France et politique française - Page 1105
-
Cette année là n°19 : Pourquoi la gauche s'effondre
-
Guillaume Peltier serait-il passé à gauche ?
Et ce sont des économistes de gauche qui posent la question dans une tribune parue dans le Monde :
Nous avons été surpris de constater que le parti Les Républicains (LR) reprenait à son compte notre proposition de taxer tous les paiements électroniques (…). Mais ce qui était dans notre livre un mini-péage au taux de 0,2 % permettant de financer la transition écologique est devenu pour Guillaume Peltier, vice-président délégué LR interviewé par le JDD le 17 avril, un véritable impôt au taux de 2 %.
-
Emmanuel Macron pire que Léon Blum
Aujourd’hui, je relis des pages de Léon Blum, chef du parti socialiste (adversaire politique du nationaliste Maurice Barrès mais lié à ce dernier par une admiration réciproque !), personnage culturellement non négligeable mais politiquement catastrophique pour son irréalisme pacifiste et ses longs dénis des réalités du communisme et du nazisme.
-
Le plat hommage rendu à Stéphanie Monfermé
Le Premier ministre a présidé l’hommage à la secrétaire administrative, égorgée au commissariat de Rambouillet, vendredi 23 avril. Une cérémonie dénuée de toute grandeur.
Comme dans les meilleurs films de mafia, c’est l’un des commanditaires du meurtre qui est le premier à réciter l’éloge funèbre. Non que Jean Castex ait porté lui-même le couteau qui a servi à égorger Stéphanie Monfermé, un après-midi du 23 avril, mais c’est toute une politique qui peut être désignée comme responsable de ce genre d’attaque, en plein cœur d’un commissariat ! Une politique d’angélisme, qui se concrétise par un certain laxisme judiciaire, mais qui se retrouve également dans le discours de nos dirigeants. Plus encore lorsqu’il s’agit de rendre hommage à une victime d’acte islamiste. Le cadre était choisi avec soin par les cabinets du gouvernement, sur la place Thome-Patenôtre, face à la Lanterne, un lieu culturel de la commune francilienne.
-
Tweets montrant l’horreur de Daech : Le Pen et Collard relaxés
En cause: des tweets publiés en décembre 2015, quelques semaines à peine après les attentats revendiqués par l’EI à Paris et en Seine-Saint-Denis.
https://www.fdesouche.com/2021/05/04/tweets-montrant-lhorreur-de-daech-le-pen-et-collard-relaxes/
-
Au moment où le terrorisme islamique fait des ravages, le "Conseil d'Etat" confirme la dissolution de Génération identitaire...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
La poignée de préretraités cacochymes qui constitue ce que l'on appelle le Conseil d'État (comme s’il y avait encore un État en France) vient de confirmer la scandaleuse dissolution du mouvement Génération identitaire.
Au moment où se multiplient les actes terroristes liés à l'islamisme (donc à l'islam - idéologie politico-religieuse massivement importée sur notre sol ces dernières décennies avec l'immigration voulue et encouragée par le Système) ; au moment où des flics et même des profs, incarnations de cet Etat en déshérence, se font insulter, lapider, voire égorger ; au moment où la délinquance importée sévit quasiment en toute impunité dans des zones de plus en plus vastes, la décision de cette institution montre à quel point la notion même de République se trouve désormais vidée de tout contenu.
-
La dérive électoraliste de Jean-Luc Mélenchon : erreur de calcul dangereuse et tremplin pour l’islamisme
Comme il faut bien, aujourd’hui, tweeter pour exister, Jean-Luc Mélenchon s’est fendu du service minimum : « Révoltant meurtre à #Rambouillet. Condoléances à la famille et aux proches de la victime. Devoir de sang-froid, exigence de justice. »
Serait-il en retard de quelques septennats ? Ce commentaire était-il destiné à alerter l’opinion sur la découverte du cadavre du ministre du Travail de Giscard, Robert Boulin, dans un étang de la forêt de Rambouillet, en octobre 1979 ? Oui, tout concorde. À condition d’accréditer la thèse complotiste d’un crime maquillé en suicide. Oui, « révoltant meurtre » !
-
Comment réindustrialiser, quand on fait tout pour faire fuir les investisseurs ?, par Olivier Piacentini.
Rappelez-vous, c’était il y a un an : face à la pénurie de masques, de tests, de pièces détachées et même de principes actifs du paracétamol, Macron et le pouvoir reprenaient à leur compte l’émotion de la population et promettaient de tout faire pour retrouver une souveraineté industrielle.
Car les risques de pénurie ont démontré que les dégâts de la désindustrialisation, largement minimisés par les suppôts du mondialisme, allaient bien au-delà des pertes d’emplois : ils remettaient en cause la survie même de nos économies. Or, que voit-on, depuis ? Des usines Peugeot ont dû fermer pour cause de pénurie de semi-conducteurs importés d’Asie. Les risques de pénurie se multiplient à tous les niveaux. Les relocalisations sont restées lettre morte, au stade de l’incantation.
-
Thomas Joly est le candidat de la droite nationale non reniée à l'élection partielle qui se déroulera dans l'Oise le 30 mai prochain
Il a répondu aux questions posées par le site Jeune Nation cliquez ici :Vous vous êtes donc déclaré candidat à la succession d’Olivier Dassault, qu’attendez-vous de cette élection ?Une élection législative, même partielle, est une élection nationale et permet de faire connaître aux Français notre projet de redressement national, identitaire et populaire. C’est un moyen – et non une fin – pour faire connaître nos idées au plus grand nombre. Face à des candidats du Système, j’incarnerai une alternative de droite nationale. Et je suis d’autant plus légitime à concourir à cette élection puisqu’il s’agit de la circonscription où j’habite et où je me présente pour la quatrième fois. -
LA RÉPUBLIQUE OU LA FRANCE ?
Avec une rigueur apparente qui frisait la raideur, la ministre de la Défense s’est drapée dans la République et ses valeurs pour fustiger les militaires pour la plupart en retraite qui ont eu la “déloyauté” de rappeler dans quelle spirale infernale la France était engagée. L’inflation d’un terme dans les discours publics doit toujours éveiller un soupçon : sa présence insistante dans la parole officielle n’est-elle pas le signe de son absence dans la réalité ?