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Daval/Darmanin, le grand écart du procureur Schiappa

Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice ne l'est pas par Paul Bensussan

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Marlène Schiappa a adopté des postures contraires dans les affaires Daval et Darmanin. Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice, elle, ne l’est pas.

La guerre des sexes que nous annoncions au début du séisme de l’affaire Weinstein semble bel et bien déclarée. Alors que l’islamologue Tariq Ramadan vient d’être placé en détention provisoire à la suite de dénonciations de viols par deux plaignantes, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, mis en cause pour des faits que la plaignante qualifie de viol par surprise, se voit renouveler « la confiance et la solidarité » du président de la République, du Premier ministre, et de l’ensemble des membres du gouvernement. Incluant Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, héraut de l’égalité entre les femmes et les hommes, qui s’indignait hier encore de « l’impunité des crimes sexuels en France ».

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