PREAMBULE
Comme tous ses prédécesseurs à ce poste ingrat, Mme NAJAT-BELKACEM a tenu à marquer son territoire de la manière habituelle : en pondant des réformes.
En sacrifiant à cette tradition, elle a poursuivi docilement l’oeuvre de destruction massive de ce qui fut au départ le respectable monument français de l’Instruction Publique. Car à l’origine, cette instruction publique entendait donner le meilleur aux élèves de la toute nouvelle République des Hussards Noirs qui a succédé aux désastres de 1870-71.
Cette destruction massive a commencé insidieusement, par petites touches souvent imperceptibles, sous de Gaulle même, dans les années 1961-68. Ce n’est qu’après 1968 que cette destruction massive s’est accélérée jusqu’à devenir dramatique. Ce processus est identique à celui, bien connu, de la rupture soudaine d’un barrage hydraulique : cette rupture ne devient visible que quelques dizaines de minutes avant la catastrophe finale, car une heure avant la rupture, le barrage à l’oeil nu, semble encore plein, bien qu’en profondeur, les fuites dégorgent déjà à plein.
Avec Peillon-Belkacem (car ces deux-là sont indissociables), le processus arrive clairement en phase terminale. Cela se voit à ceci : PAS UNE SEULE des réformettes envisagées et/ou mises en oeuvre ne concerne l’acquisition d’une solide formation culturelle, et/ou professionnelle, et/ou scientifique au sens noble du mot, par les élèves qui fréquentent des établissements dits d’ ’’éducation nationale’’.
On a fait s’étriper le peuple sur des questions dérisoires telles que ’’les rythmes scolaires’’, et maintenant la propagande sur les moeurs privées, mais on a poursuivi l’abandon cynique pur et simple de toute formation de qualité : toujours moins d’heures de vrais cours de Mathématiques ou de Physique, toujours plus d’heure de propagande des associations d’homosexuels, de transsexuels, de prétendus antiracistes et authentiques immigrationnistes, et de marginaux de toutes couleurs ’’militants’’ en tout genre.....toutes matières dont on se demande bien ce qu’elles viennent faire dans des établissements d’enseignement.
PARTIE I : LE TRANSSEXUALISME
1) Au masculin :
une personne humaine née de sexe masculin se sent mal dans sa peau et désire impérieusement être une femme. Pour des raisons qu’on ne discutera pas ici, cette personne tire son plaisir d’être traitée en femme, donc porter des robes, être caressée par d’autres hommes jusque dans ses parties les plus intimes, se faire sodomiser, embrasser dans le cou et sur la bouche, porter cheveux longs, créoles, jupons, talons hauts, lingerie fine, etc etc.
Avant la chirurgie esthétique, ces tendances se soldaient par le travestisme et des activités sexuelles passives mais sans changements physiologiques irréversibles . En particulier, il faut le savoir, la plupart de ces personnes étaient parfaitement aptes à engendrer une descendance : aucune explication hormonale de leurs tendances n’est pertinente.
D’ailleurs il est bien connu que des personnes de sexe masculin atteintes de vrais troubles hormonaux n’ont aucune envie de devenir femme : elles sont sexuellement neutres, inhibées, n’ont aucune envie sexuelle d’aucune sorte, comme le M. SPOCK dans la série ’’L’Entreprise’’. La cause hormonale la plus courante est que les testicules ne descendent pas après la naissance (plusieurs centaines de cas en France).
Mais depuis la chirurgie esthétique, activité hautement lucrative, l’appétit vient en mangeant : ces personnes entendent devenir des femmes à part entière, donc se font carrément castrer ; après quoi elles se font bricoler des ersatz de féminité physiologique.
L’opération la plus courante consiste à trafiquer la cavité périnéale laissée par la castration. Pour fabriquer une espèce de vagin artificiel, 99 fois sur 100, on tapisse cette cavité d’un morceau de paroi intestinale prélevée sur la personne même. Ce morceau est traité : ce traitement, ce n’est pas de la tannerie mais ça la remplace, compte tenu de la structure particulière de ce tissu.
Ainsi bricolée, la personne devient femme et peut faire procéder par ses amants à des simulacres de pénétration vaginale dans ce bricolo à base de paroi intestinale.
