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La SMEREP alerte sur les conséquences psychologiques parfois graves de l'avortement

6a00d83451619c69e201bb0936dbca970d-800wi.jpgÀ l’occasion de la Journée Mondiale de la Contraception (!), le 26 septembre, la SMEREP tire la sonnette d’alarme (c'est écrit ainsi dans le texte) quant au comportement à risque des jeunes femmes ayant trop souvent recours à la contraception d’urgence ou encore à l’IVG :

  • 36% des étudiantes eu des rapports sexuels ne prennent pas de pilule contraceptive. Parmi les raisons : l'impact négatif sur la santé.
  • 42% des étudiantes françaises ayant déjà eu des rapports sexuels, ont déjà eu recours, au moins une fois, à la contraception d’urgence (ou « pilule du lendemain »). Près de 10% d’entre elles y ont eu recours 3 fois et 3% plus de 5 fois ! En Ile-de-France, les lycéennes sont 31% à avoir déjà pris la pilule du lendemain. Près de 10% des lycéennes franciliennes ont déjà eu recours à unavortement
  • Enfin, l’enquête de la SMEREP dévoile que 6% des lycéennes ont déjà eu recours à l'avortement, et ce, 2 fois pour certaines. En Ile-de-France, ce chiffre atteint près de 10%.

Pierre Faivre, Administrateur, Chargé de prévention à la SMEREP, déclare :

« La SMEREP tient à alerter sur ces situations vécues par les jeunes femmes et sur les conséquences psychologiques parfois graves qu’elles peuvent vivre lors de la pratique d’une intervention volontaire de grossesse ».

Michel Janva

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