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Bayrou ou le baiser de Judas dont Juppé ne se remettra pas

Il nous aura tout fait, le Béarnais avec ses ergots à la Chantecler et sa tête grosse comme un melon de Cavaillon.

J’y vais ou je n’y vais pas ? Bayrou ne rate pas une occasion de vanter tous les mérites dont il se croit paré. Il est bien le dernier. Notre homme ne se plaît que dans les hautes sphères, et pour tout dire, il se rêve en homme providentiel.

Il nous aura tout fait, le Béarnais avec ses ergots à la Chantecler et sa tête grosse comme un melon de Cavaillon. Ses modèles ? Henri IV, son compatriote navarrais, dont il a écrit une biographie ; de Gaulle, l’homme seul, envers et contre tout ; et Mitterrand, dont il loue une pugnacité qu’il espère égaler en se représentant à la présidentielle.

Il ira en 2017 dès lors que Juppé ne se présentera pas, parce qu’il se sera fait rouler dans la farine avec des primaires qu’il ne peut remporter.

Il ira parce que Hollande l’a déçu. Il ira parce qu’il hait Sarkozy, l’arriviste bling-bling et inculte, et qu’il s’imagine en recours contre Marine Le Pen. Il ira parce qu’il s’y croit, jusqu’à se vanter d’une virilité de grand fauve dont Hollande est dépourvu et qu’il appuie par ses références appuyées au Vert galant et à l’élevage de pur-sang dont il occupe ses temps libres.

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