Bilan des courses à terme : ce n’est pas dit, mais voici la vraie statistique ; au bout d’environ vingt ans, 38 % de ces personnes se suicident. Ce chiffre catastrophique est connu de la corporation des infirmiers indépendants (qui ne sont soumis à aucune réserve de parole sauf le secret professionnel NOMINATIF). Ce sont en effet des infirmiers, par des soins délicats rendus à période fixe, qui s’occupent de ces pseudo-femmes au pseudo-vagin bricolé.
2) Au féminin :
Certaines personnes nées du sexe féminin se sentent hommes, veulent vivre un comportement masculin en toutes choses et aimer de vraies femmes comme le fait un homme.
Il est bien connu qu’une proportion non confidentielle de femmes sont équipées d’un clitoris de belle taille, gros parfois comme un pénis de garçon prépubère ou pubère. Mais curieusement, ces femmes n’ont généralement aucune pulsion à vouloir changer de sexe, leur particularité est utilisée par elles pour agrémenter et pimenter leur vie intime hétérosexuelle tout ce qu’il y a d’orthodoxe. Inversement, les femmes qui rêvent d’être considérées et traitées en hommes n’ont généralement aucune particularité physiologique notable dans leurs organes génitaux ; par exemple, elles peuvent parfaitement enfanter.
Leur comportement viril est donc chez elles d’essence purement psychique, sans vraie base hormonale
Cette origine purement psychique explique que ces femmes sont souvent d’enragées militantes féministes, éprouvent une forte haine envers les vrais hommes et fulminent que ce ne soient pas les hommes qui tombent ’’enceintes’’. Une écrivassière bien connue, socialiste (of course !), l’a même écrit dans un de ses livres : elle y a exprimé le souhait que la Science fasse assez de progrès pour que ce soient les hommes, et non les femmes, qui portent les enfants pendant neuf mois. Par charité, je tairai ici le nom de cette pétroleuse. Mais je gage que beaucoup de nos lecteurs l’auront reconnue.
On signale, chez nombre de ces femmes, un abus dangereux des anabolisants, ces hormones qui favorisent l’augmentation de la masse musculaire. Il faut savoir que beaucoup de ces anabolisants se prennent par piqûres intramusculaires ou parfois intraveineuses. Ils sont dangereux, car ils sont souvent associés à des cancers des organes rénaux, survenant autour de la cinquantaine.
Chez ces femmes, la chirurgie esthétique s’en donne un peu moins à coeur joie. Toutefois, l’appât du gain a incité de nombreux de ces chirurgiens un peu spéciaux à imaginer des prothèses variées qui simulent un pénis surajouté ou juxtaposé au clitoris. Ils ne vont pas jusqu’à infibuler le vagin, mais patience, ça viendra sans doute...
Que peuvent faire ces femmes pseudo-hommes avec leur pseudo-pénis ? peu de choses en vérité. C’est pourquoi l’industrie du X s’est plus facilement emparée de ce marché, alors que du côté masculin il est trusté par les chirurgiens esthétiques qui bricolent des pseudo-vagins. Cette industrie a donc mis au point des prothèses phallomorphes, que les femmes pseudo-hommes s’adaptent sur le périnée avec une ceinture très résistante, et à l’aide desquelles elles vont pouvoir pénétrer leur partenaire féminine. Ces prothèses sont souvent assorties de systèmes qui permet à ces pénis artificiels d’éjaculer au moment voulu : une poche emplie de liquide approprié blanchâtre est aménagée dans la bourse testiculaire de ces pseudo-pénis, et sur simple pression sur un petit bouton, le pseudo-pénis éjacule.
Attention ! le lesbianisme ne doit pas êtres confondu avec cette pulsion qui pousse certaines femmes à vouloir être des hommes : il existe en effet des lesbiennes parfaitement féminines qui éprouvent du plaisir à être pénétrées de la sorte par une partenaire équipée de gadgets virils artificiels, et qui ne veulent à aucun prix de commerce charnel avec un homme.
Ainsi le lesbianisme est sexué, il y a des lesbiennes viriles et des lesbiennes parfaitement féminines, de même d’ailleurs que parmi les homosexuels hommes, les deux sexes sont présents : il y a des homos masculins qui rêvent d’être la soubrette soumise à leur mâle bien viril, et il y a des homos masculins parfaitement virils et même très virils, qui éprouvent un grand plaisir à pénétrer leurs congénères masculins par l’anus et particulièrement si ces partenaires sont travestis en pseudo-femmes.
