Et le lendemain, Hollande célébrait la Résistance aux côtés de Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin... en ordonnant des interpellations arbitraires !
Après la matraque, les rafles.
Chaque année l’Action française rend hommage aux étudiants patriotes qui ont bravé l’interdit de l’occupant allemand, le 11 novembre 1940. C’est toujours avec une certaine émotion que nous imaginons ces étudiants et lycéens, mains nues devant l’envahisseur nazi. Bon nombre d’entre eux étaient d’Action française, et nous avons encore des aînés chez nous pour témoigner de ce premier acte historique de résistance à l’occupant.
Tir de Flashball
Dimanche soir, le 26 mai, c’était aussi et surtout des étudiants et lycéens qui faisaient face aux forces du régime. On est libre de ne pas me croire, mais j’affirme qu’il y a eu plus de blessés le 26 mai 2013 que le 11 novembre 1940.
Valls a lâché les chiens (policiers) sur les Français, comme jadis le gouverneur teuton du « Groß Paris ».
Arrestation d’un manifestant
L’Action française toujours consciente des risques que faisaient courir aux manifestants les grossières provocations policières, a ciblé (avec quelque succès) dans les échauffourées des Invalides, les policiers en civil qui tantôt faisaient mine d’agresser les CRS et tantôt mettaient prestement leurs brassards en sortant les matraques télescopiques pour exfiltrer avec une rare violence des manifestants un peu isolés.
Bilan : 17 interpellations et mises en garde à vue dans les seuls rangs de l’Action française et plusieurs blessés notamment par « flash ball » dont deux grièvement, poignets cassés et côtes fêlées, encore hospitalisés à l’heure où j’écris.
Cela continue, hier, lundi 27 mai 2013, à Buffon des manifestants qui voulaient pacifiquement interpeller Hollande ...venu célébrer la Résistance, un comble !, se sont fait embarquer manu militari par des CRS au seul motif qu’ils portaient sur eux le polo de La Manif Pour Tous. Parmi eux, beaucoup de mères de famille.
Les Kapos de la « Reich-publique » s’affolent, frappent, traquent, raflent.
Le pouvoir rend fou, et, avec leur police, ses détenteurs se croient tout permis. Nos enfants dans les crèches et dans les écoles sont réellement en danger de viol idéologique, demandez à Bertinoti, Vallaud-Belkacem et Peillon, ce qu’ils en disent.
A la violence aveugle d’un pouvoir sectaire aux abois, nous répondrons avec la force tranquille d’un peuple en marche, sûr de la victoire finale.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française
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