Trois mouvements politiques ont été arbitrairement dissous (pour rappel : Troisième voie, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes) et les interdictions de manifestation sont de plus en plus fréquentes.
La dernière manifestation interdite est celle du 16 novembre à Amiens, organisée par le Parti de la France.
Nous avons donc interrogé son secrétaire général, Thomas Joly.
Que s’est-il passé avec la préfecture ?
Visiblement affolé par cette annonce de manifestation déposée dans les règles à la préfecture, le préfet de la Somme, qui avait déjà interdit notre conférence de presse l’année dernière devant les ruines encore fumantes d’une école maternelle incendiée à Amiens-Nord lors des traditionnelles émeutes ethniques estivales, a entamé un « dialogue » via la DCRI avec moi. L’objectif était clairement de me faire renoncer à notre rassemblement ou bien de le déplacer dans un autre quartier d’Amiens considéré comme moins « sensible ». J’ai évidemment refusé de me plier à ces recommandations guidées uniquement par le fait que les autorités publiques sont tout bonnement incapables de maintenir l’ordre dans cette zone de non-droit que sont les quartiers nord d’Amiens. Le Parti de la France estime qu’il a le droit et même le devoir de se rendre partout en France où il le souhaite pour délivrer son message de reconquête nationale. Le représentant de l’État socialiste a donc interdit notre rassemblement et s’est donc lamentablement couché devant la racaille étrangère, l’islam conquérant et l’extrême-gauche xénophile. Refusant de donner l’occasion à Manuel Valls de persécuter nos militants et un motif pour dissoudre notre mouvement, nous avons pris la décision de respecter cette interdiction. Carl Lang et moi-même avons tout de même organisé le 16 novembre à Amiens une conférence de presse et un déjeuner-débat qui a connu un grand succès.
Le pouvoir socialiste est totalement aux abois, prisonnier de ses délires idéologiques antifrançais et de la nullité sidérante du Président de la République autiste face à la légitime colère populaire. Comme dans toute dictature ébranlée, la répression policière et judiciaire à l’égard de ceux qui veulent réellement en finir avec ce système pourri jusqu’à la moelle s’intensifie en cette période de crise économique, sociale, politique, morale, identitaire, etc. Nos gouvernants souhaitent museler les véritables forces d’opposition et entreprennent donc d’interdire nos rassemblements, de persécuter nos militants, de dissoudre nos organisations. Mais ils ne pourront éternellement nous empêcher de dire la vérité à nos compatriotes et, tôt ou tard, toute cette engeance devra être balayée pour que se mette en place un processus salvateur de décolonisation migratoire et de reconquête nationale.