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France et politique française - Page 2576

  • PHILIPPE MILLIAU : « TV LIBERTÉS CONNAÎT UN SUCCÈS CROISSANT CHAQUE ANNÉE, NOTAMMENT CHEZ LES JEUNES ! »

    Philippe Milliau revient sur la fondation de TV Libertés et livre des statistiques précises sur le succès croissant du canal Youtube qui monte : nombres de vues, âge médian des téléspectateurs. Il aborde aussi les questions de l’information dissidente, de la concurrence avec RT et des projets de mise au pas de la presse alternative par le pouvoir : « C’est un leurre, cela ne fera qu’accroître le marché ! Et c’est à nous de nous y adapter. »

    TV Libertés fête ses quatre ans d’existence. Que retenez-vous de ces premières années ?

    Je retiens d’abord les deux ans de préparation avant le lancement du projet.
    Ensuite, après quatre ans, nous avons, il me semble, une satisfaction partagée avec nos téléspectateurs.
    Chaque année, nous avons fait un peu mieux ou nettement mieux que l’année précédente. C’est vrai en nombre de vues, en nombre d’émissions comme en temps de production. J’insiste enfin sur ce qui pourrait paraître un détail, mais qui au fond est absolument central. C’est vrai aussi en taux d’écoute au sens du temps de cerveau disponible.
    En effet, lorsque les internautes vont sur un site, ils y passent en moyenne, selon les statistiques, de une à cinq minutes. Chez nous, c’est plutôt de l’ordre de 15 à 18 minutes. Le temps de cerveau disponible pour TV Libertés est plus important que dans d’autres cadres. C’est un hommage qui nous est rendu. Cela s’explique peut-être parce qu’on intéresse quelque peu.

    Au début , c’était les Manifs pour Tous et l’opposition à la gauche…
    Etes-vous parvenu à garder vos téléspectateurs historiques ?

    Notre audience est en nette croissance. Pour donner quelques chiffres, nous avons dépassé l’an passé une moyenne de 2 millions de vues mensuelle sur internet, mais nous avons également atteint sur la dernière portion de l’année plus de 5 à 7 millions de microvidéos vues sur les réseaux sociaux.
    On peut noter également l’âge. Je ne donnerai aucun contre-exemple parce que je ne veux ennuyer personne ni dans la presse écrite ni dans les radios. Mais les chiffres montrent que l’âge médian de nos auditeurs est de l’ordre de 40 ans. Nous sommes donc à cet égard très représentatifs de la population française. Sur les réseaux sociaux, l’âge médian est inférieur à 40 ans. Nous sommes plus regardés par des jeunes ou assez jeunes que par des personnes d’âge plus mûr.

    L’émergence d’autres médias sur votre créneau est une bonne chose pour TVL ?
    On pense notamment au lancement du JT des Russes de RT…

    J’ai eu un long débat à ce sujet avec Emmanuelle Ménard, grande députée d’aujourd’hui et ancienne grande fondatrice et animatrice de Boulevard Voltaire. Je ne considère pas que la concurrence soit directe entre nous et je ne considère pas non plus qu’elle soit nuisible en soi.
    Je vais vous expliquer pourquoi je pense cela.
    Ce que vous avez appelé  »réinformation », on peut aussi l’appeler  »autre information » ou  »information dissidente ». Il s’agit en fait de l’information qui ne passe pas par les fourches caudines du politiquement correct obligatoire, de la pensée unique et de la vulgate des temps modernes de cette alliance libertaire-libérale qui est censée gouverner pour toujours tous les peuples du monde. Et bien cette autre information, cette autre vision du monde représente aujourd’hui, selon les sujets et ses coups de projecteurs, entre 35 et 70 % d’adhésion.
    Quand vous présentez moins de 1 % tout confondu de part de marché alors que le marché moyen est de 45 à 55 %, parler de concurrence est absurde.

    Les récentes déclarations d’Emmanuel Macron sur les  »fake news » risqueraient-elles à terme de vous mettre en danger ?