C’est pourquoi on a créé les mots ’’transsexuel’’, ’’transsexuelle ’’, ’’transexualité’’.
La transexualité n’est pas l’homosexualité ; l’homosexualité, c’est prendre son plaisir avec une personne de même sexe. Donc l’homosexualité implique toujours une activité sexuelle à deux ou plus. Tandis que la transexualité est un état qui met en cause la personnalité psychique : qui n’implique pas forcément l’intervention d’un ou d’une AUTRE. Ainsi la transexualité est d’essence masturbatoire, c’est une branche du NARCISSISME. Ce qui nous fait en tout quatre, et non pas trois, types de comportements sexuels : les transsexuels masculins qui veulent être femmes, les transexuelles féminines qui veulent être hommes, les homosexuels masculins (’’gays’’) et les homosexuelles féminines (’’lesbiennes’’). Certains rigoristes vous diront qu’il y a en fait huit et non pas quatre comportement sexuels : les transsexuels masculins qui veulent être femmes, les transsexuelles féminines qui veulent être hommes, les gays qui aiment être soumis à leur partenaire, les gays qui aiment soumettre leur partenaire, les lesbiennes dominatrices, les lesbiennes soumises, les gays qui aiment et peuvent jouer les deux rôles, et les lesbiennes qui aiment et peuvent jouer les deux rôles.
On pourrait encore raffiner la classification en y ajoutant les bisexuels : tous les cas ci-dessus mais en plus, ces personnes aiment aussi l’hétérosexualité ; ce qui nous ferait en tout SEIZE types de comportement sexuel et non pas huit.
Toujours est-il que parmi les transsexuelles, comme chez les transsexuels, on constate un taux de suicide de l’ordre de 40 % au bout de vingt ans.
PARTIE II : L’INCOHERENCE DES APPRENTIS SORCIERS
Tout ce qui précède démontre qu’avant de légiférer sur ces questions, des études
éthiques, sociologiques et MEDICALES auraient dues être menées, en informant régulièrement le grand public de leurs résultats. Des études complètement dépassionnées, rigoureuses, en un mot UTILES. En effet, pourquoi ne pas légiférer là-dessus, si le corps social peut s’en trouver apaisé et amélioré ? au contraire, une législation digne de ce nom, intelligente, devrait contribuer à ce que les personnes concernées ne soient jamais ni citées ni mises en cause, pas plus en tout cas que lorsqu’on fait de gros progrès, par exemple, en chirurgie orthopédique (on n’entend presque jamais rien sur cette dernière et pourtant, ses progrès son rapides et assez fantastiques). Ces questions, qu’on le veuille ou non, concernent seulement des MINORITES du corps social. Les statistiques sont difficiles, mais non impossibles, à collecter. On les connaît donc assez bien, et c’est une tromperie coupable de laisser croire que tout se vaut. Car un réunissant transsexuels et homosexuels de deux sexes, on arrive péniblement à un total de l’ordre de 7 % à 10 % du corps social (10 % étant une borne supérieure inatteignable). Ainsi, plus de 90 % du corps social est constitué de personnes hétérosexuelles. La propagande effrénée qui tend à mettre sur le même pied d’égalité les comportements sexuels ultra-minoritaires procède donc, à l’évidence, d’une volonté passionnelle de répandre dans le public l’opinion que tous ces comportements se valent, sur tous les plans, et de traduire cette volonté en lois. Or la ’’dictature des majorités’’ est déjà, dans bien des cas, difficile à supporter, mais que dire alors de la dictature des minorités ? cette sorte de dictature devient profondément illégitime, ne peut perdurer que par une incessante et obsédante propagande, par une odieuse police des moeurs inversée, en un mot ne se maintient que par une violence permanente, violence qui s’en prend aux consciences.
