Le premier chapitre d’un véritable programme présidentiel devrait être consacré à la refonte de nos institutions par voie référendaire.
Si chacun s’accorde à déplorer l’interminable crépuscule de la Ve république, l’examen des programmes des candidats –pour ceux qui sont publiés – montre que ceux qui briguent la magistrature suprême se perdent en détails insignifiants du ressort d’un sous-secrétaire d’État.