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Il était libérable en juillet, il a tué en mai…

Un mardi soir, les policiers découvrent, dans un état critique, le corps d’une femme à Caluire, dans le Rhône. Il est facile de retrouver l’auteur du crime car celui-ci, certainement pour fêter son acte, est allé s’en jeter un petit dans un bar lyonnais où il expliqua froidement qu’il venait d’assassiner sa femme à coup de hache. Un dernier verre pour la route, en somme, juste avant d’aller en prison.

Le hic, dans cette affaire, est que l’homme, justement, venait de la prison, celle de Corbas, plus précisément. Pour couronner le tout, sa présence y était due à des faits de violences sur sa femme. Notre tueur, qui purgeait une peine de sept mois d’emprisonnement, était tout simplement en permission depuis lundi.

« Il était libérable en juillet », dit-on au parquet, précisant que cette permission de sortie entrait « dans un processus habituel » afin d’éviter des « sorties sèches ».

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