Bien des autorités incontestées se sont penchées, et depuis longtemps, sur les comportement sexuels de l’humanité. Depuis au moins deux siècles on sait tout sur les sociétés polygames, polyandres, sur les homosexualités, sur les nombreuses perversions et déviations sexuelles. De nombreux reportages télévisés fort bien faits ont montré dans le concret les sociétés polyandres de l’Himalaya, les rites sexuels africains (continent où la polygamie domine), la polygamie, interdite mais tolérée, des mormons de l’Utah (un excellent reportas de M. Bartolini paru en cassette vidéo). Les vieilles moeurs sexuelles des esquimaux, clairement dictées par l’impératif de survie (les chefs de communautés, en témoignage d’hospitalité, vous offrent leur femme pour une ou plusieurs nuits, et c’est un affront majeur de la refuser). Un livre extraordinaire est paru depuis bien longtemps a a relaté l’Odyssée authentique de cet aviateur dont l’avion s’est crashé dans une énorme couche neigeuse, dans une région déserte de l’Alaska isolée du reste du monde sur un territoire vaste de comme la France. Cet aviateur, marié et père de famille, a été secouru par une mini-communauté esquimau qui l’a soigné et guéri de ses blessures. Adopté par cette communauté, il a reçu immédiatement une épouse et sa soeur, il devait coucher avec les deux. Sa vie ne tenait qu’à cette adoption par la communauté en question. Il a ainsi fondé une deuxième famille dans ce désert de neige et de glace, et a eu des enfants de chacune des des soeurs qu’il avait épousées....tout cela pour bien faire comprendre que ceux qui prétendent révolutionner les moeurs font rire, ils ne savent rien de rien sur le sujet, mais bon sang, qu’il lisent au moins un peu, eux qui répandent l’ignorance et la haine du savoir partout où ils sévissent ! ce qu’on peut lire et qui ne leur doit rien est infiniment plus riche que le peu minable dont ils nous bassinent. Mais Bon Dieu, rien qu’en lisant ’’La Banquet’’ de Platon, on en sait cent fois plus sur l’homosexualité masculine que par leurs pseudo-discours moralisateurs ! (il n’y a absolument rien de moralisateur dans ’’Le Banquet’’).
Tout a été vécu, constaté, analysé, raconté, écrit bien avant ces cuistres ! ’’Lesbiennes ’’ vient d’ lIle de Lesbos. Cythère....les Bacchantes....tout ça a deux ou trois mille ans...rien qu’en étudiant la Mythologie de la Grèce Antique, on en sait cent fois plus sur ces matières qu’en sa farcissant les quelques laborieux ouvrages lacanesques absolument dépourvus d’intérêt, ouvrages qui ne peuvent tromper que des ignorants ! ont-ils seulement lu Brantôme ? (enfin, ceux qui le connaissent). Er Rabelais ? Et les Contes de La Fontaine ? La Fontaine qu’il est à la mode de snober, quel désastre ! Savent-ils que Piette Loti (un joli pseudo) avait envoyé à son ami une belle photo de lui nu prise de dos, avec la dédicace ’’Académie d’académicien’’ ? même les poèmes homosexuels de Verlaine ne sont q’un petit coin fade de tout ce qui existe et qui s’écrit, se vit et se dit depuis la nuit des temps que l’être humain existe ! A vrai dire, la meilleure façon de remettre à leur place tous ces cuistres aussi pontifiants que funèbres, serait de répandre la culture classique à plein régime dans toutes les classes sociales ! c’est sûrement pour ça qu’au contraire, ils la détruisent, car sinon, c’est eux qui seraient sans coup férir immédiatement détruits !
Donc une fois de plus, la gauche a pourri ces questions, en remplaçant des études objectives, sereines et utiles, par de l’idéologie. On voit se précipiter dans ce créneau tous les habituels ennemis de toute société organisée : des gauchistes nihilistes, des socialistes enragés rêvant de détruire (quel qu’il soit) l’ordre social existant, des ultracommunistes veufs de Staline et Trotzky (réunis à titre posthume dans la même idolâtrie), des anti-tout, des associations de promotion de la drogue tous azimuts, des faux libertaires et de vrais fascistes de gauche, portant en bandoulière leur haine infinie du ’’bourgeois’’, mot entendu à géométrie variable, ce qui permettra, le moment venu, les mêmes massacres et crimes contre l’humanité que sous la Terreur de 1793.
