Les dirigeants de ces deux partis devraient comprendre que ce sont les électeurs qui décident et leur imposeront prochainement ce rapprochement municipal.
Pour l’UMP, c’était le ni, ni !
Pour le FN, c’était l’UMPS !
Pour la théorie, c’était parfait, mais pour la pratique ?
Il suffisait tout simplement que les listes de ces deux partis politiques soient retirées quand elles arrivaient en troisième position, tout en en laissant le libre choix de vote à leurs électeurs sans donner de consignes.
Cette simple stratégie, qui n’engageait aucun des deux partis, aurait permis à l’UMP de conquérir des villes importantes comme Strasbourg, Metz, Rouen, Clermont-Ferrand, Douai, Le Mans, Arles, Villeurbanne et d’autres arrondissements à Marseille et Lyon, et ainsi d’enfoncer davantage dans sa désespérance la gauche socialiste.
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