Thierry Mariani, co-fondateur de la Droite populaire, n'entend pas apporter automatiquement son soutien pour 2016 à Nicolas Sarkozy :
"Il ne faudrait pas que notre candidat se presse de faire une campagne de second tour et cherche à convaincre les centristes et les déçus du socialisme."
L'accord UDI/Les Républicains n'est pas une bonne chose. Il va dresser une liste de points non négociables et décidera ou pas de se lancer dans la primaire républicaine.
Mi-juin, Thierry Mariani avait refusé le poste de délégué national aux Français de l'étranger que lui offrait Sarkozy.