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L’Europe préfère fermer les yeux sur les infanticides néonataux

Communiqué de Choisir la vie :

"Vendredi dernier, le Bureau de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a rejeté, à la majorité, la pétition initiée par le CELJ-  Centre Européen pour la Justice et les Droits de l’Homme contre les infanticides néonataux.

Cette pétition atteignait pourtant 224 000 signatures ! Il a jugé cette pétition trop sensible politiquement !

Rappelons que l’infanticide néonatal est une pratique barbare qui concerne chaque année, en Europe, de nombreux enfants qui naissent vivants à l’issue d’un avortement, en particulier lorsqu’ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont, le plus souvent, abandonnés à la mort, sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures ou tués par injection létale ou asphyxie. Leur corps est généralement incinéré avec les  déchets biologiques.

Choisir la Vie, scandalisée par cette décision, qui va totalement à l’encontre des Droits fondamentaux prétendument garantis et défendus par l’Europe.

Elle appelle tous ses sympathisants à se mobiliser et venir faire entendre la voix de tous ces petits abandonnés à la mort sans soins, ou tués après leur naissance lors de  la Marche pour la Vie du 24 janvier 2016 à Paris qu’elle organise et qui sera une occasion privilégiée de défendre le respect de la Vie de tous ces enfants."

Michel Janva

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

Commentaires

  • Bonjour Madame, Monsieur,

    Je vous contacte au sujet de cet article publié sur votre site : http://linformationnationaliste.hautetfort.com/archive/2015/01/23/cette-guerre-civile-dont-nous-ne-voulons-pas-5542428.html



    Cet article est une reprise intégrale d'un article paru sur notre site internet (http://www.lerougeetlenoir.org/opinions/les-opinantes/cette-guerre-civile-dont-nous-ne-voulons-pas), ce que est contraire à la règlementation en vigueur.
    Je vous prie donc de bien vouloir soit supprimer l'article en question, soit de le remplacer par une brève citation suivie d'un lien vers l'article original.

    Si d'autres articles publiés sur votre site sont dans le même cas, je vous prie de bien vouloir y appliquer la même procédure.

    Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées,

    Henri de Begard

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