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À Cologne et ailleurs les agresseurs sexuels étaient bien des « réfugiés »

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8521P1.jpgLes révélations de la presse allemande une semaine après les agressions sexuelles massives qui ont eu lieu à Cologne, à Hambourg et dans plusieurs autres villes allemandes sont accablantes pour le pouvoir. Les langues des policiers se délient face aux mensonges des politiques et des médias.
À Cologne, les policiers en service dans le centre-ville pendant les graves événements qui ont perturbé la soirée du réveillon du Jour de l’An ont expliqué aux journalistes du Spiegel et de Die Welt que, contrairement à ce qu’affirment les autorités et à ce qu’en disait le chef de la police de la ville, qui a perdu son poste, une centaine de personnes avaient été interpellées sur le vif et… c’étaient presque tous des demandeurs d’asile avec des papiers de Syriens. « Je suis syrien, vous devez me traiter gentiment, c’est Mme Merkel qui m’a invité », se sont entendu dire des policiers. Un autre demandeur d’asile a déchiré devant les policiers son document attestant de son droit de séjourner en Allemagne, en leur jetant à la figure qu’ils ne pouvaient plus rien lui faire et que, de toute façon, on lui donnerait de nouveaux papiers.

Pire encore, on apprenait en fin de semaine dernière du quotidien Bild que la police avait des ordres stricts pour couvrir les crimes et délits commis par les « migrants ».
Pendant ce temps, les plaintes continuent d’affluer. Dimanche, la presse allemande parlait déjà de plus de 500 plaintes à Cologne (dont environ 40 % pour des agressions sexuelles), plus de 100 à Hambourg, plus de 40 à Düsseldorf… On apprenait aussi qu’à Bielefeld, un groupe de 500 « migrants » avaient investi de force une discothèque et y avaient commis des agressions sexuelles sur des femmes.

Et ce n’est pas que l’Allemagne qui est touchée. D’autres villes européennes, en Suisse, en Finlande, en Suède et en Autriche, ont fait état d’actes similaires commis par de jeunes hommes « à la peau foncée » et parlant très mal la langue locale.

Samedi, le mouvement PEGIDA a organisé une manifestation qui a attiré quelque 4 000 personnes et aussi un bon millier de contre-manifestants « antifascistes » et 1 700 policiers armés de canons à eau. Les habitants auraient certainement aimé voir les mêmes forces de police dans le centre de Cologne le soir de la Saint-Sylvestre !

La censure de l’information n’est pas passée inaperçue dans la Pologne voisine, accusée par les médias et plusieurs personnalités politiques importantes outre-Rhin de porter atteinte à sa démocratie à cause de sa loi sur ses médias publics.
Le ministre de la Justice polonais a publié samedi une lettre ouverte à l’Allemand Günther Oettinger, le commissaire européen chargé des médias, pour l’inviter à condamner le manque de transparence et de liberté des médias dans son propre pays plutôt que de problèmes fictifs chez les autres.
Lors d’un match de volley entre l’Allemagne et la Pologne pour les qualifications aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, des supporters polonais ont déplié une banderole où l’on pouvait lire : « Protégez vos femmes, pas notre démocratie ».

Olivier Bault

http://fr.novopress.info/196828/cologne-ailleurs-les-agresseurs-sexuels-etaient-bien-refugies/

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