Non pas que ces gens-là s’intéressent tout particulièrement à ces diverses facettes de l’activité sexuelle de leurs contemporains ! (s’ils s’y intéressaient, ils auraient un peu lu...) non, tout ce qui les intéresse, c’est d’avoir trouvé là un bon filon pour se livrer à leurs pulsions qui résument à elles seules tout leur être spirituel et matériel : démolir la société existante, ’’purger’’ la société de l’ordre établi quel qu’il soit, etc. Ils ne savent pas pourquoi, mais ils veulent passionnément ça et rien d’autre. Leur cerveau est formaté exactement comme celui des dingues qui veulent s’enrôler dans les troupes de l’Etat Islamique : tout raser, repartir de zéro, ah c’est malin ! D’ailleurs les communications existent , nombreuses, entre ce rêve djihadiste et leur soi-disant combat pour les minorités sexuelles.
Ainsi, toutes les lois TAUBIRA sont à jeter à la poubelle, car aucune d’elles ne résulte d’études sereines loyales et approfondies, scientifiques au vrai sens du mot et non pas au sens maçonnique du mot, sens qui est essentiellement sectaire, pauvre et réducteur.
Tenez, pour mesurer l’étendue des aberrations, revenons sur notre analyse des types de comportement sexuel Ne traitons qu’un exemple, emblématique :
un transsexuel masculin qui veut devenir femme entend par ce mot la femme DE L’ORDRE SOCIAL ACTUEL. Il veut porter des robes, donc il ne met pas en cause le fait que nos femmes, généralement, portent des robes ! au contraire, il aime la femme par ce que les pesanteurs sociales (par ailleurs dénoncées par les mêmes !) ont fait, dans nos sociétés, de la femme : un être qui porte cheveux longs et robes, et souvent, soutien-gorges. Une femme hommasse semblable à une championne de lancer du poids de l’URSS de papa ne les ferait pas fantasmer du tout ! ils veulent une vraie femme, telles que les vrais hommes les désirent, avec dentelles, strings,bas résille noirs et tout le saint-frusquin. C’est pour cela qu’ils se travestissent avec un art consommé, à tel point qu’on ne croirait jamais que sous ces accoutrements, il y a bel et bien un homme avec organes génitaux en parfait état de fonctionnement. On pourrait résumer leur attitude paradoxale ainsi : ’’non à tout ce que la société a véhiculé d’archétypes de la femme ’’normale, bourgeoise, ’’ (i.e. celle qui a une famille avec mari, des enfant qu’elle s’efforce d’élever, etc ...mais oui enthousiaste à tout le folklore féminin véhiculé par nos sociétés autour des activités d’essence putassière !
Ainsi par cet exemple, nous voyons fort bien la réalité consternante qui se tapit derrièree les pitoyables ’’’réformes’’ de l’enseignement imposées au forceps par la fragile ministre de la prétendue éducation nationale : lutte contre l’image de la femme donnée par la société bourgeoise aux enfants des écoles, mais adhésion sans réserve à l’image de la femme véhiculée par toute la sphère pornographico-putassière. Ainsi va notre magnifique société socialiste que le monde entier nous envie.......
Nous assistons donc à cette entreprise de lavage des cerveaux des jeunes gens, qui devront (pourquoi donc ’’devront’’ ?) apprendre à ne pas différencier les sexes, à ’’croire’’ que le sexe des garçons etc es filles n’est pas différencié dans son essence, qu’il fonctionne à l’identique, qu’on peut le choisir ’’librement’’ (je ne sais pas pourquoi mais ça me rappelle tout à coup l’exergue ’’Arbeit macht frei’’).
Seulement, il va y avoir un hic, un gros hic : tous ces apprentis sorciers de lamentable niveau s’imaginent que la Nature est moins forte qu’eux, qu’on peut la plier à ses désirs les plus abscons. Le résultat est couru d’avance : comme toujours, LA NATURE VA SE VENGER.
