Au moment où nous écrivions, en ce matin du 4 novembre (heure de Washington), Donald Trump devait au moins gagner quatre des États en suspens. Cependant que Joe Biden aurait besoin de la moitié d’entre eux pour empocher les 270 grands électeurs. Trump l’avait donc « emporté » avec le vote direct. Il semblait, en effet, qu’il ferait mieux que lors de son élection en 2016. Jusqu’à ce que, au cours de la nuit, le vote dit par correspondance en réduise considérablement la portée, ou inverse la tendance.
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Élection américaine, décryptage à chaud
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« Quand on pense mal, on agit mal ! Confinement débile, surveillance par drones, criminels libérés… » L’édito de Charles SANNAT
par 4 Nov 2020 | |
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Gérald Darmanin porte une nouvelle loi sur la sécurité, encore une me direz-vous.
Plus on fait de loi sur la sécurité, et plus c’est le bazar dans ce pays.
D’ailleurs ce pays n’est plus qu’un immense foutoir, un immense foutoir, parce que la pensée de tous ceux qui dirigent, gauche ou droite, journalistes comme « intellectuels » est également un immense foutoir.
Quand on pense mal, on agit mal.
C’est exactement ce qu’il passe.
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Le maire de Camaret au tribunal pour défendre les commerces non-alimentaires
Philippe de Beauregard, maire de Camaret, est convoqué devant le tribunal administratif de Nîmes pour avoir maintenu l’arrêté municipal portant autorisation d’ouverture des commerces non-alimentaires. Voici son communiqué :
« Je maintiens mon arrêté portant autorisation d’ouverture des commerces non-alimentaires malgré la mise en demeure du Préfet de Vaucluse me demandant de retirer ce dernier.
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Coronavirus, terrorisme, troubles sociaux : la grande trouille du gouvernement !
Qu’il s’agisse du peuple médiatique ou du peuple tout court, la même interrogation demeure : pourquoi le gouvernement mène-t-il une telle politique de gribouille ? Et pourquoi, surtout, cette dernière paraît-elle incompréhensible, entre tâtonnements permanents, marches avant suivies de marches arrière et autres pas de deux ?
La première réponse coule de source : dans le monde enchanté des grandes écoles, les jeunes macronistes aujourd’hui aux manettes ont tout appris, hormis l’essentiel ; à savoir que, par essence, l’histoire est tragique et que, forte de plus de mille ans d’une histoire singulièrement mouvementée, la France est tout, sauf une « start-up nation ».
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Pétage de plomb à l’Assemblée : Olivier Véran perd ses nerfs
« Foutez-moi tout ce monde dehors ! » On connaît cette phrase martiale qu’aurait prononcée Joachim Murat, lors du coup d’État du 18 brumaire à Saint-Cloud où étaient réunis les Cinq Cents, ancêtres de nos députés d’aujourd’hui. L’Histoire bégaye mais ne se répète pas, Emmanuel Macron n’est pas Bonaparte et Olivier Véran n’est pas Murat. Cela se saurait.
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Covid-19. Le confinement, « stratégie du choc » avant la faillite ?, par Jean-Yves Le Gallou
Le Coronavirus existe et il est normal de le combattre. Mais les oligarques se servent de cette lutte pour faire avancer leurs intérêts et leur vision du monde. Plus que la recherche de l’efficacité, c’est ce qui permet de comprendre la stratégie de Macron. Une stratégie du choc. Faire peur pour détruire. Faire peur pour déconstruire. Faire peur pour transformer. Explications avec ce texte de Jean-Yves Le Gallou.
1– Le coronavirus est apparu fin 2019. Fruit du hasard. Hasard naturel s’il s’agit d’une mutation franchissant la barrière des espèces. Hasard humain s’il est sorti accidentellement (ou non) d’un laboratoire d’expérimentation. Hypothèse prise aujourd’hui au sérieux par de nombreux scientifiques.
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Confinement : un remède pire que le mal ?
Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé et de divers domaines ont signé, dernièrement, une tribune pour dénoncer le confinement, qui serait un remède pire que le mal. Seuls quelques sites comme Alternative Santé s’en sont fait l’écho, et pourtant, les arguments avancés auraient mérité d’être entendus par le plus grand nombre.
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Philippe de Villiers: «C’est au virus islamiste qu’il faut faire la guerre»
Philippe de Villiers déplore le traitement différentiel entre le coronavirus et le virus islamiste. Pour lutter contre le premier, le gouvernement n’hésite pas à mettre en oeuvre des mesures d’exception contestables tandis que pour face au second, qui relève selon lui d’ «une vraie agression invasive», on refuse de prendre des mesures de guerre au motif qu’elles pourraient être liberticides.
Une tribune publiée sur Figarovox.Tout est hors de contrôle: le Covid, le terrorisme. Emmanuel Macron court derrière, il court après les mots, après les morts, martial, impuissant. Le champ lexical utilisé depuis le printemps – «Nous sommes en guerre» – apparaît aujourd’hui comme une outrance et un terme inapproprié: l’épidémie court toujours et les terroristes aussi. Affleure dans la tête des Français, désemparés, l’idée que le pays n’est pas gouverné et que l’État est aux mains d’une bande d’amateurs.
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Hydroxychloroquine : «Tous les scandales de santé publique commencent comme ça»
Entretien du 30/10/2020 avec Fabrice Di Vizio, avocat du collectif C19 et de l’association Victimes Covid-19 France. Il revient sur le recours qu’il a déposé au Conseil d’Etat accompagné d’une plainte au pénal après le refus de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) d’autoriser plus largement l'hydroxychloroquine prônée par le professeur Didier Raoult.
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RN : “Il y a une volonté folle de purger tous ceux qui ont fait la bise à Marion Maréchal”
Comme nous l’annoncions début octobre, la purge estivale a joué les prolongations en automne au sein du RN. Après avoir été déchargé de sa fonction de délégué départemental du Rhône, Antoine Mellies, en plus d’un blâme, est désormais suspendu du RN pour une année, ce qui l’empêchera d’être candidat aux régionales. De son côté, la courageuse conseillère régionale Agnès Marion a reçu un avertissement.
Inutile de préciser qu’ils sont tous les deux proches de la sensibilité politique de Marion Maréchal et que la raison est futile :
L’ex-délégué départemental du Rassemblement national dans le Rhône, Antoine Mellies, a été suspendu du parti pour un an à l’issue d’une convocation disciplinaire la semaine dernière. « Je suis atterré », a déclaré l’élu régional mardi (…) Antoine Mellies a été entendu le 27 octobre par la commission des conflits du parti avec une autre élue régionale du RN, Agnès Marion. Cette dernière a reçu un avertissement dans cette affaire qui a servi de « prétexte » pour régler des comptes, selon des sources internes au parti à Lyon (…)