    Dans la course éternelle du gendarme et du voleur, personne ne gagne jamais. Les instances gouvernementales, mondiales et en particulier les inféodés au système anglo-saxon dominant se disent :  »nous avons eu un petit pépin avec Trump dont l’élection n’était pas prévue parce que, par derrière, des choses nous ont échappé, alors maintenant nous allons tenter de les contrôler ».
    Je le comprends très bien. Ils ne vont évidemment pas y arriver. Plus ils le font, plus le taux de reproches qui leur est adressé monte. Alors, plus le marché s’ouvre, plus le désir croît et plus les jeunes se disent que tout cela ressort d’une sorte de complot.
    On parle beaucoup de complotisme, on peut en penser ce qu’on en veut. Mais ce qui est important, c’est ce que les gens ressentent. Et ils ressentent qu’on les bluffe, qu’on les trompe, qu’on les abuse, qu’on les emmène sur de fausses voies. Alors ils vont chercher quelques lumières à différents endroits et ils les trouvent et continueront à les trouver. C’est donc à nous à avoir l’intelligence de nous y adapter.

    http://www.bvoltaire.fr/tv-libertes-connait-succes-croissant-annee-notamment-chez-jeunes/

  • Quimper : Claudine Dupont-Tingaud condamnée pour avoir dénoncé l'islamisation de la Bretagne...

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    Source EuroLibertés cliquez ici

    Pour avoir « outragé » le policier qui lui arrachait, dans le cimetière militaire de Quimper le 11 novembre 2017, la couverture éloquente de Valeurs Actuelles qui rappelait, sous l’effigie du Pape Jean-Paul II dont la statue est en passe d’être retirée d’une place publique de PLoërmel (56), ces mots de l’écrivain Chateaubriand « chassez le christianisme et vous aurez l’islam », Claudine Dupont-Tingaud, ancienne détenue politique pour avoir défendu l’Algérie Française, ancienne Conseillère Régionale de Bretagne, présidente de REAGIR, secrétaire de QUIMPER-RESISTANCE, comparaissait lundi 8 janvier 2018 à Quimper devant le Procureur de la République pour « rappel à la loi » alors qu’elle avait participé à toutes les manifestations de soutien à une police pas forcément aux ordres. Elle s’est vu imposer 400 euros d’amende !

    Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

    Ce jour-là ,11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Il est urgent que la droite défende sans honte le premier maillon qui structure notre société : la famille

    Lu sur Causeur.fr :

    "En octobre 2017, un député LREM proposait un amendement visant à supprimer l’universalité des allocations familiales. Le Premier ministre lui-même, ainsi que le ministre de l’Economie – transfuges de la droite – confirmaient que la question était d’actualité. Une fois de plus sous pression, montrées du doigt par ceux qui raisonnent à petite vue, les familles sont inaudibles dans les médias, souvent caricaturées ou montrées du doigt. Pendant ce temps, la droite reste étrangement muette. Trop muette. Paradoxale et sidérée.

    Faire un enfant est un engagement d’au moins un quart de siècleL’accompagner, l’élever, le construire a un coût pour toute famille. Cet enfant devenu autonome contribuera au fonctionnement de notre système social pendant un demi-siècle. C’est ainsi qu’en l’absence d’un important système public de compensation des charges familiales, les personnes sans enfant bénéficieront d’un meilleur niveau de vie durant leur vie active et auront leurs retraites financées par les enfants que les autres auront porté, soutenu et élevés. Soutenir les familles devrait être sans équivoque une politique prioritaire et de bon sens.

    La seule prise en compte du revenu pour traiter d’une politique familiale est injuste, car les familles nombreuses sont plus pénalisées que d’autres. Il faut prendre en compte le nombre de personnes dans un ménage, ainsi que les dépenses liées à sa composition, les familles bi-actives devant engager des frais de garde, concilier vie professionnelle et familiale sont frappées de charges considérables et exponentielles en fonction du nombre d’enfants et de leur avancée dans l’âge (...)

    La paupérisation des familles est engagée et inévitable. Triste conséquence : depuis 2015, notre natalité baisse. Or tout notre modèle de répartition des retraites est fondé sur un principe majeur : une natalité dynamique qui permettra à l’avenir de continuer à financer ce système. Le vieillissement de l’Europe et le problème démographique de notre continent peuvent être réglés pour assurer la pérennité de notre système de deux manières : par l’apport migratoire ou par de vraies politiques familiales. La première solution est une charge cachée derrière une prestation de service immédiate et d’apparence salutaire (...). En revanche, une politique familiale audacieuse est un effort financier comparable à un investissement à haut rendement futur. En somme: un choix politique !

