Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Valls gaze et matraque, Taubira organise les procès : la répression contre les défenseurs de la famille est rôdée

INFO RMC - Manif pour tous : 34 personnes jugées en juin

Depuis fin mars, 120 manifestants contre le mariage pour tous ont été placés en garde à vue. Parmi eux, 34 seront jugés en juin.

Chiffres que nous vous révélons ce jeudi matin en exclusivité sur RMC. Etudiants, mères de famille… ils s’estiment victimes d’une justice « à deux vitesse », trop rapide. Témoignages.

Les chefs d’accusation : participation à une manifestation non déclarée et violence à l’encontre des forces de l’ordre. La plupart des 34 manifestants contre le mariage homosexuel qui seront jugés en juin, sont des étudiants et des mères de famille qui se sont rassemblés au mauvais endroit, au mauvais moment. Tous contestent le manque de temps pour constituer leur défense, ils s’estiment victimes d’une justice « à deux vitesse », trop rapide. Et les prochaines manifestations des "anti", prévues les 5 et 26 mai prochains, risquent de grossir le chiffre de justiciables.

« On a voulu me faire porter le chapeau de ce que je n’ai pas commis »

Reconnu coupable de violences sur des fonctionnaires de police lors de la dernière grande manifestation, Guillaume, 26 ans, est le premier manifestant à avoir été condamné. Le 26 avril dernier, il a écopé de 4 mois de prison avec sursis, et il ne digère pas sa condamnation : « Je trouve ça tout à fait scandaleux. Deux CRS ont témoigné. L’un d’eux a dit, à l’audience, que je me suis débattu lors de mon arrestation, et l’autre non. On me reproche aussi des violences volontaires envers les forces de l’ordre, en étant porteur d’une arme par destination. L’arme en question, c’est une malheureuse canette de bière vide, et la peine au final c’est 4 mois de prison avec sursis, 70 heures de travaux d’intérêt général et 800 euros de dommages et intérêts, soit 400 euros par CRS. On a l’impression que l’Etat les incite à toucher leur prime de cette manière-là. On a voulu me faire porter le chapeau du reste, de ce que je n’ai pas commis ». [...]

La suite sur RMC   http://www.actionfrancaise.net

Les commentaires sont fermés.