etats-Unis, ceux-ci n’ayant condamné le coup d’État qu’avec un retard assez suspect. Il faudrait alors s’attendre à une confirmation du rapprochement entre Ankara et Moscou. Mais rien n’est sûr. La Turquie étant une spécialiste du triple ou quadruple jeu, il est difficile d’en dire plus pour le moment.

    Du Front national au Parti communiste français, il semblerait que la solution du « tout sécuritaire » soit prisée pour combattre l’islamisme. Partagez-vous cet avis ? Le mal n’est-il pas plus profond, et à traiter à la racine ?

    Alain de Benoist : La quasi-totalité de la classe politique estime que la réponse au terrorisme doit être avant tout « sécuritaire ». Cela revient à vouloir agir sur les conséquences plutôt que sur les causes, c’est-à-dire à chercher à régler en aval ce qui doit se régler en amont. Les mesures dites de sécurité ne servent en outre pas à grand-chose. La présence des militaires dans les rues rassure, mais ne protège pas. Le renseignement reste inefficace aussi longtemps qu’il n’est pas orienté vers le décèlement précoce. Quant aux mesures d’exception, que réclament les hystériques, elles ne font que restreindre les libertés sans améliorer la situation.

    Comprendre le djihadisme, afin de mieux lutter contre lui, implique un changement radical des mentalités. Nos contemporains estiment pour la plupart que rien n’est pire que la mort, idée dont ils ignorent qu’elle est assez récente (mais à laquelle l’idéologie libérale apporte sa caution : l’Homo œconomicus étant posé comme fondé à toujours rechercher son meilleur intérêt, il n’est objectivement rien au nom de quoi on puisse lui demander de sacrifier sa vie).

    Ils se sont par ailleurs habitués à penser que la religion trahit sa vocation quand elle encourage le fanatisme. Cela leur interdit de comprendre la dimension existentielle d’un activisme islamiste dont les protagonistes, non seulement ne craignent pas la mort, mais la recherchent volontairement avec passion. Cela leur interdit aussi de comprendre ce fait brutal qu’à l’heure actuelle, le djihadisme est apparemment la seule cause pour laquelle des milliers de jeunes sont prêts à aller mourir loin de chez eux. L’explication psychologique par la « folie » et la « radicalisation » des « déséquilibrés » arrange tout le monde. Grande différence culturelle, que les Américains ont déjà éprouvée en Afghanistan : quand un Occidental est tué, sa famille le pleure ; quand un djihadiste est tué, sa famille prend les armes. Les armes ou les larmes : il faut choisir.

    La France peut-elle basculer dans la guerre civile ?

    Alain de Benoist : Vous m’avez déjà posé la question, et ma réponse est la même : pour l’instant, c’est non. Des colères ne suffisent pas à déclencher une guerre civile, et il en va de même des actes de violence, même répétés, ou des éventuelles dérives individuelles ou groupusculaires de sociopathes du type Breivik.

    Il ne peut y avoir une guerre civile que lorsque des masses ont le désir, la volonté et les moyens de se battre. Je ne vois rien de tel actuellement. Les réactions qui font suite aux attentats le démontrent amplement : ce que les Français veulent aujourd’hui, ce n’est pas la guerre, mais la paix – et même la paix à tout prix.

    Propos recueillis par Yann Vallerie

    Texte paru initialement sur Breizh-Info sous le titre
    « Alain de Benoist sur les responsables européens :

    “Ces gnomes ne sont même pas à la hauteur d’eux-mêmes.“ »

    http://fr.novopress.info/