Aujourd'hui, on trouvera moults dessins dans les manuels de préhistoire, où l'on voit un homme avec la roue qu'il vient d'inventer. Pourtant, la tradition affirme que c'est une femme qui a inventé la première roue. La roue symbolise en effet la Déesse qui gouverne le destin. C'est la roue de la galaxie, de la Voie Lactée, du Zodiaque. Le cercle qu'elle décrit indique les limites de l'univers s'étendant autour du yoni ou omphalos de la déesse (soit son nombril), son moyeu géo-centré. La roue est en même temps feu et eau, soleil et lune. La roue-étoile des Celtes, apanage de la Mère Arianrhod, ancêtre de Aryens, était une grande roue d'argent plongée dans la mer. Les héros chevauchaient cette roue pour se rendre en Emania, la terre des morts sur la lune. En Ethiopie, l'image de la déesse était placée au centre d'une roue de flammes, tout comme dans le culte indien de Kali. Les missionnaires chrétiens avaient reçu l'ordre de détruire ces idoles. C'est ce qui a suscité la légende du martyre de Sainte Catherine. Cette sainte n'a jamais existé. Son martyre sur la roue de feu est un avatar christianisé de la danse de Kali, déesse de la Roue Ardente. Kali effectue le Kathakali, la "danse du temps" sur le moyeu de l'univers.
l'information nationaliste - Page 2898
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Symbolisme de la roue
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Marine Le Pen, Salvini et Orbán réalisent une « grande alliance » au Parlement européen
Alors que certains prédisent le dépérissement du Rassemblement national, pour s’en inquiéter ou pour s’en réjouir, Marine Le Pen continue son petit bonhomme de chemin. À la veille du congrès qui se tient, samedi et dimanche, à Perpignan, on apprend qu’elle a signé, avec une quinzaine de partis européens, une « déclaration commune », présentée comme le prélude d’une « grande alliance ».
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Les dessous nauséabonds de la République – L’indécente arrogance des riches et des puissants
samedi 3 juillet 2021
J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie.
La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ». Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
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Le GIEC, la grande manipulation
Le 23 juin dernier, quelques éléments contenus dans le rapport du GIEC (plus précisément dans le résumé pour les décideurs – SPM) , encore à l’état de brouillon, fuitaient dans la presse.
Propos alarmistes qui annoncent un certain nombre de conséquences à venir en raison d’un réchauffement climatique, prévu par les projections de modèles numériques dont la crédibilité est encore et toujours très douteuse.
« C’est une fable que tu nous as racontée, dit avec mépris le berger peul. – Oui, répliqua le chasseur de crocodiles, mais une fable que tout le monde répète ressemble fort à la vérité ! » (J. et J. Tharaud, La Randonnée de Samba Diouf, Fayard, 1927) -
Quand la Constitution permet à des petits personnages d’exercer leur toute-puissance…, par Natacha Polony.
S’il faut énumérer les causes du dégoût (le mot est celui qui ressort des enquêtes d’opinion) des Français à l’égard de la politique, leur effarement devant l’inconséquence de ceux qu’on leur a présentés comme flottant largement au-dessus de leurs pauvres existences n’en est pas la moindre.
© Hannah AssoulineNourrir une vision cohérente de l’état présent du pays et de ce vers quoi on veut l’emmener à échelle de dix et même de vingt ans est le seul programme qui vaille, estime Natacha Polony.
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Les hommes ou les institutions ?
(Charles VI, pris de folie, attaque son frère dans la forêt du Mans. Chronique de Monstrelet. Source : Herodote.net )
Cet article a fait l’objet d’une parution sur le site d’information Vexilla Galliae.
« Et si le roi était fou ? Comment ferions-nous ? » Vous connaissez tous cette ritournelle. Royalistes, on vous l’a souvent servie pour vous placer, pensait-on, devant les contradictions de vos beaux systèmes. Républicains, vous avez toujours pensé une fois à cette possibilité, vous disant qu’au moins on pouvait se débarrasser d’un mauvais président, mais pas d’un roi fou.