    A l’heure où nous sommes face à un enjeu civilisationnel européen, où les familles sont malmenées par leur appauvrissement économique, le délitement des liens, l’individualisme, par les séparations, il est urgent que la droite s’empare de ce sujet et parle sans honte du premier maillon qui structure notre société : la famille. C’est un sujet qui nous concerne tous, quels que soient nos choix de vie, nos opinions, notre vécu.L’universalité du droit aux allocations familiales doit être réaffirmée car elle maintient pour partie l’équilibre du niveau de vie entre ménages sans enfant et ménages ayant des enfants à charge. Le droit aux allocations familiales (non imposables et sans condition de ressources) doit être assuré dès le premier enfant. Voici le sine qua non que devrait porter a minima une droite courageuse.

    Dans une interview au Figaro, Emmanuel Macron reconnaissait la politique défavorable à la famille du gouvernement dont il avait été ministre, tout en la maintenant en dehors de ses choix budgétaires d’avenir: « Il faut reconnaître qu’on a modifié à la fois le quotient familial et les allocations familiales. Ce n’était pas l’engagement initial. Cela a été vécu comme une politique défavorable à la famille. Mon souhait est de préserver la capacité de vivre bien dans une famille, en France. C’est une priorité, même si ce n’est pas pour l’instant dans ma trajectoire budgétaire ».

    Si la priorité de l’actuel président est « de préserver la capacité de vivre bien dans une famille, en France », il sera heureux d’apprendre que cela tient souvent à des choses qui le dépassent, mais qu’en revanche il ne dépend que de lui que les familles vivent mal en France. Pendant ce temps, la droite continue de se taire. Paradoxale et sidérée."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le prix de la Carpette anglaise a été remis à Anne Hidalgo

    Le prix de la Carpette anglaise distingue tous les ans un membre de l’élite française qui promeut la langue anglaise plutôt que le vocabulaire français dans ses allocutions publiques. Cette année, il y avait au rang des nominés, entre autres, le chef de l’état, Emmanuel Macron qui emploie régulièrement des mots anglais dans ses discours.

    C’est finalement Anne Hidalgo qui a remporté le prix pour son slogan des Jeux Olympiques : « Made for Sharing ».

    Voir la suite

  • Changement de nom du FN : Marine est pour. Les adhérents sont contre.

    Plus de père fondateur, plus de flamme, et bientôt plus de Front national ? C’est ce que préconise une Marine Le Pen qui s’échine à renier ses origines pour entrer de plein pied dans la cour des « grands » du système répoublicain !

    Dimanche dernier, lors d’une conférence de presse à Alençon, l’actuelle présidente du Front National a affirmé :

    « Si nous changeons le Front national, alors il faut aussi changer l’appellation. »

    « Si un nom contient une charge qui puisse susciter des craintes, ou une charge émotionnelle qui soit trop forte, et il semblerait que ce soit quand même le cas du Front national, alors il ne faut pas hésiter à se donner les moyens de la victoire. »

    L’utopie de Marine : en changeant de nom, incarner  un parti « de gouvernement » !

    Pourtant, d’après certaines informations parues sur le web, 80 % des adhérents sont opposés à un changement de nom ! « Le FN est une marque solide », explique un cadre du parti.

    A l’heure où la pensée unique s’efforce de détruire toute identité, les militants du FN restent attachés à cette identité politique vieille de plus de 40 ans et synonyme d’amour de la Nation, de combats pour la patrie et les Français de souche… Mais sont-ils encore les combats de Marine Le Pen ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/changement-de-nom-du-fn-marine-est-pour-les-adherents-sont-contre/85896/

  • Jean-Michel Blanquer s’attaque à la maternelle

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En terme d’annonce, Jean-Michel Blanquer est sans aucun doute l’un des ministres les plus actifs du gouvernement. Après avoir annoncé avant l’été un certain nombre de mesures concernant l’école, le ministre de l’éducation nationale s’attaque désormais à la réforme de la maternelle.

    L’ancien directeur de l’ESSEC a annoncé vouloir faire de la maternelle je cite « l’école de l’épanouissement et du langage »

    Avec cet objectif en tête, le ministre a confié une mission à Boris Cyrulnik, un neuropsychiatre. Des assises de la maternelle devraient être tenues prochainement pour établir les mesures à mettre en place.

    Monsieur Blanquer a assuré que ces assises devraient prendre en compte un grand nombre de facteurs en compte.

