La politique de Grand Remplacement est indéniable et elle est encouragée par les banques et les instances qui donnent leurs consignes à nos gouvernements.
Carlos Moedas est un petit commissaire européen qui comme toute la classe politique portugaise sert abruptement les intérêts du mondialisme contre ceux de son pays. Commissaire non pas des réfugiés, mais de la recherche et de la technologie, il a déclaré sans rire qu’il fallait ouvrir nos frontières aux myriades d’Africains qui les franchissent et que « l’immigration est essentielle à la croissance » et que nous devons par conséquent « ouvrir nos portes ».
Caricature de l’élite hostile, un commissaire européen est en général un ancien ou un futur de la plus grande banque d’affaires mondiale, qui a mis l’Europe sous coupe réglée depuis l’adoption de l’euro et la montée drastique des dettes qui s’en est ensuivie – pour les pays les plus faibles (c’est-à-dire tous les pays sauf l’Allemagne de Merkel qui aime aussi jouer de la trique). Allez étudier les listes de ces commissaires débauchés par Goldman Sachs qui viennent ensuite donner de conseils pour diviser par deux ou par trois les salaires minimum dans nos pauvres pays, et cela au moment où la fortune boursière des oligarques qui contrôlent l’Europe n’a jamais été aussi extravagante. Mais avec une opinion plus préoccupée par le sort de CR7 ou de Lady Gaga, on aurait tort de se gêner.