Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Désir extrême, par Éric Muth

Le néant comme seul viatique, mais Harlem Désir se prend pour Dieu, il n'est que le reflet de son ombre, c'est-à-dire rien ou tout du moins c'est ce rien qui fait tout. Il porte en lui l'extrémisme poussé à son paroxysme, dans un monde socialiste primaire.
Il porte en lui tous les défauts d'un parti qu'il admire pour son injustice et son racisme. Ce prédateur est prêt à exploiter la misère humaine sous toutes ses formes pour arriver à ses fins.
À trainer en justice un coupable qu'il aura désigné de sang-froid. Cet homme est dangereux, capricieux, il s'est construit une image de « « collabo » de la pensée unique, qui ne fonctionne pas et qui ne fonctionnera jamais dans une démocratie.
Mais cette spirale totalitaire est faite pour lui. Ce transparent d'une intolérance maladive est le dernier bastion de François Hollande. Il adore le formatage qui lui évite de penser. Ce nageur en eau trouble était persuadé d'être dans le droit chemin en dénonçant « l’extrême Droite » responsable de la mort tragique de ce jeune gauchiste.
Seulement il a eu tort comme toujours, ce qu'il surnomme aveuglément « l'extrême Droite » n'est que la véritable Droite, défendant les valeurs d'une France qu'il hait.
Que vient faire ce figurant amateur dans la cour des grands ? Il se dit respectueux des droits de l'homme, mais sait-il au juste de quoi il parle ?

Les commentaires sont fermés.