    La formation des instituteurs et de l’ensemble des intervenants sera bien évidemment le point central des discussions lors de ces assises. Les formations initiales et continues, la création de nouveaux outils pédagogiques dont certains à l’adresse des parents sont autant de sujets qui pourraient être transformés sous l’ère Blanquer.

    Mais le ministre souhaite aussi modifier d’autres aspects touchant moins directement à l’enseignement.

    Tout ce qui touche à l’environnement de l’école pourrait être amené à évoluer : salles de classe, cantine, toilettes etc.

    Après ces annonces, reste à voir quelles mesures seront effectivement prises et menés à leur terme.

    https://fr.novopress.info/

  • La démocratie est confisquée et personne ne dit rien ?

    La démocratie n’est certainement plus qu’une coquille vide. Parmi les mutations en cours, nous avons précédemment constaté que le politique tend à s’effacer au profit d’un juridisme contractualiste en pleine expansion. Autrement dit, faisant la part belle aux accords entre personnes (physiques ou morales) et réduisant ipso facto le contrôle de l’État (et ses immixtions autoritaires) sur les transactions privées. En fait, c’est tout l’esprit du droit anglo-saxon moderne qui contamine notre système juridique et, par voie de conséquence, bouleverse nos institutions et l’esprit de nos lois… ainsi que des structures mentales héritées du monde romain et presque inchangées depuis vingt siècles. Comprenons que cette configuration inédite modifie en substance notre rapport au monde et la perception que nous en avons (le filtre idiosyncrasique). Le gouvernement des juges (ceux d’instances arbitrales séparées du domaine régalien) annonce ainsi un changement de nature du pouvoir.

    Maintenant, il est d’autres manifestations du dépérissements du politique beaucoup plus immédiatement appréhensibles et préexistant à l’élection fracassante de M. Macron… mais que celle-ci a mises à nu. À commencer par la dislocation des partis traditionnels de gauche et de droite et celle du Front national qui – normalement – ne devrait pas survivre à son effondrement d’entre les deux tours. Maintenant, reste à savoir si les morceaux peuvent être encore recollés et si les partis décomposés sont susceptibles de resurgir de leurs cendres. Ceci pourrait être effectivement envisageable si ces éclatements n’étaient, en réalité, les révélateurs d’un vide préexistant. En témoigne la disparition déjà ancienne des lignes de démarcation entre gauche et droite, confusion des genres qu’ont épinglée des formules comme l’UMPS ou la drauche (*).

    Depuis longtemps, les factions politiques dominantes sont paradoxalement minoritaires (La République en marche écrase l’Assemblée de tout son poids avec seulement 14,5% des inscrits !). Le condominium sur les affaires publiques socialistes et républicains n’est, en fait, parvenu à se maintenir pendant un demi-siècle que grâce à de tortueuses politiques d’alliance, de redistribution de la manne des postes et des prébendes, et de découpages électoraux ad hoc. En un mot, la dichotomie droite/gauche non seulement a vécu, mais elle était devenue depuis belle lurette une fiction que seule masquait l’inertie du système. Les arbres vermoulus et creux peuvent rester debout indéfiniment en dépit des bourrasques jusqu’à ce qu’un souffle indu les mette à bas !

    Or, il ne s’agit pas d’une simple reconfiguration du paysage politique mais bien d’un phénomène dont il n’est pas certain que les observateurs aient bien mesuré toute la portée. Alors, quelles leçons tirer de la débâcle structurelle des partis ?

    La première est que la démocratie n’est certainement plus qu’une coquille vide. On en est à stigmatiser ceux qui (par exemple la Manif pour tous) s’insurgent contre des lois jugées scélérates au motif qu’il serait antirépublicain (illégal) de contester des textes adoptés par les assemblées. Mais qui compose le Parlement ? Les votes y sont-ils à ce point légitimes qu’il devienne interdit de les contester ? Car par quels mécanismes d’exclusion des partis plus ou moins fantoches sont-ils parvenus à un tel degré de monopole législatif ? Peut-on, en effet, prendre au sérieux une représentation du peuple interdisant à un quart de l’électorat toute voix au chapitre ? Cela commence à se voir et certains, d’ailleurs, font mine de s’en émouvoir. Le plus surprenant, dans l’affaire, n’étant pas que la démocratie soit confisquée mais que se soit tissé un tel consensus du silence autour de ce déni de démocratie – une forfaiture avérée. Que les bénéficiaires se taisent, soit, mais les autorités morales, les intellocrates, les juristes ? Personne ne s’indigne et tous cohabitent jusqu’à présent dans le meilleur des mondes politiciens en négation du principe de souveraineté populaire… réduite à n’être plus qu’un savant criblage de toutes les impuretés électorales qui pourraient gripper une machine à produire une forme molle de goulag consensuel. Il était temps que cela s’arrêtât.