La réponse royaliste toute trouvée est de dire que l’institution royale est assez solide et vertueuse pour suppléer à la folie du roi. L’histoire vient au secours du débatteur, lui rappelant qu’en quinze siècles, la royauté française n’aurait connu qu’un seul roi fou, Charles VI.
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L’ONU appelle la France à mettre en place des statistiques ethniques pour lutter contre le « racisme systémique »
Pour lutter contre le “racisme systémique”, l’ONU encourage la France à “recueillir et publier des données complètes ventilées selon la race ou l’origine”.
La mise en place de statistiques ethniques permettrait-elle de lutter contre le « racisme systémique » ? C’est ce que recommande l’ONU dans un rapport publié lundi 28 juin, explique Le Figaro. Selon l’organisation, les États « devraient recueillir et publier des données complètes ventilées selon la race ou l’origine » et analyser « les effets cumulés des lois, des politiques et des pratiques sur certains groupes raciaux et ethniques en particulier ».
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Les pourriticards devraient être dans le box en compagnie des terroristes islamistes
Patrick Jardin, entrepreneur, est le père de Nathalie, assassinée au Bataclan, le 13 novembre 2015, lors de l’attaque islamiste. Il a écrit un livre, qui est un cri de colère.
- Colère contre les barbares islamistes.
- Colère contre la lâcheté des politiciens qui n’ont rien fait pour s’opposer à l’islamisation de la France.
Il s’exprime sur le futur procès de l’attentat du Bataclan :
Vendredi matin, matinée de travail avec mon avocat : en effet, dès le 8 septembre, je dois subir le procès des auteurs du massacre du Bataclan, presque six ans après cette tuerie.
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Les Empires médiévaux
Sylvain Gougenheim, professeur d’histoire médiévale, a réuni pour cet ouvrage une équipe d’éminents historiens (dont Marie-Thérèse Urvoy) pour présenter les différents empires médiévaux, nous offrant une rare vue d’ensemble s’étendant sur l’Europe, l’Asie ou encore l’Amérique du Sud. Le lecteur est tour à tour plongé dans l’Empire carolingien, l’Empire byzantin, l’Empire abbasside, l’Empire mongol, l’Empire ottoman, la Chine du VIIe au XVe siècle, l’Empire bulgare, l’ascension et la chute de l’Empire serbe, l’Empire japonais, les Empires solaires des Amériques, l’Empire latin de Constantinople, l’Empire allemand d’Otton le Grand à Maximilien, l’Empire normand, l’empire Plantagenêt, les trajectoires impériales en Adriatique avec l’exemple vénitien, et, pour finir, la thalassocratie malaise de Srivijaya.
Cet ouvrage met ainsi en parallèle des structures politiques a priori analogues, au sein d’une large époque et à l’échelle de la planète. Manquent à la recension les empires africains, l’Empire khazar et celui des Khmers, faute d’avoir pu trouver la collaboration d’experts francophones sur ces sujets. Mais le résultat ainsi obtenu est déjà remarquable et mérite l’attention de tous les passionnés d’histoire médiévale.
Les Empires médiévaux, ouvrage collectif sous la direction de Sylvain Gouguenheim, éditions Perrin, 396 pages, 24,50 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
https://www.medias-presse.info/les-empires-medievaux/111815/
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OUI, LA HONGRIE EST NOTRE VIGIE, NOTRE SENTINELLE À TOUS !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
L’Europe est malade. Encore une fois cette « Europe maléfique », - entendons-nous bien, je pèse mes mots -, pas cette vieille civilisation judéo-chrétienne et gréco-latine, dont il serait superflu ici, d’exalter la grandeur passée, non, ce « machin » insupportable dont les institutions siègent à Bruxelles, à Strasbourg et à Luxembourg. À savoir, la Commission européenne, le Parlement et les institutions judiciaires supranationales qui pèsent sur notre libre-arbitre, qui obèrent notre indépendance nationale. N’est-ce pas Ursula Von der Layen qui est venue à Paris, tel un Gauleiter du Reich pour donner son feu vert à la France sur l’utilisation des prêts européens ? La suzeraine germanique visitant, en quelque sorte, son vassal Franc, comme au cœur du Moyen-Âge ! Cette Europe-là, celle des boutiquiers et des banquiers est devenue folle !