C'est en conformité avec toutes les prévisions que Renaud Camus a été condamné hier pour quelques mots prononcés en 2010 lors des Assises sur l'islamisation.
« Je venais d’apprendre que mon frère était promu chevalier de la Légion d’honneur, quand ma garde à vue commença. »
Ainsi commence Un roman français, de Frédéric Beigbeder.
Hier, à l’instant précis de l’élection d’Alain Finkielkraut à l’Académie française, Renaud Camus apprenait qu’il était, lui, condamné pour « provocation à la haine ou à la violence ».
C’est en conformité avec toutes les prévisions – les siennes y compris – que Renaud Camus a donc été condamné hier en première instance pour quelques mots de son discours prononcé le 18 décembre 2010 lors des Assises internationales sur l’islamisation, à Paris.
On ne reviendra pas ici sur les propos en question (une simple recherche sur YouTube vous permettra de les retrouver), mais cette condamnation qui vient s’ajouter à un arsenal sans cesse grandissant de jurisprudences liberticides nous donne l’occasion de regarder en face le régime dans lequel nous vivons, et d’imaginer les moyens de le mettre à bas.
Alors que partout sur les réseaux sociaux pullulent les injures devenues communes contre les chrétiens (au hasard : « catholique = pédophile »), il semble que la seule attitude légalement possible désormais face à l’islam soit l’amour, l’admiration, la quasi-fascination ! Que ce soit clair dans les chaumières : il n’est plus permis de ne pas aimer les disciples de Mahomet, chef de guerre et fondateur politique de l’oumma. Quant à « l’incitation à ne pas aimer », n’en parlons même pas !
Mahomet : interdit de l’interdire !