Car la Nature, dans ce qui nous occupe ici, c’est la Vie. La sexualité est de loin le mode de reproduction dominant qu’a inventé la Vie pour perdurer dans un monde matériel qui lui est neutre et/ou hostile. Il suffit de vivre pour comprendre que la Vie, à peine née, est en butte à un univers entropique dans lequel tout tend à la détruire, car elle est un immense défi à cette entropie. Elle ne dure un moment que par miracle. Si de la Vie existe à l’instant t, ce n’est que par miracle qu’elle existera encore à ’l’instant t’>t. Un miracle qui aura, l’espace d’un instant, vaincu l’entropie qui tend à la détruire. Or, la reproduction sexuée est une invention extraordinaire de la Vie pour ruser avec l’entropie et le changement perpétuel de l’environnement. Il serait trop long ici d’entrer dans les détails, mais il y a des raisons purement mathématiques à cela. La reproduction sexuée et la présence simultanée de suffisamment d’exemplaires d’une espèce vivante donnée maximise de façon vertigineuse les chances que la nouvelle génération pourra s’adapter à tout changement futur de l’environnement. Sans cette invention fabuleuse, il n’y aurait pas de Vie sur notre planète. Même les escargots, connus pour être hermaphrodites, s’accouplent néanmoins deux par deux pour se reproduire : chaque escargot a les deux sexes mais il ne se féconde pas lui-même ; l’accouplement des escargots unit chaque sexe de chacun avec le sexe opposé de son partenaire avec lequel il s’accouple ! d’ailleurs la Nature a tout prévu : physiquement, un escargot seul ne peut pas s’autoféconder.
Cette magie de la reproduction sexuée ne fonctionne, justement, que parce que les deux sexes sont différents ! prétendre que le sexe est ’’un’’ est donc une absurdité absolue, une absurdité MATHEMATIQUE : sans sexualité, je le répète, une espèce vivante qui s’autoféconderait à chaque génération disparaîtrait rapidement, détruite par les incessants changements de l’environnement.
C’est là qu’on voit combien les apprentis sorciers sont réellement inconscients et ignorants, ce sont des cuistres dangereux. Cette prétention maçonnique de bas étage à vouloir à toute force plier la Nature à la volonté humaine est une folie de plus dans le sinistre livre noir des folies humaines, une continuation des utopies mortifères dont la première a été la Tour de Babel......
Pour forcer les jeunes gens à croire tout ce fatras à prétention savante sur l’égalité des sexes, il faudrait les sous-alimenter, réduire leur vie à une sorte d’existence larvaire, plus ou moins décérébrée, il faudrait leur couper tout moyen d’imaginer autre chose que la bouillie pour les chats en préparation dans ces officines de l’ombre, réduire leurs forces physiques et mentales au strict minimum, contrôler la totalité de l’information et ces communications entre tous les êtres humains de la planète.....il est évident que tout cela est impossible !
Il restera toujours quelque part un film oublié par les censeurs et un jeune homme pour le visionner, y voir par exemple l’image forte d’un magnifique étalon qui saillit sa jument à l’orée d’un bois près d’une verte prairie (ce qui lui montrera que la Nature, elle, n’a que faire des discours sur l’égalité des sexes), suivie de celle non moins forte d’un jeune homme viril, beau et fort, en train de dresser un beau mustang dans quelque lice de quelque ranch, et terminer par un galop fou dans un paysage fabuleux, avec un torrent grondant au fond de quelque canyon dont les sommets bizarres accrochent les derniers feux d’un soleil couchant sur des immensités inviolées....il restera toujours, quelque part, un beau jeune homme que les censeurs n’auront pas réussi à formater, vigoureux, plein de vie, qui sentira monter en lui la vieille éternelle sève à la rencontre d’une jeune fille elle aussi pleine de vie, belle et vigoureuse dans sa féminité épanouie, et qui, à cette vue, en un instant aussi bref que l’éclair, verra voler en éclats, dans sa tête, tout le triste fatras sur l’égalité des sexes et le respect dû aux ’’sexualités alternatives’’ que les apprentis sorciers lui auront inculqué depuis sa naissance....
Et à parti de là, la Nature reprendra ses droits et se vengera. Les Dieux sont peut-être miséricordieux mais la Nature, elle, ne fait pas de cadeaux. Quand elle se vengera, elle détruira et jettera bas toutes ces sornettes sur l’égalité des sexes ; elle fera naître en ce jeune homme et cette jeune fille une haine incoercible contre ceux qui l’auront trompé pendant toute sa jeunesse et l’auront forcé d’avaler des doctrines pourries qui sentent le formol des croque-morts !
Cette vengeance de la Nature, je ne sais si je la verrai, mais ceux qui ont quinze ou vingt ans aujourd’hui la verront, à coup sûr !