L’Arabie saoudite est une dictature islamiste qui entretient des relations extrêmement ambiguës avec les terroristes de l’État islamique, et les autres « rebelles » qui ne valent pas mieux, tels le Front Al-Nosra ou le Front islamique.
Le gouvernement français a beau tout faire pour exonérer le régime saoudien, rien ne pourra effacer ses crimes. Ali Mohammed al-Nimr a été condamné à mort par décapitation et crucifiement, parce qu’il a participé, en 2011, à une manifestation d’opposition à la monarchie islamiste et totalitaire saoudienne, alors qu’il n’était âgé que de 17 ans. Le grand ami de François Hollande, Salmane d’Arabie saoudite, doit ratifier sa peine de mort dans les semaines à venir. Afin de réfréner tout mouvement d’opposition dans le futur, le corps d’Ali Mohammed al-Nimr sera exposé publiquement jusqu’au pourrissement de ses chairs à titre d’exemple. Un procédé sanglant, inhumain, révoltant.