Yves Pozzo di Borgo, ancien sénateur et ancien vice-président de la Commission des affaires étrangères et de la Défense du Sénat et Slobodan Despot, écrivain et créateur d’Antipresse.net sont les invités d'André Bercoff.
l'information nationaliste - Page 2414
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"Nous sommes les petits télégraphistes des Américains" déclare Yves Pozzo di Borgo
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Jeanne d’Arc – Le procès de Rouen (Jacques Trémolet de Villers)
Jacques Trémolet de Villers est un célèbre avocat. Il est également un écrivain.
Les éditions Perrin ont eu la bonne idée de rééditer en format de poche ce livre qui connut précédemment un grand succès chez Les Belles Lettres.
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D’Ornellas : “La Pologne et la Hongrie, des pays auxquels l’UE inflige des sanctions, sans cesse brocardées pour leur égoïsme, accueillent les Ukrainiens qui s’amassent à leurs frontières, car ils font partie de la famille”
https://www.fdesouche.com/2022/02/28/dornellas-la-pologne-et-la-hongrie-des-pays-auxquels-lue-inflige-des-sanctions-sans-cesse-brocardees-pour-leur-egoisme-accueillent-les-ukrainiens-qui-samassent-a-leurs-frontieres-car-ils/
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FRANCE :PIB, dette, emploi, pression fiscale, Franc FR: un bilan sans appel par Charles Gave
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Ukraine-Arménie, une indignation à géométrie variable ?
Depuis cinq jours, le monde occidental a les yeux braqués sur l’Ukraine et l’attaque des forces armées russes sur cette ancienne république communiste de l’URSS. Indignation, atermoiements et larmes (parfois de crocodile) sont au rendez-vous, le sort des Ukrainiens est devenu celui de tous les Européens. Comment rester insensible au sort de ce pays envahi ? Entre un Emmanuel Macron se rêvant chef de guerre et une Ursula von der Leyen fantasmant déjà une Union européenne à 28, plusieurs observateurs de la vie géopolitique se sont pourtant étonnés de cet emportement sélectif vis-à-vis de l’agression russe quand, quelques mois en arrière, le monde occidental restait de marbre face à l’invasion du Haut-Karabagh par les soldats azerbaïdjanais.
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Drogueur d’une nuit : le président de l’Institut Montaigne démissionne
Accusé d’avoir drogué une de ses collaboratrices à l’ecstasy, le président de l’Institut Montaigne démissionne.
Dimanche 27 février, l’Institut Montaigne a annoncé la démission de son directeur Laurent Bigorgne. Ce dernier qui dirigeait le think-tank libéral depuis 2011 est soupçonné d’avoir drogué à son insu une collaboratrice lors d’une soirée.
L’essayiste a fait l’objet d’une convocation par procès-verbal le 10 mars devant le tribunal pour « administration de substance nuisible suivie d’incapacité n’excédant pas huit jours par une personne agissant sous l’emprise manifeste de produits stupéfiants ». Il sera jugé devant le tribunal correctionnel de Paris.
Laurent Bigorgne est un économiste de 47 ans et fait partie d’un comité de 34 hauts fonctionnaires, personnalités politiques et du monde économique désignés fin 2017 par le Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, pour dessiner la réforme de l’administration.
https://www.tvlibertes.com/actus/drogueur-dune-nuit-le-president-de-linstitut-montaigne-demissionne
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Les médias Français mentent-ils sur la Russie et Vladimir Poutine ?
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L’Ukraine comme théâtre du retour de l’histoire, par Clément Martin
À la chute de l’URSS en 1991, les prophètes de l’Occident (au premier rang desquels Francis Fukuyama, dans son célèbre La Fin de l’Histoire et le Dernier Homme) l’avaient bien annoncé : le processus historique était achevé. Désormais, toutes les nations du monde se rangeraient, pour leur plus grand bien, dans le modèle démocratique, social-libéral, droitsdelhommiste. Et pour les autres, les réfractaires, ce n’était plus qu’une question de temps avant que les archaïques préoccupations stratégiques, identitaires ou économiques (en un mot, politiques) ne laissent place au doux refrain du marché global, du multiculturalisme et de la gouvernance bienveillante de l’ONU.
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Pluralisme dans les médias : l’enfer pavé de bonnes intentions
À la demande des sénateurs socialistes Sylvie Robert et David Assouline, une commission d’enquête sur la « concentration des médias en France » a été lancée en novembre dernier.
Le centriste Laurent Lafon, nommé président de cette commission, explique, dans une courte vidéo publiée sur le site du Sénat, qu’il s’agit de mener une « ré-interrogation des principes de diversité et de pluralisme » dans les médias. Une noble cause qui aurait de quoi en réjouir plus d’un, notamment lorsqu’on pense au déferlement de slogans, tels que #pasmaredevance (pour « pas ma redevance »), qui fleurissent sur les réseaux sociaux, pour pointer du doigt des discours largement orientés sur les canaux de l'audiovisuel public.
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La Russie ne fait pas la guerre à l'Ukraine, mais à l'Atlantisme
L'évolution du conflit en Ukraine est très significative - deux mondes s'opposent : le monde des pays souverains, porté par la Russie et celui de la globalisation, écrasé par l'Atlantisme.
Si les armes grondent sur le territoire ukrainien, le conflit est bien mondial, car l'existence et la disparition de l'un de ces deux mondes est en jeu.
En lançant l'opération militaire en Ukraine, la Russie ne s'attaque pas à l'Ukraine, ni aux Ukrainiens. Les cibles sont militaires, elle ne bombarde pas les villes ni les civils, les militaires ukrainiens se rendent d'ailleurs nombreux et les autorités locales, par exemple dans la région de Kharkov, appellent désormais la population à s'entendre avec la Russie - le "nouveau pouvoir".