santé et médecine - Page 163
-
Pierre-Yves Rougeyron : Thérapie de choc ou la casse sociale derrière la crise sanitaire
-
Hydroxychloroquine Alexandra Henrion Caude inquiète des vaccins coronavirus
-
Maître Di Vizio - "Le gouvernement ne décide de rien, il y a des intérêts financiers derrière !"
Lobbying pharmaceutique, guerre d'influences entre Remdesivir et hydroxychloroquine, plainte visant le Pr Raoult, course au vaccin, Fabrice Di Vizio est au micro d'André Bercoff, ce 23 novembre 2020
-
VERS L’EXPLOSION SOCIALE ?
Le regard rivé sur le seul horizon du Covid, les Français apprennent que leur délivrance se fera en trois étapes, soumises aux aléas de la pandémie. Dans deux jours, l’oracle présidentiel tombera sur leurs esprits embrumés par la peur collective et la sidération entretenue et stimulée comme à plaisir. La diction sera parfaite, et les mots soigneusement choisis, mais la France s’enfoncera un peu plus dans l’étrange brouillard d’une activité ralentie, d’une opposition muette, d’une démocratie suspendue qui “en même temps” prolonge un pouvoir de moins en moins légitime et mitonne une colère populaire d’autant plus rageuse qu’elle aura été enfermée plus longtemps.
-
Mesures sanitaires : une politique contestée en France et dans le monde
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Les états d’urgence sanitaire et leurs cortèges de mesures contraignantes clivent les sociétés. Sur les réseaux sociaux, la tension est palpable. Les anathèmes lancés de part et d’autre succèdent à de savantes batailles de chiffres. Ces derniers temps, la situation semble s’être durcie d’un cran, tout contradicteur de la politique gouvernementale étant irrémédiablement taxé par les experts, journalistes et politiques invités dans les studios et sur les plateaux télé d’être un dangereux complotiste à museler. Dans plusieurs pays européens la contestation gronde contre les restrictions jugées liberticides et disproportionnées. C’est le cas au Danemark, en Italie ou en Allemagne. -
L’aimable Macron va-t-il lâcher la bride aux Français ? – JT du lundi 23 novembre 2020
J-1 avant la nouvelle allocution présidentielle. Mardi, Emmanuel Macron devrait annoncer quelques assouplissements aux Français… Des miettes jetées à un peuple qui commence à en avoir ras la casquette !
L’actualité c’est également la loi sécurité globale qui sert de paratonnerre à l’exécutif. Alors que l’article le plus décrié de la proposition de loi a été adopté vendredi soir, le texte s’apparente de plus en plus à une tentative de réconciliation de la majorité avec la police. La raison : la crainte de la montée de la colère sociale.
Les catholiques toujours mobilisés pour retrouver la messe. Dimanche, ils étaient des milliers partout en France à manifester devant les églises. Nous ferons le point.
Et puis nous reviendrons sur les derniers événements de l’élection présidentielle américaine. Alors que Donald Trump ne s’avoue toujours pas vaincu, son adversaire, Joe Biden, force le passage vers la Maison-Blanche.
-
Si, maintenant, Monoprix s’y met…
« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir », disait Rivarol. Mais avant de désobéir, ils passent par une phase de contestation dont l’humour est un élément très important. Cela commence dans le cercle intime, s’enhardit au comptoir des bistrots, se poursuit chez les humoristes professionnels avant de gagner les médias non inféodés.
Le monde du commerce, lui, s’était toujours bien gardé d’afficher toute opinion politique, et encore moins factieuse, vis-à-vis du pouvoir, préférant surfer sur les vagues à la mode : il ne faut rebuter aucun client potentiel. Alors, aujourd’hui, on vend équitable, on vend bio, on vend sans C02, on vend métissé… un art de la flagornerie dont Decathlon est le nouveau Léonard de Vinci.
-
La junte sanitaire à l’action pour les « petits commerces ». Assemblée nationale, le 17 novembre
Il faut savoir que le gouvernement Castex comporte un ministre délégué chargé des petites et moyennes entreprises, ayant lui-même une expérience d’entrepreneur. C’est formidable.
Il faut savoir que le 17 novembre était un mardi et donc jour de questions/réponses au gouvernement à l’Assemblée nationale.
Pour juger de l’audace et de la force avec lesquels la junte sanitaire traite le cas des commerces dits « petits », voilà la question posée par le député Mme Isabelle Valentin (LR) et la réponse de Monsieur le ministre :
Mme Isabelle Valentin. Monsieur le Premier ministre, lors de son discours du 28 octobre dernier, le Président Macron a dit : « Je ne crois pas à l’opposition entre santé et économie. »… Si vous ne réagissez pas rapidement, vous pourrez investir des millions d’euros dans des programmes de revitalisation et faire tous les grands discours que vous voulez sur la cohésion des territoires, quand vous aurez tué la plupart de nos commerces, vous aurez tué l’âme et la dynamique de tous nos territoires. Monsieur le Premier ministre, avez-vous décidé de rouvrir les commerces le 26 novembre ?
-
Sur Front Populaire, "Les Élites françaises. Des Lumières au grand confinement".
-
Trucages électoraux, tyrannie covidesque, blasphème pour tous.31e entretien rivarolien novembre 2020