Pauvre Greta ! Elle pensait certainement pouvoir passer du bon temps avec son amoureux brésilien, ledit activiste pro-palestinien Thiago Avila.
Le retard au départ de Barcelone et le blocage de la flottille à Tunis ne pouvaient que l’arranger. Elle allait avoir plus de temps pour roucouler dans les bras de son chouchou, comme lors de la première tentative du Madleen en juin dernier.
Mais cela semble avoir mal tourné. Le chéri brésilien regarde ailleurs. Il veut laper dans une autre assiette. Il parait lorgner la Rima Hassan. Il se peut qu’il l’ait déjà lapée. Et vice versa.
On le voit aussi sur une photo se coller à une autre « militante ». On ne sait pas qui c’est, mais ça n’a aucune importance. L’essentiel est qu’elle l’accompagne dans sa cabine.
La « Global Flotilla Sumud », résistance en arabe, s’est muée en « Flotilla Nikah » (Fornication en arabe). C’est « open bar ». Global open bordel, en langage plus commun. Tout le monde nique tout le monde. Le menu est richement diversifié. On parle de la présence de 44 nationalités.
On comprend ces « militants » chargés de libido. Que voulez-vous qu’ils fassent en attendant de « briser le blocus » israélien sur Gaza ? Mais, rien, absolument rien, sinon copuler.
La Greta serait contente de « rebrousser chemin ». Elle voulait briser le blocus israélien, elle se retrouve elle-même brisée. Elle ne refera plus cette aventure. Si on ne peut pas s’amuser, faire l’amour avant d’arriver à Gaza, alors que les Palestiniens aillent se faire foutre. Qu’ils crèvent. Eux, ils ne font que ça. Ils baisent tout le temps.
Ça tombe bien, la Tunisie est impatiente de les voir partir. Qu’ils aillent à Gaza ou retournent en Italie ou en Espagne, mais qu’ils partent. Ils souillent les côtes tunisiennes.
Vous imaginez où tout ce beau monde qui attend pour appareiller pour Gaza fait ses besoins ?
Les Tunisiens ne doivent pas être contents de recueillir les pipis et les cacas de ces messieurs-dames qui veulent délivrer les Palestiniens des griffes de l’ogre israélien. Ils ont dû épuiser toute la nourriture destinée aux Gazaouis.
On espère que les poissons résisteront à leurs cacas-pipis.
Il sera interdit aux Tunisiens d’en manger pendant un an.
Que diraient les Espagnols si les Tunisiens allaient faire leurs besoins sur les côtes de Barcelone ?
On évoque la participation de 40 à 50 bateaux engagés dans cette opération humanitaire destinée à porter secours aux Gazaouis.
En l’an de grâce 711, il n’a fallu aux musulmans que 4 navires, 400 hommes et 100 chevaux pour mettre pied dans la péninsule ibérique. Puis l’armée conquérante est arrivée.
Cela allait durer pendant 7 siècles.
Les Espagnols d’aujourd’hui ont la mémoire qui flanche.
Normal, ils ont tous des gènes arabo-musulmans.
Ils sont vraiment à plaindre.
Il faudrait une flottille internationale pour tenter de les réveiller.
Messin’Issa