Un copain de prépa (c’était sous Giscard, il y a donc prescription) exhibait sur la porte de son armoire de chambre une cordelette avec une bonne dizaine de petits nœuds. Un grigri, peut-être ? Pas du tout. Sur un bout de papier, l’explication : « Chaque fois que je b…, je fais un nœud ». C’était évidemment faux et ce copain ne se prenait pas au sérieux. Certes, ce n’était pas de très bon goût mais que voulez-vous, tout le monde n’a pas fait ses classes à Buckingham Palace.
France et politique française - Page 1074
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L’indécence de Renaud Muselier ?
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Nos élus rêvent de reproduire les méthodes de la Chine communiste
Constance Prazel a décrypté pour Liberté politique le rapport sénatorial sur la crise sanitaire et les outils numériques pour y répondre. Ce rapport donne l’état d’esprit de nos élus et ce n’est pas rassurant pour nos libertés :
[…] Le rapport se fonde sur un constat de départ : la gestion de la pandémie n’a pas permis de réduire de manière significative les morts, et elle a mis le pays sous cloche avec des conséquences économiques dramatiques. Pour éviter la reproduction d’un tel scénario, il préconise d’envisager un recours massif aux outils numériques, et d’envisager des méthodes toujours plus intrusives, estimées plus efficaces, mais limitées dans le temps. Une fois posé ce cadre de réflexion, tout devient permis – ou presque.
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Jean-Pierre Fabre-Bernadac la guerre civile n'est pas une fatalité
« Sonneur de tocsin « Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, a lancé le premier appel de militaires sur le risque de guerre civile. Il va de l’avant et, pour lui, la solution à cette crise n'est à chercher ni chez les politiques ni chez les militaires.
Entretien. Propos recueillis par Richard Dalleau
Votre tribune et celle de camarades d'active ont recueilli des centaines de milliers de signatures. Selon un sondage Harris interactive, 58% des Français vous soutiennent. Cela suffira-t-il à ce que vous soyez écoutés des politiques ?
C'est à eux qu'il faut poser la question.
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Macron : Diviser pour mieux régenter
Alors que le Conseil constitutionnel étudie la validité du pass sanitaire, les Français se divisent en pour et contre. Une nouvelle fracture du pays à mettre à l’actif de Macron.
Députés et sénateurs se sont finalement mis d’accord sur le texte de loi mettant la nation sous contrôle sanitaro-judiciaire. Si la chambre haute a apporté quelques (très légères) atténuations au programme coercitif voulu par le gouvernement, la proposition originelle n’a pas connu de remaniement profond. L’Elysée attend maintenant l’avis du Conseil constitutionnel.
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Emmanuel Macron, leader mondial des obligations et des interdictions
Qui l’eût cru ? Notre Emmanuel Macron national, libéral dans l’âme, grand pourfendeur des frontières, des replis, des règlements faussement protecteurs, devenu, le temps d’une allocution martiale, le 12 juillet, le grand promoteur des obligations et des interdictions : obligation vaccinale – explicite pour les soignants, hypocrite, pour tous les autres – et interdictions de fréquenter cinémas, musées, bars, restaurants et, maintenant, collèges et lycées pour qui ne serait pas muni du fameux « passe ». À vrai dire, ce coup lui ressemble bien, tant son parcours politique depuis 2016 pourrait se résumer à une succession de coups depuis le premier contre Hollande, son mentor, en 2016. Donc, cette fois-ci, le coup du passe. Un coup sur la tête pour des millions de Français.
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Valérie Pécresse et la carpette anglaise
« Je suis candidate à la présidence de la République pour restaurer la fierté française. » Ainsi s’est exprimée, le 24 juillet, dans Le Figaro, la présidente de la région Île-de-France, ajoutant : « Je me présenterai [à la primaire] en femme libre. » À la suite de quoi, Daniel de Poli, membre très actif d’Avenir de la langue française (ALF), a envoyé à la prétendante une lettre ouverte, lui rappelant que la fierté française passe d’abord par la langue française. Aurait-elle oublié son prix, bien mérité, de la Carpette anglaise obtenu en 2008 ? Ce « grand prix d’indignité civique » créé en 1999 pour désigner les déserteurs de notre langue et leur veule soumission aux puissances financières mondialisées, responsables de l’abaissement de la France, son identité, sa démocratie ?
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DI VIZIO : « Si Emmanuel Macron veut la guerre nous lui ferons la guerre »
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« Survivre à la désinformation » : le regard éclairant d’Alain de Benoist sur l’actualité
Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossible, La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Aux éditions de La Nouvelle Librairie, Alain de Benoist, essayiste et philosophe, publie un nouveau recueil d’entretiens avec Nicolas Gauthier. Gabrielle Cluzel rappelle dans son aimable avant-propos que ces entretiens prennent leur source dans les chroniques d’Alain de Benoist publiées sur le site Boulevard Voltaire. Ce recueil prend donc la suite d’un premier volume publié en 2015 et intitulé Survivre à la pensée unique. Cette fois la rétrospective s’étend d’octobre 2015 à mars 2021 : une période particulièrement riche en « informations », donc en bobards médiatiques et en désinformation ! D’où le titre donné à ce nouvel essai.
Réflexivité et non pas réactivité
« Le sot n’est instruit que par l’événement », dit-on.
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Une mobilisation au cœur de l’été – Contre une dictature de moins en moins molle, par Francis Bergeron
Mea culpa. L’annonce tonitruante, notamment par Florian Philippot, de manifestations énormes, le samedi 17 juillet, nous avait laissés sceptiques. Il y a eu, certes, le précédent du 14 juillet 1789, mais depuis la Seconde Guerre mondiale, jamais les mois de juillet et août n’ont été propices à des manifestations politiques de très grande ampleur. Or le 17 juillet dernier, le gouvernement a reconnu que 114 000 personnes au moins étaient descendues dans la rue pour manifester contre le caractère obligatoire, contraignant, liberticide, des mesures anti-COVID du projet de loi gouvernemental.
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MONSIEUR MACRON, VOUS ÊTES UN MENTEUR !, par Hildegarde.
Décidément d’accord pour une fois avec Bernard-Henry Lévy : Ce virus rend fou !
Le 27 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe déclarait dans sa résolution 2361 que personne ne peut être vacciné contre sa volonté sous la pression. L’assemblée demandait* :
- de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;