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Doute climatique

Episode 1 : La terre ne se réchauffe pas

Le changement climatique est devenu une nouvelle religion. Ses grands prêtres considèrent que la messe est dite et répètent en boucle fermée leur litanie :

  • la terre se réchauffe et la température moyenne du globe pourrait augmenter de 6° en un siècle,
  • les émissions de CO2 d’origine humaine sont coupables de ce réchauffement,
  • les conséquences pour la planète seront catastrophiques avec notamment une montée du niveau des océans, la fonte de la banquise, l’accroissement de l’amplitude des tornades,
  • seule une réduction drastique des émissions de CO2 peut encore éviter la catastrophe,
  • et bien évidemment, il y a un parfait consensus scientifique sur le sujet donc il est inutile d’en discuter, il faut agir !

Les hérétiques qui osent contester le moindre aspect de la doctrine sont fustigés par les inquisiteurs climatiques et accusés d’être des suppôts des intérêts pétroliers ou des néo-conservateurs.

Et pourtant, il y a de très sérieuses raisons de douter de tout cet édifice. On peut même affirmer qu’il est très probable que tout est à peu près faux : la terre ne se réchauffe plus, les émissions de CO2 d’origine humaine ont un rôle négligeable sur la température du globe, et le consensus scientifique n’existe absolument pas.

Commençons par la première observation, la plus fondamentale : la terre ne se réchauffe plus depuis 1997.

Selon le « Climate Research Unit » de l’université d’East Anglia et son directeur Phil Jones, qui fait autorité en la matière, la température moyenne sur toute la superficie du globe est constante depuis 1997,  dans une période où a pourtant été envoyé dans l’atmosphère près d’un tiers de tout le CO2 émis depuis le début de l’ère industrielle. Phil Jones est l’un des principaux pourvoyeurs de données du GIEC. Richard Lindzen, titulaire de la chair Alfred Sloan du MIT, ancien auteur principal du GIEC, confirme les observations d’East Anglia. Plusieurs autres instituts indépendants très réputés concluent également à la stagnation de la température du globe : GISS, NOAA, HadCRUT, UAH, RSS.

De fait, même le GIEC dans son dernier rapport s’est résigné à admettre que la température du globe est stable depuis plus de 15 ans. Mais il parle de palier, d’une sorte de pose avant la reprise de l’ascension. Evidemment la courbe en « Hockey Stick » qui montrait une ascension brutale de la température du globe depuis le début de l’ère industrielle était beaucoup plus saisissante. Mais on sait maintenant qu’elle était une imposture, qui a permis à Al Gore et consorts de s’enrichir. Le GIEC n’y fait plus aucune allusion mais son nouveau paradigme du palier est une autre forme d’imposture.

L’hypothèse de loin la plus probable est celle du cycle de soixante ans bien connu des spécialistes du soleil. Depuis plusieurs siècles, la température moyenne du globe monte, stagne, baisse, stagne, puis remonte dans un mouvement de sinusoïde de période 60 ans. La dernière phase de refroidissement a eu lieu de 1945 à 1960. Elle a été suivie d’une stagnation de 1960 à 1975, puis d’une phase de réchauffement de 1975 à 1997 : c’est cette période qui a donné naissance à la théorie du réchauffement climatique. Le réchauffement de 1975 à 1997 a été de 0,6°C. Il était comparable de 1915 à 1940, alors que le taux de CO2 dans l’atmosphère était beaucoup plus faible.

Depuis 1997 la température stagne alors que le taux de CO2 continue à augmenter. Nous sommes en fait en haut du cycle et il est très probable que la température va commencer à baisser.

Le GIEC laisse entendre que malgré cette pose, nous sommes sur une tendance globale haussière. En fait les scientifiques pensent le contraire.

D’après S.I. Akasofu (2010) la terre se remet lentement du dernier coup de froid dû à une sieste du soleil, le « Minimum de Maunder », intervenu sous Louis XIV. Depuis cette époque, la température s’élève d’un  quart à un demi-degré par siècle, avec une modulation par le cycle solaire de 60 ans. Ce cycle se corrèle parfaitement avec la vitesse du soleil par rapport au centre de gravité du système solaire. Les variations de l’irradiance solaire sont causées par celles du diamètre du soleil, liées à son mouvement par rapport à celui des planètes. Un article de N. Scafetta de 2009 mettait cet effet en évidence mais il n’est pas même cité par le GIEC.

Par ailleurs, selon S.K. Solanski de l’Institut Max Planck (2004), le soleil sort d’une période de 50 à 60 ans d’activité intense sans équivalent depuis 6000 ans. La tendance est en train de s’inverser laissant entrevoir une période plus froide.

Le consensus actuel est ainsi clair : la terre ne se réchauffe plus depuis plus de 15 ans et va très vraisemblablement entrer dans une période de refroidissement.

Nous verrons dans notre prochain épisode que le CO2 est un parfait innocent.

DANTON

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