
Ce sont ces élus qu’il est nécessaire d’isoler et de soigner :
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Ce sont ces élus qu’il est nécessaire d’isoler et de soigner :
RTL – Alors que les États-Unis se préparent à distribuer les vaccins contre le coronavirus à partir de décembre, des médecins alertent sur les « effets secondaires difficiles ». Ils réclament que les responsables de la santé publique et les fabricants de médicaments avertissent le public afin qu’il sache à quoi s’attendre et ne craigne pas la deuxième dose.
Lors d’une réunion avec les conseillers des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies américains, le docteur Sandra Fryhofer s’est interrogée : ses patients reviendront-ils pour la deuxième dose du vaccin s’ils observent des effets secondaires difficiles ? Dans tous les cas, « nous devons vraiment sensibiliser au fait qu’il ne s’agira pas d’une promenade au parc », a-t-elle déclaré. Ses propos ont été rapportés par la chaîne américaine CNBS.
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Attaqué en justice par un confrère infectiologue, pour ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine de son protocole contre le Covid-19 menés à la Timone, le professeur Didier Raoult n’a plus à s’inquiéter.
A mesure que le Covid baisse en intensité, il enfièvre la bureaucratie déchaînée. Tout se passe comme si l’Etat-mamma, enivré de son autorité sanitaire et de son pouvoir sur les foules, refusait de rendre son tablier et sa trousse d’infirmerie. Emmanuel Macron, naguère promoteur de la “start-up nation”, mène cette absurde mobilisation étatique. Il se présente en père de la nation, sans craindre l’imposture. Mardi soir, le chef de l’Etat a ainsi distribué son calendrier en trois étapes, en se noyant dans des détails ubuesques. Il a déclaré, par exemple : “La reprise des cultes est permise, dans la stricte limite de 30 personnes“.
Le Pr. Éric Caumes invité de David Pujadas au sujet des vaccins contre la Covid-19 : « Nous allons beaucoup trop vite »
Cela devient lassant à force de l’écrire. Demi-mesure, tâtonnement, versatilité, autosatisfaction (pour rester courtois). La « performance du président de la République hier soir à 20 heures a tenu toutes ses promesses en la matière. Après la foule d’annonces, s’est ensuivi un habituel prêche lyrique et satisfait, une homélie donc pendant laquelle les Français ont pris l’habitude de pudiquement détourner les yeux. Parmi les décisions du chef de l’Etat : réouverture des commerces, assouplissement du confinement avec une dérogation pour des promenades pouvant durer 3 heures dans une zone de 20 km au lieu du kilomètre réglementaire. Monseigneur est trop bon d’élargir la cour de promenade.
Une pétition a été lancée le 17 novembre pour un Noël sans Amazon afin de soutenir le commerce de proximité, touché de plein fouet par la crise. Une initiative somme toute honorable, mais révélatrice d’une hypocrisie, celle des politiques.
Après tout, les signataires continuent de vendre leurs livres sur Amazon. Et les alternatives qu’ils proposent –comme le click & collect ou le «do it yourself»– infantilise et culpabilise la population… alors que nombreux sont ceux qui ne peuvent se passer des livraisons.
https://fr.novopress.info/219755/noel-sans-amazon-une-petition-revelatrice-dune-certaine-hypocrisie/
Le 24 novembre 2020, à 20 heures, Emmanuel Macron était à nouveau devant les Français. Une opération de communication de plus, alors que La peur du Covid-19 est de plus en plus utilisée comme stratégie du choc au service des GAFA et des grands oligarques de la superclasse mondiale. Voici un décryptage – publié juste avant l’intervention de Macron – pour éviter l’enfumage.
« Nous sommes en guerre. » C’est ainsi que Macron annonça le premier confinement en mars 2020. Et « la première victime d’une guerre, c’est la vérité » (Kipling). Depuis cette déclaration, les mensonges sont omniprésents !
Yann Raison du Cleuziou, observateur de la scène catholique, publie une tribune dans La Croix concernant les manifestations pour la reprise des messes, soulignant une fracture générationnelle béante au sein de l’Église en France :
Des étudiants qui réclament la messe en manifestant… Voilà qui aurait pu être une « divine surprise » dans une France dont le nombre de catholiques pratiquants ne cesse de s’effondrer. Ceux qui continuent d’assister à la messe chaque semaine ne représentent désormais qu’1,8 % de la population française (parmi les 18 ans et +). L’enquête de l’Institut catholique de Paris et de l’Université Sainte Mary de Twickenham ne comptabilise que 23 % de catholiques déclarés parmi les 16-19 ans. C’est dire l’ampleur du crash !