Donald Trump est le candidat républicain qui tient la tête des sondages, quelques semaines avant le commencement des primaires. Sa récente déclaration concernant la nécessité d'interdire aux Etats-Unis l'immigration de musulmans a été en Europe considérée comme une erreur fatale, le faisant assimiler dans l'opinion américaine comme un fasciste insupportable, quasiment un Adolphe Hitler.
Depuis lors, différents articles parus sur la presse alternative montrent qu'au contraire, The Donald a exprimé une opinion très répandue. Cette franchise devrait augmenter encore ses chances d'être élu à la présidence des Etats-Unis.
On peut lire ceci par exemple dans Zerohedge en date du 11.12.2015 http://www.zerohedge.com/news/2015-12-11/guest-post-establishment-unhinged
Nous résumons:Le propos de Trump a été déformé. En réalité il a demandé un moratoire concernant l'immigration musulmane tant que les responsables politiques n'auront pas éclairci les relations avec les pays musulmans, notamment en ce qui concerne le respect par eux des valeurs américaines et de la Constitution.Il a précisé que la Constitution préserve la liberté de religion pour les citoyens américains., mais n'attribue pas de droits au profit de l'immigration étrangère. En temps de guerre notamment, le président a toujours été autorisé par les lois fédérales a décider qui entre et qui n'entre pas.Plusieurs raisons justifient aujourd'hui ce moratoire: le terrorisme dont la majorité des représentants se disent musulmans - la plus grande sensibilité des musulmans aux campagnes de radicalisation, notamment dans les mosquées et par internet – la grande probabilité d'un choc de civilisation, selon le terme de Samuel Huntington, entre l'Occident et le monde musulman.Donald Trump ajoute qu'un nombre indéterminé mais conséquent des 1,6 milliard de musulmans dans le monde militent pour la généralisation de la charia et le jour où les « infidèles » se convertiront ou seront tués. Dans les pays à majorité musulmane, notamment au Moyen Orient, les Juifs et les Chrétiens ont été éliminés ou obligés de fuir.Plus généralement, avec les guerres éthiques et sectaires qui ravagent l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie, la Turquie, le Yemen, la Libye, le Nigéria et la Somalie, il serait irresponsable de laisser entrer aux Etats-Unis des individus impliqués dans ces conflits meurtriers.Les pays européens, qui avaient accepté des millions d'immigrants provenant de ces pays, sont en train de revoir leur position. Ne faut-il pas que les Etats-Unis se demandent pourquoi. Ni Israël ni le Japon, pour ce qui les concernent, n'acceptent d'immigration musulmane. Ils s'en trouvent très bien.
En Europe, certains se sont demandé comment Donald Trump, s'il accédait au pouvoir, ferait pour trier entre musulmans et non musulmans, tâche considérée comme impossible vu l'absence d'état-civil précisant la religion. Pour Trump, la question ne se pose pas. Il interdira toute immigration de nationaux provenant des pays musulmans ou à majorité musulmane.Des sondages réalisés à la suite de ces déclarations montrent que celles-ci sont approuvées par une grande majorité de citoyens, y compris parmi les musulmans de nationalité américaine.
On peut lire ceci par exemple dans Zerohedge en date du 11.12.2015 http://www.zerohedge.com/news/2015-12-11/guest-post-establishment-unhinged
Nous résumons:Le propos de Trump a été déformé. En réalité il a demandé un moratoire concernant l'immigration musulmane tant que les responsables politiques n'auront pas éclairci les relations avec les pays musulmans, notamment en ce qui concerne le respect par eux des valeurs américaines et de la Constitution.Il a précisé que la Constitution préserve la liberté de religion pour les citoyens américains., mais n'attribue pas de droits au profit de l'immigration étrangère. En temps de guerre notamment, le président a toujours été autorisé par les lois fédérales a décider qui entre et qui n'entre pas.Plusieurs raisons justifient aujourd'hui ce moratoire: le terrorisme dont la majorité des représentants se disent musulmans - la plus grande sensibilité des musulmans aux campagnes de radicalisation, notamment dans les mosquées et par internet – la grande probabilité d'un choc de civilisation, selon le terme de Samuel Huntington, entre l'Occident et le monde musulman.Donald Trump ajoute qu'un nombre indéterminé mais conséquent des 1,6 milliard de musulmans dans le monde militent pour la généralisation de la charia et le jour où les « infidèles » se convertiront ou seront tués. Dans les pays à majorité musulmane, notamment au Moyen Orient, les Juifs et les Chrétiens ont été éliminés ou obligés de fuir.Plus généralement, avec les guerres éthiques et sectaires qui ravagent l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie, la Turquie, le Yemen, la Libye, le Nigéria et la Somalie, il serait irresponsable de laisser entrer aux Etats-Unis des individus impliqués dans ces conflits meurtriers.Les pays européens, qui avaient accepté des millions d'immigrants provenant de ces pays, sont en train de revoir leur position. Ne faut-il pas que les Etats-Unis se demandent pourquoi. Ni Israël ni le Japon, pour ce qui les concernent, n'acceptent d'immigration musulmane. Ils s'en trouvent très bien.
En Europe, certains se sont demandé comment Donald Trump, s'il accédait au pouvoir, ferait pour trier entre musulmans et non musulmans, tâche considérée comme impossible vu l'absence d'état-civil précisant la religion. Pour Trump, la question ne se pose pas. Il interdira toute immigration de nationaux provenant des pays musulmans ou à majorité musulmane.Des sondages réalisés à la suite de ces déclarations montrent que celles-ci sont approuvées par une grande majorité de citoyens, y compris parmi les musulmans de nationalité américaine.
12/12/2015