    (*) Expression que vulgarise Benoît Hamon en décembre 2012 alors qu’il est ministre de l’Economie sociale et solidaire, pour désigner « les politiques dites sociales mais tout à fait libérales ».

    Jean-Michel Vernochet

    Note:

    (*) Expression que vulgarise Benoît Hamon en décembre 2012 alors qu’il est ministre de l’Economie sociale et solidaire, pour désigner « les politiques dites sociales mais tout à fait libérales ».

    Source : Boulevard Voltaire

    https://www.polemia.com/la-democratie-est-confisquee-et-personne-ne-dit-rien/

  • La mairie de Beaucaire propose à nouveau du porc à la cantine et supprime les repas de substitution

    6a00d83451619c69e201b8d2cdba74970c-320wi.jpgCette simple décision de bon sens est bien évidemment présentée par les médias encadrants comme une discrimination. Julien Sanchez, le maire FN de Beaucaire, explique sa décision dans les colonnes de Valeurs actuelles :

    Pourquoi avez-vous décidé, au premier janvier, de supprimer les repas de substitution dans vos cantines ?

    Comme toute municipalité, nous sommes soumis aux règles de la commande publique et nous sommes donc tenus de mettre en concurrence les entreprises quand un type de dépense représente plus de 25.000 euros. Notre marché des denrées alimentaires arrivait à échéance et il fallait donc le relancer pour quatre ans, ce qui nous a amenés à nous poser un certain nombre de questions sur la consommation dans les cantines et sur le marché des fournisseurs. S’est forcément posée la question des repas de substitution. J’ai souhaité mettre fin à cette pratique parce que je précise qu’à Beaucaire, nous n’avions pas deux choix chaque jour, mais seulement les jours où du porc était servi. J’ai trouvé cela anormal pour une raison simple : c’est une intrusion du religieux dans l’enceinte des établissements scolaires.

    On vous répondra que ces enfants ne mangent pas de porc, et qu’il faut bien qu’ils mangent pourtant…

    Je vous le disais à l’instant, les impératifs religieux n’ont pas leur place dans un établissement scolaire. C’est une revendication purement communautariste : le porc n’est quand même pas connu pour être un aliment particulièrement allergène me semble-t-il. Les enfants qui, pour des raisons religieuses, n’en mangent pas peuvent évidemment déjeuner ailleurs qu’à la cantine.

    Je refuse d’assister au grand-remplacement du porc à la cantine. Parce que je me suis bien rendu-compte que d’année en année, de moins en moins de porc était servi. C’est une viande qui est souvent produite en France et il est également normal que nous choisissions de soutenir l’agriculture française. Ce n’est pas mon rôle d’y renoncer pour des raisons religieuses.

    J’insiste sur cette raison parce qu’elle me semble suffisante et fondamentale. Mais il y en a d’autres, comme l’apartheid que cela engendrait de fait. Je me suis aperçu que depuis la mise en place de ces repas de substitution par l’ancienne municipalité (en 2008), les enfants musulmans mangeaient sur des tables à part. Sans doute par souci d’organisation, ces enfants étaient séparés des autres et c’est inacceptable là encore, dans une école publique (...)

    Cette décision a-t-elle également une motivation financière ?

    Evidemment ! Il ne faudrait quand même pas oublier le tarif des cantines. 2,40 euros pour les catégories les plus faibles en terme de revenus, et jusqu’à 4,70 euros pour les plus élevés. Le coût d’un repas est plutôt autour de 10 euros si l’on prend en compte le personnel nécessaire et la nourriture elle-même. C’est donc déjà un tarif social et sympathique pour les familles, il ne faut peut-être pas trop exagérer non plus.L’autre possibilité, nous dit-on, serait le self-service avec plusieurs repas proposés chaque jour. Mais là encore, le coût est impossible à assumer. Ce sont plusieurs centaines de milliers d’euros nécessaires, que nous n’avons pas (...)"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/01/la-mairie-de-beaucaire-propose-%C3%A0-nouveau-du-porc-%C3%A0-la-cantine-et-supprime-les-repas-de-substitution.html